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EXPOSITION« Ordinary World » - Un regard sur l’ordinaire par les artistes contemporains
11/10/2024
Du 7 novembre 2024 au 8 février 2025 Face à un monde où les catastrophes font partie intégrante de notre quotidien, « Ordinary World » nous invite à explorer les directions que nous pouvons prendre avec l’art. C’est de cette r&eac...
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Face à un monde où les catastrophes font partie intégrante de notre quotidien, « Ordinary World » nous invite à explorer les directions que nous pouvons prendre avec l’art. C’est de cette réflexion qu’a été lancé l’appel à candidature en juin 2023.
Les Centres Culturels Coréens de Paris, Berlin et Londres ont ouvert un appel pour des œuvres d’art sur le thème « Ordinary World » (« Monde Ordinaire »), à l’issue duquel cinq artistes contemporains ont été choisis pour présenter leurs œuvres.
La première édition de cet appel ouvert s’est tenue au Centre Culturel Coréen de Berlin de septembre à novembre 2023. La seconde, à Londres, a été présentée du 20 février au 13 avril 2024. Enfin, la dernière édition est prévue pour cet automne au Centre Culturel Coréen de Paris.
Ordinary World
« Ordinary World » est une réponse aux catastrophes mondiales qui se sont multipliées après la pandémie mondiale. Dans un monde où les bouleversements deviennent récurrents, l’exposition examine la manière dont le concept existant de normalité et d’ordinaire, nouvellement formé, se confondent. Cette fusion des deux concepts aide les individus à mieux appréhender l’émergence d’une nouvelle norme et offre des pistes pour faire face aux catastrophes, tout en les gérant de manière plus durable.
Artistes participants
Yang-ha travaille sur la reconstruction d’images sur supports plats, en intégrant des éléments contradictoires issues de l’histoire et de la religion. La tragédie entre les récits macros et les narrations personnelles est visualisée à l’aide d’éléments métaphoriques enfantins et maladroits.
En 2018, elle obtient une licence en beaux-arts de l’Université pour femmes de Ewha en Corée du Sud. En 2021, elle termine son programme de maîtrise en peinture à l’Institut Frank Mohr aux Pays-Bas. Actuellement, elle fait des allers-retours entre Amsterdam et Séoul, tout en travaillant sur ses projets. Les principales expositions individuelles lui ayant été dédiées sont « Open the Window » (2023, Musée d’Art OCI) et « It’s a Blast, You’re Welcome » (2021, Sign). Elle a également reçu le fonds Artist Start de la part du Mondrian Fund, en 2022.
Inkyung Kwon réalise des collages à partir de livres anciens et peint à l’encre et à l’acrylique pour construire un paysage urbain vague et irréaliste, qui mélange des dimensions hétérogènes telles que le passé et le présent, la nuit et le jour, l’arithmétique et l’urbain, l’intérieur et l’extérieur…
Elle a étudié la peinture orientale à l’Université de Hongik, où elle a obtenu une licence, une maîtrise et un doctorat. Ses œuvres d’art ont été exposées dans plus de 150 expositions collectives dans le monde et dans 13 expositions individuelles. Certaines de ses œuvres sont conservées dans des collections privées ainsi que dans diverses institutions dont l’Artbank du Musée National d’Art Moderne et Contemporain de Corée.
JiYoon Park est une artiste cinéaste qui réalise des films de non-fiction créatifs. Ses films laissent place aux ambiguïtés et explorent des langages visuels uniques. Elle capture des moments surréalistes et peu familiers de notre vie quotidienne et les recontextualise pour suggérer des façons non conventionnelles de voir le monde.
Elle a été diplômée d’une licence d’Histoire de l’art et de Cinéma & Télévision à l’Université pour femmes Ewha et a effectué un master à l’Université d’Édimbourg où elle a étudié la réalisation de films. Ses œuvres ont été choisies et diffusées dans le monde entier sur des chaînes vidéos telles que NOWNESS, et dans de nombreux festivals de films sélectionnés pour les Oscars et BAFTA, notamment AFI Docs, IDFA, Ji.hlava IDFF et Open City Documentary Festival.
Shin Jungkyun est un artiste vidéo qui révèle l’anxiété dans les scènes que nous rencontrons dans la vie quotidienne. Il crée un récit qui mêle réalité et fiction en examinant les idées universelles qui prévalent dans la société et en retraçant les chemins par lesquels elles se sont formées.
Il a étudié les beaux-arts à l’Université nationale de Séoul (licence et maîtrise). Il a présenté six expositions individuelles et a participé à plusieurs expositions collectives. Ses œuvres ont été présentées au Musée National d’Art Moderne et Contemporain de Corée, à la galerie SongEun et à la galerie Doosan, à Séoul, Corée du Sud.
Miguel Rozas Balboa est un artiste chilien et belge né au Chili et vivant actuellement entre Berlin et Bruxelles. Ses recherches portent principalement sur la relation entre la politique, les médias et les minorités sociales. Avec une forte dimension sociopolitique, son travail visuel est une réponse personnelle aux événements historiques et sociaux, à la mondialisation dévoilée et à la crise du modèle néolibéral. Son travail nous invite à regarder au-delà des apparences superficielles et à considérer le monde qui nous entoure en découvrant la beauté et l’humanité dans des endroits inhabituels.
Rozas a étudié les arts visuels au Chili (ARCOS), à Würzburg (FHWS), à Toulouse (ESAV) et à l’Universität der Künste (UDK) à Berlin.
2024 appel à candidatures des Centres Culturels Coréens : Jurés
Gina Buenfeld-Murley est conservatrice depuis treize ans au Centre Camden Arts, une organisation à but non lucratif qui met principalement en avant des artistes contemporains remarquables. Elle était auparavant directrice de la galerie Alison Jacques. Elle a également élargi son expérience internationale en effectuant des résidences de conservation à Tokyo et en Finlande.
Maria Lund est membre du Comité professionnel des Galeries d’Art – CPGA et MAP – Paris Gallery Map et galeriste indépendante de la Galerie Maria Lund, représentant divers artistes internationaux et offrant son expertise en matière de commande d’œuvres d’art pour des institutions privées ou publiques spécifiques. Elle a collaboré avec diverses institutions et partenaires privés pour organiser des expositions temporaires.
Shi-Ne Oh est directrice principale de la branche berlinoise de la Sprüth Magers Gallery, située à Londres, Berlin, Los Angeles et New York. Auparavant, elle a été directrice de la PKM Gallery en Corée du Sud et de la Esther Siefer Gallery en Allemagne.
Image : Simulation #1-4 ©Shin Jungkyun
Entrée libre sans réservation
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Retour à la listeCINEMA29e festival international du film de Busan
04/09/2024
Le film d'époque «Uprising» ouvrira cette année le Festival international du film de Busan (BIFF) le 2 octobre, a fait savoir mardi le comité d'organisation. Mettant en vedette Gang Dong-won et Park Jeong-min, «Uprising», se déroulant durant...
Lire l'articleLe film d'époque «Uprising» ouvrira cette année le Festival international du film de Busan (BIFF) le 2 octobre, a fait savoir mardi le comité d'organisation.
Mettant en vedette Gang Dong-won et Park Jeong-min, «Uprising», se déroulant durant la dynastie Joseon (1392-1910), raconte l'histoire de deux hommes qui ont grandi ensemble, l'un en tant que maître (Park) et l'autre comme domestique (Gang), avant de se retrouver comme des ennemis après une guerre. Le réalisateur Park Chan-wook a contribué au film en tant que producteur et scénariste.
Le festival se refermera cette année pour la première fois avec un film singapourien, «Spirit World», signé Eric Khoo, dans lequel joue l'actrice française Catherine Deneuve. Le film tourne autour de la chanteuse française Claire qui se retrouve dans une autre vie après une mort brutale survenue lors d'un voyage au Japon.
Un total de 224 films de 63 pays sont officiellement invités à l'édition de cette année, représentant une augmentation de près de 8% par rapport aux 209 œuvres projetées l'année dernière. Avec les 55 films qui seront présentés dans la section Community BIFF, le nombre total de projections passera à 279.
Le Japonais Kiyoshi Kurosawa a été nommé Réalisateur asiatique de l'année. Connu pour ses films de genre comme «Cure» (1997) et «Kaïro» (2001), Kurosawa est loué pour son originalité en tant que scénariste. Au BIFF, ses deux derniers films, «La Voie du serpent» et «Cloud», seront présentés. La section Special Program in Focus proposera huit pièces de Miguel Gomes qui a remporté le prix du meilleur réalisateur au Festival de Cannes de cette année pour «Grand Tour».
Elle mettra également à l'honneur le défunt acteur de «Parasite», Lee Sun-kyun, qui est décédé à la fin de l'année dernière. Six de ses œuvres, dont un épisode de la série télévisée «My Mister», seront projetées pour rendre hommage à l'acteur.
En outre, le festival a instauré un nouveau prix intitulé Documentary Audience Award qui sera décerné à un film documentaire asiatique remarquable. Le prix, déterminé selon les taux d'audience, sera attribué avec une récompense de 10 millions de wons (7.500 dollars). Le 29e BIFF se poursuivra jusqu'au 11 octobre à la ville portuaire de Busan, dans le sud-est du pays.
Source: Yeonhab News
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Retour à la listeCULTUREProgrammes de rencontre, subventions logement, prime au mariage... les mesures d'incitation au mariage en Corée
22/08/2024
Selon les derniers recensements de la population, la Corée compte 49,8 millions de personnes (hors celles de nationalité étrangère) en 2023, soit 101 000 de moins par rapport à l’année précédente. Une tendance &ag...
Lire l'articleSelon les derniers recensements de la population, la Corée compte 49,8 millions de personnes (hors celles de nationalité étrangère) en 2023, soit 101 000 de moins par rapport à l’année précédente. Une tendance à la baisse qui se poursuit depuis 2021. Le taux de fécondité a quant à lui atteint un niveau record de 0,72 enfant par femme, tandis que seuls 194 000 mariages ont été célébrés, représentant une baisse de 40 % par rapport aux dix dernières années.
De plus en plus de Coréens renoncent aux relations amoureuses et au mariage, et la faible natalité est devenue un enjeu majeur, au point que le président a déclaré l'état d’urgence. Pour lutter contre ce phénomène, de nombreuses mesures incitatives sont mises en place par le gouvernement, mais aussi par le secteur privé et même les temples bouddhistes, entre programmes d'aide à la rencontre, subventions logement ou prime au mariage.
Le 9 août, l'émission Naneun Jeollo montrait le coup de fondre entre un homme originaire de Dangjin, dans le Chungcheong du Sud, et une femme de Séoul. Inspiré de l’émission de télé-réalité coréenne I Am Solo, ce programme invite de jeunes célibataires à passer deux jours dans un temple bouddhiste à la recherche de leur futur partenaire.
Sa 5e édition a reçu plus de 1 510 candidatures pour seulement 20 places disponibles, à l'issue de laquelle six couples se sont formés. Le programme a remporté le Prix du Président lors de la célébration de la Journée mondiale de la population, le 11 août.
De son côté, la ville de Busan organise en octobre un programme de rencontre pour jeunes célibataires de toutes nationalités, dans l’arrondissement Saha. Elle propose 500 000 wons (environ 374 dollars) aux couples issus du programme et un million de wons (environ 748 dollars) par personne aux futurs mariés. De plus, elle offre jusqu'à 20 millions de wons pour l'organisation du mariage ainsi que 30 millions de wons (22 400 dollars) pour la caution du locataire et 800 000 wons (600 dollars) de loyer aux couples mariés.
La municipalité de Séoul a quant à elle ouvert 28 salles de mariage dans des lieux publics afin de proposer aux couples plus modestes une alternative aux lieux plus onéreux. Il est donc possible de se marier sur la place du musée d’histoire de Séoul, au Yein Hall du centre Sejong, au Seoul Water Recycling Museum ou sur la place Magok. La ville offre également jusqu’à un million de wons (environ 750 dollars) aux futurs mariés.
Et qui dit mariage, dit maison. Les collectivités locales mettent en place diverses mesures pour réduire les dépenses liées au logement. La ville d’Incheon fournira, à partir de l’année prochaine, 1 000 appartements aux futurs ou jeunes mariés (moins de sept ans). Ces couples peuvent y résider pendant un maximum de six ans, en payant un loyer dérisoire de 30 000 wons (environ 22 dollars).
La province de Jeolla du Sud, quant à elle, prévoit de fournir 1 000 appartements avec un loyer de 10 000 wons (7,5 dollars) dans les villes touchées par le déclin démographique, comme Goheung, Boseong, Jindo et Sinan.
Par Aisylu Akhmetzianova
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Retour à la listeCONCERTConcert symphonique du Heart to Heart Orchestra
08/08/2024
À la veille de la clôture des Jeux Paralympiques, le Heart to Heart Orchestra, composé de musiciens en situation de handicap intellectuel, se prépare à enchanter Paris avec un concert exceptionnel dans le prestigieux cadre de la Salle Gaveau. Ce concert s'inscrit ...
Lire l'articleÀ la veille de la clôture des Jeux Paralympiques, le Heart to Heart Orchestra, composé de musiciens en situation de handicap intellectuel, se prépare à enchanter Paris avec un concert exceptionnel dans le prestigieux cadre de la Salle Gaveau. Ce concert s'inscrit dans le cadre de l'Olympiade Culturelle de Paris 2024, une série d'événements célébrant l'union entre culture et sport.
Le Heart to Heart Orchestra a été créé en 2006 par la Fondation Heart to Heart, fondée en 1988 en Corée. L'objectif de cette initiative est de fournir à ses membres des opportunités d'accès à la musique, contribuant ainsi à une meilleure intégration des personnes en situation de handicap intellectuel. Cet ensemble de 37 musiciens se produit sur les scènes du monde entier depuis plus d'une décennie et a réalisé plus de 1 200 représentations.
Le chef d'orchestre Ahn Doo-hyun mène cet ensemble avec passion et engagement, soulignant que la musique a le pouvoir de transcender les barrières du handicap intellectuel et de l'autisme. Leurs performances ont été saluées à travers le monde, notamment lors des Jeux Paralympiques d'hiver de Pyeongchang en 2018.
Le concert parisien, qui se tiendra le 7 septembre 2024, sera une célébration en l'honneur du 100ème anniversaire des Jeux Olympiques de Paris 1924. Cet événement sera l'occasion de célébrer non seulement les exploits sportifs, mais aussi de démontrer la capacité de la musique à unir les gens au-delà des différences.
Le concert, gratuit et ouvert à tous, débutera à 15h00 et se déroulera à la Salle Gaveau, un lieu renommé pour son acoustique exceptionnelle et son histoire riche en événements culturels. Ce concert est soutenu par le ministère de la Culture, des Sports et du Tourisme de Corée du Sud ainsi que par le Centre Culturel Coréen de Paris.
Le Heart to Heart Orchestra n'est pas seulement un ensemble musical, mais aussi un ambassadeur du changement social. En offrant à ses membres une plateforme pour exprimer leurs talents, l'orchestre promeut une meilleure compréhension et acceptation des personnes vivant avec un handicap. La musique devient ainsi un langage universel qui surmonte les préjugés et les barrières culturelles.
SOURCES:
Sortiraparis.com
https://www.paris.fr
https://olympiade-culturelle.paris2024.org
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Retour à la listeEXPOSITIONLa forme à venir
15/07/2024
Selon l'auteur, une œuvre réalisée dans sa forme complète et selon l'intention de son créateur atteint ce que l'on appelle < achèvement >. Par conséquent, une œuvre « inachevée > se situe à un stade antérieur &...
Lire l'articleSelon l'auteur, une œuvre réalisée dans sa forme complète et selon l'intention de son créateur atteint ce que l'on appelle < achèvement >. Par conséquent, une œuvre « inachevée > se situe à un stade antérieur à sa forme finale, n'ayant pu atteindre son aboutissement. Ainsi, dans quel contexte peut-on distinguer entre achèvement et inachèvement ? Quelle forme prend le processus avant l'achèvement? L'exposition < La forme à venir > propose de soulever ces interrogations et d'explorer le processus de création.
Le moment où une idée émerge et se concrétise en image, avant de se figer en tant qu'œuvre achevée, est jalonné de transformations successives. Entre l'ajout de concepts et les hésitations du pinceau en prévision de l'étape suivante, de nombreuses phases se succèdent. Cela révèle des pensées brutes et non raffinées, une imagination nourrie de formes instables, et l'attitude de l'artiste qui privilégie la signification à un stade encore invisible.
L'«inachèvement > englobe tout ce processus vers un objectif créatif, se situant entre l'idéal et le résultat final.
La fragilité de la forme laisse ouverte la possibilité de modifications et d'expérimentations perpétuelles. Le processus variable de réassemblage de divers projets et de construction de la forme de l'œuvre suggère en fin de compte une multitude de résultats possibles. Dans le parcours de réalisation d'une œuvre, l'inachèvement reflète les multiples perspectives du créateur. Cela représente un fragment qui encapsule de manière partielle le sens et la forme de l'œuvre entière. Ces fragments de création, découverts tout au long du chemin vers l'accomplissement de l'œuvre, nous révèlent de petits instants de création. Les croquis de personnages avec leurs espaces laissés vides, les maquettes de sculptures, les morceaux de papier non encore assemblés capturent chacun, comme une scène de panorama, l'histoire appartenant à ce moment précis. IIs existent comme les formes les plus représentatives de chaque point de la chronologie. Ainsi, l'inachèvement, qui saisit l'instant de l'œuvre, existe comme une forme indépendante. Cela illustre le paradoxe de < l'accomplissement sans point final >.
En examinant sans préjugés les états intermédiaires, nous attendons avec impatience le moment où nous rencontrerons la forme à venir.
Texte Demilé
Artistes : Demilé, Gheem Sookyoung, KIM Haeun, KIM Jina, LEE Hyewon, WOO Cheyon
59 Rivoli
Du 09 juillet 2024 au 21 juillet 2024
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Retour à la listeEXPOSITIONCarte blanche à Kim Sooja
02/07/2024
L’œuvre présentée dans la Rotonde est faite de miroirs au sol. Des surchaussures, obligatoires, sont à votre disposition pour accéder à cet espace. Les jupes sont déconseillées et les talons aiguilles sont interdits. Dans le cadre de l'ex...
Lire l'articleL’œuvre présentée dans la Rotonde est faite de miroirs au sol. Des surchaussures, obligatoires, sont à votre disposition pour accéder à cet espace. Les jupes sont déconseillées et les talons aiguilles sont interdits.
Dans le cadre de l'exposition « Le monde comme il va », l'artiste sud-coréenne Kimsooja présente la carte blanche « To Breathe — Constellation ». Son intervention à la fois monumentale et immatérielle dans la Rotonde de la Bourse de Commerce consiste en un immense miroir recouvrant le sol qui renverse, dès lors qu’on l’approche, toute l’architecture et, avec elle, l’ordre du monde, le ciel se creusant sous nos pieds au centre du bâtiment. L’artiste coréenne investit également les 24 vitrines du Passage ainsi que le niveau inférieur du musée, avec des œuvres et installations vidéo sur ses thèmes de prédilection : identité, frontière, mémoire, exil, déplacements, tissage.
“Je voudrais créer des œuvres qui soient comme l’eau et l’air, qui ne peuvent être possédées mais qui peuvent se partager avec tout le monde”, confie Kimsooja dont l’œuvre, depuis la fin des années 1970, s’affirme sur la scène internationale de l’art comme une expérience essentielle et universelle. Après avoir étudié la peinture à Séoul, elle se détache de tout enseignement et de toute pratique proprement artistique pour explorer à travers les gestes de la vie quotidienne, comme la couture, les questions d’identité, d’engagement, de mémoire individuelle et collective et de la place de l’individu dans le monde. Lors de sa performance qui la rend célèbre en 1997, elle traverse la Corée pendant onze jours, juchée sur un camion rempli de bottaris colorés, ces baluchons de tissus chatoyants qui accompagnent et rythment la vie des Coréens — mariage, naissance et mort. Artiste nomade, elle utilise métaphoriquement son propre corps, telle une présence anonyme quasi invisible qui vient, par son immobilité et sa verticalité, s’inscrire comme une aiguille dans le tissu du monde.
Le miroir dont elle recouvre le sol de la Rotonde de la Bourse de Commerce joue un rôle similaire à celui de l’aiguille ou de son propre corps.
“Le miroir remplace le corps, observe et reflète l’autre”
“En l’utilisant, notre regard agit comme un fil à coudre qui se déplace dans un mouvement de va-et-vient, qui entre dans les profondeurs de notre moi et de celui de l’autre, en nous reconnectant à sa réalité et à son univers intérieur. Un miroir est un tissu cousu par notre regard, dans un mouvement de flux et de reflux”. Kimsooja transfigure l’architecture en un vertigineux espace en lévitation, une inversion du monde où le ciel de la coupole de verre devient une profondeur abyssale, altérant notre perception de l’espace et notre conscience de la gravitation des corps. Elle creuse l’architecture, y laisse advenir un vide, afin de générer d’autres sensations et peut-être aussi la conscience que notre corps figure comme celui de la Needle Woman : un axe reliant le ciel à la terre.
En résonance avec la pensée de Tadao Ando, à sa quête d’une architecture du vide et de l’infini, Kimsooja recouvre le sol de la Rotonde de miroir et fait de l’œuvre d’art, au-delà d’un objet, d’une installation ou d’une image, une expérience essentielle. Entre apparition et disparition, contemplation et sidération, étourdissement et éblouissement, le vide ainsi transfiguré n’est plus, selon les mots de François Cheng, “une présence inerte, il est parcouru par des souffles reliant le monde visible à un monde invisible”. Le miroir que Kimsooja nous tend figure aussi le lieu d’un rassemblement, d’une possible totalité, qui invite collectivement à faire monde.” »
Artiste du déplacement, des traversées et d’un nomadisme fondateur, Kimsooja dépose dans les vitrines de la Bourse de Commerce une constellation d’œuvres couvrant près de quarante ans de sa pratique d’artiste, comme elle poserait ses bagages après un long voyage. L’artiste donne forme et vie à des objets qui peuvent sembler inactifs, et s’intéresse aux présences intangibles qui se mêlent délicatement à l’invisibilité et à l’éphémère. Elle met en mouvement des œuvres souvent sphériques, grains de sable ou graines de lin, billes de porcelaine ou de glaise, bottaris de tissus et moon jars aux couleurs de terre. Ces agencements qui forment des mondes miniatures ou des microcosmes dans l’espace clos des vitrines semblent remis en circulation, comme une chorégraphie impalpable, mus par les gestes de l’artiste qui les ont fait naître et animés par la lente et inexorable course des astres qui transitent à travers l’immense oculus de verre.
Peter Sloterdijk, dans sa trilogie Sphères (1998-2004), brosse une histoire philosophique de l’humanité à travers le prisme de cette forme fondamentale qu’est la sphère et qui, selon lui, permet à l’homme d’inventer lui-même l’environnement matériel, symbolique et cosmologique qui lui permet d’habiter le monde. Chaque sphère de glaise façonnée au creux de la main de Kimsooja participe à la constitution d’une cosmogonie universelle, et réveille la puissance des archétypes et des mythes contenus dans l’argile, matière première du corps humain. Chaque bottari est comme une peau qui enveloppe le corps, de la naissance à la mort, tel un linceul. Comme métaphore et prolongement du corps humain dans son éternelle mobilité au sein du cycle de la vie, le bottari entrelace les cultures asiatique et occidentale, le quotidien et l’art, l’individuel et l’universel, le passé et le présent, la vie terrestre et le temps cosmique.
Énigmatique, A Needle Woman (1999-2000) est une performance vidéo de Kimsooja, conservée au sein de la Collection Pinault. L’artiste coréenne se met en scène aux quatre coins du monde (Shangaï, Delhi, Tokyo et New York) : elle se tient seule, de dos, immobile, tel un axe en interaction et en résistance face aux tumultes de la vie urbaine. Avec cette oeuvre présentée au niveau inférieur de la Bourse de Commerce, Kimsooja utilise métaphoriquement son propre corps, à la façon d’une présence anonyme quasi invisible qui vient s’inscrire, par son immobilité et sa verticalité, comme une aiguille dans le tissu du monde, et en recoudre avec humilité les failles et les accrocs. À travers cette performance, l’artiste tend à la foule un miroir symbolique reflétant tout autant l’image d’un monde engagé dans une permanente accélération que sa propre identité face à celle des autres.
Source: Bourse du commerce collection pinault
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Retour à la listeEXPOSITION« Mouvement » Installation immersive sur le sport traditionnel coréen
25/06/2024
Du 21 juin au 21 septembre 2024 Du vide sidéral naît l’énergie vitale - le Ki 기 (氣). Lignes et courbes se déploient et incarnent les éléments classiques composant la matière de l’univers : eau, air, feu, terre. De ces él&ea...
Lire l'articleDu 21 juin au 21 septembre 2024
Du vide sidéral naît l’énergie vitale - le Ki 기 (氣). Lignes et courbes se déploient et incarnent les éléments classiques composant la matière de l’univers : eau, air, feu, terre. De ces éléments jaillissent les corps d’athlètes en mouvement : ceux des lutteurs de ssireum (lutte coréenne), de taekwondo et de son ancêtre le taekkyeon, puis de tir à l’arc.
Le Centre accueille cet été, dans la fraîcheur des murs de son auditorium, en collaboration avec la Korean Foundation for International Cultural Exchange (KOFICE), une nouvelle exposition immersive sous forme d’une projection sur quatre faces, rendue possible grâce à une technologie multimédia permettant de faire apparaître de la lumière ou des vidéos.
À l’occasion de la “Saison Corée 2024”, le Centre a fait appel au talent de l’artiste vidéaste français Jean-Julien Pous et des coréens Kayip (Lee Woo-jun, compositeur) et Lee Jihyun (animateur 3D), qui proposent une série de projections axées sur le thème du « ki » (氣), c’est-à-dire de l’énergie, et utilisant lignes et courbes pour figurer, de manière abstraite, les corps dynamiques des athlètes des Olympiades.
Ainsi, lignes et courbes naissent dans le noir, du sol et des murs, se déployant dans l’espace pour envelopper les visiteurs. Ces derniers quittent le monde du visible et du réel pour entamer un voyage dans l’invisible, pour être amenés par l’œuvre à ressentir et à percevoir cette énergie mystérieuse. Les lignes représentant cette force vitale sont en permanence en mouvement, changeant progressivement de forme tout au long de l’œuvre.
De courbes abstraites, elles incarnent successivement les quatre éléments composant la matière de l’univers : eau, air, feu et terre. Puis, de ces éléments, les lignes évoquent les corps d’athlètes et de personnes en mouvement, comme s’ils étaient irrigués de cette énergie vitale. On devine ainsi des enchaînements de ssireum (lutte coréenne), de taekwondo, taekkyon (art martial, ancêtre du taekwondo), et enfin de tir à l’arc.
C’est à Séoul que Jean-Julien Pous découvrit le Taekwondo, dans le petit club de son quartier où s’entraînaient des athlètes qui avaient participé aux jeux olympiques, et des adolescents talentueux, qu’il décrit comme “extrêmement forts et précis dans leurs gestes”. Jean-Julien Pous affirme que l’on pouvait “même entendre le son synchronisé de leurs tenues qui claquaient dans le silence”. Subjugué par cet art, il se pencha ensuite sur la spiritualité coréenne en créant des œuvres autour de sculptures bouddhistes, comme le bronze dorée de Maitreya méditant.
Ainsi, à travers l’exposition “Mouvement”, l’artiste espère “emmener les visiteurs dans un voyage spirituel et leur faire ressentir l’essence du sport coréen”.
Cette projection est accompagnée d’une mélodie électroacoustique tantôt minimaliste, tantôt enrichie de sons évoquant la matière inerte comme animée, fluide et vivante. Une invitation à se laisser captiver par le mouvement pur !
À propos des artistes
Né à Wuhan (Chine) en 1984, l’artiste et vidéaste français Jean-Julien Pous vit et travaille entre Séoul et Bordeaux. Son œuvre, à l’intersection des cultures chinoise, coréenne et française, pose un regard poétique sur le corps, les différents états de la matière, la nature éphémère de l’existence, le besoin du toucher et du contact dans un monde dématérialisé. Émane de son travail une certaine nostalgie, envers les êtres et les choses, leurs mouvements, leur intériorité et leur essence, reliant l’infiniment petit à l’infiniment grand. Ses œuvres ont notamment été exposées en Corée, en France et en Chine. Il réalise des films et séquences animées pour Arte, la Fashion Week de New York, Chanel, Lenovo, Millet et l’Office espagnol du tourisme. Il a également donné des cours d’animation à l’Université Kookmin à Séoul.
Né à Séoul en 1977, le compositeur KAYIP (Lee Woo-jun) crée une musique qui matérialise par le son des lieux imaginaires, et se concentre sur la texture et la tonalité du son. Développeur informatique, artiste numérique, il combine le son à d’autres médias. Formé en musique contemporaine au Birmingham Royal Conservatoire et au Royal College of Music de Londres, il a été sélectionné par Brian Eno pour un spectacle commémorant le 40e anniversaire de l’alunissage d’Apollo 11 au Science Museum de Londres en 2009. Il a également remporté le Aberdeen Music Prize et a écrit une pièce orchestrale pour le BBC Scottish Symphony Orchestra.
Né à Séoul en 1994, Hyunji (Lee Jihyun) y vit et y travaille. D’abord généraliste 3D dans l’animation, l’art et le cinéma, il s’inspire actuellement de son quotidien pour créer diverses animations. Il a participé à la création d’œuvres numériques, et travaille sur la construction d’images de synthèse de grand format. Il a notamment créé les oeuvres Carbon Clock au Gwangju Asia Culture Center en 2022, Sound Lines v2.0 au Hyundai Motor ZER01NE en 2023 et Pixel Universe by Pixel Kim au Théâtre d’art de Modoo en 2024.
Commissaire de l’exposition : Haeyoung-Yoomine KIM
Source: CENTRE CULTUREL COREEN
Retour à la listeLittératureInvitation à la littérature coréenne - Rencontre avec Jin Eun-young
14/06/2024
Hier, à la librairie Le Phénix à Paris, s’est déroulée une rencontre avec la poétesse et philosophe Jin Eun-young (진은영), animée par sa traductrice Kim Hyun-ja. Cet événement a été organisé par l'Institut ...
Lire l'articleHier, à la librairie Le Phénix à Paris, s’est déroulée une rencontre avec la poétesse et philosophe Jin Eun-young (진은영), animée par sa traductrice Kim Hyun-ja. Cet événement a été organisé par l'Institut coréen de traduction littéraire dans le cadre de l’ "Invitation à la littérature coréenne", qui se déroule du 12 au 15 juin. Quatre figures majeures de la littérature coréenne contemporaine y ont été conviées : la poétesse Jin Eun-young, l'auteur de romans graphiques Yeong-shin Ma, la romancière Pyun Hye-young et le romancier Lee Seung-U.
Durant cet événement, Jin Eun-young a évoqué son travail ainsi que son parcours poétique. Elle a récité plusieurs poèmes de son recueil "Des flocons de neige rouges" en coréen, suivis de la lecture de leur traduction française par un intervenant.
La soirée s'est achevée par une session de questions-réponses entre Jin Eun-young et le public, suivie d'une séance de dédicaces où chacun a pu faire signer son livre par la poétesse.
Parcours et Influence de Jin Eun-young : De la Poésie à la Philosophie Littéraire
Jin Eun-young est née en 1970 à Daejeon. Élevée par sa grand-mère alcoolique qui la battait, elle finit par fuguer de chez elle. Cette fugue la rend très triste, car elle aimait sa grand-mère malgré tout. Elle trouve alors du réconfort dans la récitation de poèmes. Connue pour ses œuvres poétiques mêlant des thèmes philosophiques et sociaux, elle a publié plusieurs recueils de poésie, parmi lesquels "Des flocons de neige rouges" est particulièrement notable. Ses poèmes explorent souvent des questions de justice sociale, d'identité et d'expérience humaine.
En plus de sa carrière littéraire, Jin Eun-young est également active dans le domaine académique, où elle enseigne et écrit sur des sujets philosophiques. Elle est reconnue pour sa capacité à combiner profondeur intellectuelle et sensibilité artistique dans ses écrits.
Les écrits de Jin Eun-young reflètent également de fortes influences étrangères. Dès son jeune âge, elle s'est passionnée pour les écrits philosophiques de penseurs tels que Marx et Epicure, qu'elle a avidement étudiés dès l'âge de 20 ans. Sa poursuite des études en philosophie et son exposition à diverses traditions intellectuelles et littéraires, à la fois orientales et occidentales, ont profondément enrichi sa compréhension et son style littéraire.
De plus, elle raconte avoir souvent rejoint des cercles de poètes coréens pour approfondir sa connaissance de la poésie coréenne, mais elle a constaté que beaucoup préféraient étudier des poèmes étrangers. Cette expérience renforce le fait que ses poèmes intègrent de nombreuses références littéraires étrangères, contribuant ainsi à leur richesse et leur complexité.
Ariane Ougier
Pour plus d'informations consultez le site internet
Retour à la listeEXPOSITION"Noli : Jeux Coréens"
03/06/2024
Explorez "Noli : Jeux Coréens" au Centre Culturel Coréen Du 24 mai au 5 octobre 2024, plongez dans l'univers fascinant des jeux coréens au Centre Culturel Coréen avec l'exposition "Noli : Jeux Coréens". Cette exposition, soutenue par de nombreux partenaire...
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Du 24 mai au 5 octobre 2024, plongez dans l'univers fascinant des jeux coréens au Centre Culturel Coréen avec l'exposition "Noli : Jeux Coréens". Cette exposition, soutenue par de nombreux partenaires, offre un voyage captivant à travers trois époques : le passé, le présent et le futur.
Une Ouverture en Musique
La cérémonie d’ouverture de l’exposition "Noli" s'est tenue le 22 mai, avec un concert du groupe OBANGSINGWA, dirigé par le célèbre chanteur Lee Hee Moon. Le concert comprenait 13 chansons variées, revisitant la musique folklorique coréenne traditionnelle et moderne, offrant ainsi un avant-goût enchanteur de l'exposition.
Un Plongeon dans le Passé
Au premier étage, l'exposition commence par une exploration du passé. Vous y découvrirez les peintures du XVIIIème siècle de Sin Yunbok, représentant les distractions de la noblesse coréenne. Une autre salle expose les magnifiques cerfs-volants du maître artisan Rhee Kitai, ainsi que des reproductions de jeux populaires, illustrées par des dessins mettant en scène des personnes en train d’y jouer.
Le Présent et l'Art du Jeu
Le deuxième étage met en avant le présent avec les créations LEGO de Colin Jin, représentant des hommes et des femmes en hanbok, ainsi que des masques grandeur nature. Une autre salle présente des innovations ultramodernes de l'Institut supérieur coréen des sciences et technologies (KAIST). Parmi ces créations, vous trouverez notamment l'abat-jour de lampe modelable ainsi que "The Authentic Color Play", un appareil capable de déterminer précisément votre teinte de peau. La réalité augmentée est également mise à l'honneur grâce à la plateforme sociale PARAVERSE, offrant une immersion dans les dernières avancées technologiques et visuelles.
L'Essor de l'eSport Sud-Coréen
La visite se termine au rez-de-chaussée avec une exposition immersive dédiée à l'eSport sud-coréen. Cinq espaces distincts retracent l'évolution de cette industrie, des débuts modestes avec des jeux comme Starcraft et League of Legends aux triomphes actuels. Vous découvrirez le "Hall of Fame de la LCK", les exploits des légendes de la LCK à travers des photos et témoignages, ainsi que la rigoureuse routine des joueurs professionnels.
Une Exploration Culturelle, Artistique et Technologique
L'exposition "Noli : Jeux Coréens" propose une exploration riche et variée de la tradition ludique coréenne, mêlant passé, présent et futur. Que vous soyez passionné par l'histoire, l'art ou la technologie, le Centre Culturel Coréen vous invite à découvrir les multiples facettes des jeux coréens. Laissez-vous emporter par cette aventure culturelle et plongez dans l'univers fascinant de "Noli : Jeux Coréens".
Ariane Ougier
Source: Centre Culturel Coréen
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Retour à la listeCONCERTGrand gala classique « Jeux lyriques »
06/05/2024
Dimanche 19 mai 2024 à 17h Proposé par Hera Hye-sang Park, Kyungil Ko, Jeff Cohen et le Quintette à vent des solistes de l’Orchestre de Chambre de Paris Pour la très cosmopolite soprano coréenne Hera Hyesang Park, la performance et l’enregistrement so...
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Proposé par Hera Hye-sang Park, Kyungil Ko, Jeff Cohen et le Quintette à vent des solistes de l’Orchestre de Chambre de Paris
Pour la très cosmopolite soprano coréenne Hera Hyesang Park, la performance et l’enregistrement sont à la fois une découverte de soi, mais aussi un moyen sincère, sensible et honnête d’être en connexion avec les autres. Dotée d’une technique immaculée et une variété visiblement infinie de timbres, sa voix virtuose du lyrique reflète la nature qui n’a pas froid aux yeux de ses performances- toujours audacieuses, jamais ennuyeuses.
Le statut d’étoile montante de Hera Hyesang Park est soutenu par une séries performances encensées par la critique, passant de l’Opéra Métropolitain au Festival Glyndebourne. En 2019, elle a reçu des éloges pour ses débuts dans le rôle de La Bohème (Musetta) dans la nouvelle production de La Bohème de Barrie Kosky au Komische Oper Berlin. Plus tard dans l’année, son rôle de Rosania dans Il Barbiere di Siviglia au Glyndebourne Festival a été décrit par le Times comme « phénoménal », tandis que Classical Source l’a félicitée pour sa découverte « d’un élément de vulnérabilité et de pathos qui font du personnage un être en chair et en os ».
À l’occasion de ce concert prenant place dans le superbe écrin de la prestigieuse Salle Gaveau, Hera Hyesang Park sera accompagnée de Kyungil Ko (basse) , tous deux accompagnés par le piano de Jeff Cohen en première partie. Puis dans un second volet, ce sera sur la musique du Quintette à vent des solistes de l’Orchestre de Chambre de Paris qu’évolueront les deux artistes lyriques.
Une belle rencontre musicale franco-coréenne en perspective…
À propos de Hera Hyesang Park (soprano)
Après avoir obtenu son diplôme artistique de deux ans en Études d’Opera à la Juilliard School en 2015, Hera Hyesang Park est devenue membre du prestigieux programme de développement de jeunes artistes Lindemann du Metropolitan Opera’s. Parmi les étapes notables de sa carrière, on retrouve ses débuts dans le rôle de Despina à l’Opera Bayerische Staatsoper, Aldimira dans Sigismondo de Rossini avec l’orchestre de radio de Munich, Un Requiem Allemand de Brahms à l’Église Saint-Thomas de Leipzig, ainsi que des concerts avec l’orchestre philharmonique de New York et pour l’Opéra de Los Angeles.
À propos de Kyungil Ko (basse)
Kyungil Ko a débuté sa carrière européenne à l’Opéra de Massy de 2005 à 2008, avant de rejoindre l’Opéra Théâtre de Besançon. Kyungil Ko a remporté plusieurs récompenses lors de plusieurs concours importants, et s’est produit avec des chefs d’orchestre de renom tels que Simone Young, Dominique Trottein, Lawrence Foster ou encore Tugan Sokhiev.
À propos de Jeff Cohen (piano)
Né à Baltimore, Jeff Cohen obtient les prix de piano et de musique de chambre au Conservatoire national supérieur de musique de Paris avant de poursuivre sa formation auprès de Leon Fleisher aux États-Unis et Peter Feuchtwanger en Angleterre. Actuellement professeur au Conservatoire de Paris, il s’est produit avec de nombreux artistes tels que Roberto Alagna, June Anderson, Cecilia Bartoli, Yann Beuron, Jean-Paul Fouchécourt, Véronique Gens, Ivry Gitlis, Ida Haendel, Sumi Jo, Steve Lacy, Noël Lee, Ute Lemper, Pierre Lénert, Vincent Le Texier, Mady Mesplé, Didier Sandre…
Artistes du quintette à vent de l’Orchestre de Chambre de Paris :
Marina Chamot-Legay : flûte
Ilyes Bouffaden-Adloff : hautbois
Florent Pujuila : clarinette
Fany Maselli : basson
Romain Albert : cor
Concert présenté dans le cadre du Saison de la Corée 2024, en collaboration avec KOFICE, l’Orchesre de Chambre de Paris et Mage Production.
Billetterie sur
www.sallegaveau.com
Tél. : 01 49 53 05 07
SALLE GAVEAU
45 rue La Boétie
75008 PARIS
Source: Centre culturel coréen
Pour plus d'informations consultez le site internet
Retour à la listeATELIERAtelier : Chant minyo, rythme et percussion autour du spectacle « OBANGSINGWA »
26/04/2024
Mardi 21 mai 2024 à 16h Véritable précurseur du genre qu’il appelle la ‘K-pop traditionnelle’ en mêlant le chant traditionnel coréen minyo, et plus particulièrement les motifs musicaux folkloriques provenant de la région du Gyeo...
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Véritable précurseur du genre qu’il appelle la ‘K-pop traditionnelle’ en mêlant le chant traditionnel coréen minyo, et plus particulièrement les motifs musicaux folkloriques provenant de la région du Gyeonggi dont il est originaire, Lee Hee-Moon - nommé trésor national de par son statut de détenteur du titre du 57e bien du patrimoine culturel immatériel coréen - parvient à remettre au goût du jour des sonorités traditionnelles en les mariant à des genres contemporains tels que la pop, la dance, le rock, le jiroubak (de l’anglais jitterbug, sorte de danse des années 1930 dérivée du swing), et bien d’autres !
En prélude à « OBANGSINGWA », son spectacle parisien haut en couleurs du mercredi 22 mai à 19h30 à l’auditorium du Centre Culturel Coréen, Lee Hee-Moon propose un atelier de chant minyo, de rythme et de percussion qui ravira tous les amateurs de musique.
Un rendez-vous unique à ne pas manquer !
Comme toutes les activités de notre Centre, cet événement est proposé gratuitement.
Réservation fortement recommandée : https://centreculturelcoreen.mapado.com/fr
La réservation en ligne ouvrira 2 semaines avant la date de l’évènement.
CENTRE CULTUREL CORÉEN
AUDITORIUM
Pour plus d'informations consultez le site internet
Retour à la listeDANSE1MILLION : Dance Workshop
16/04/2024
Lundi 29 avril et vendredi 3 mai 2024 Fondé en 2014, le studio 1MILLION compte actuellement une trentaine de chorégraphes. Situé à Seongsu-dong (Séoul, Corée), il organise des programmes variés tels que des ateliers de tous niveaux dirigés par...
Lire l'articleLundi 29 avril et vendredi 3 mai 2024
Fondé en 2014, le studio 1MILLION compte actuellement une trentaine de chorégraphes. Situé à Seongsu-dong (Séoul, Corée), il organise des programmes variés tels que des ateliers de tous niveaux dirigés par ses chorégraphes attitrés, ainsi que des cours invitant des intervenants extérieurs.
Ce printemps, le studio 1MILLION ouvre quatre ateliers dans les murs de la Maison de la Corée (Cité internationale universitaire de Paris). En outre, plusieurs artistes prenant part au spectacle Urban Pulse Uprising de la Saison de Corée 2024 dirigeront ces ateliers.
*Mise en place d’une traduction consécutive du coréen au français.
Lundi 29 avril
Horaire : 14h-15h20 (80min)
Lieu : Lieu Maison de la Corée (Cité internationale universitaire de Paris)
Chorégraphe : YECHAN
Niveau : Avancé
Lundi 29 avril
Horaire : 16h-17h20
Lieu : Lieu Maison de la Corée (Cité internationale universitaire de Paris)
Chorégraphe : Lia kim x YELL
Niveau : Débutant
Vendredi 3 mai
Horaire : 14h-15h20 (80min)
Lieu : Lieu Maison de la Corée (Cité internationale universitaire de Paris)
Chorégraphe : SWF 1MILLION
Niveau : Avancé
Vendredi 3 mai
Horaire : 16h-17h20 (80min)
Lieu : Lieu Maison de la Corée (Cité internationale universitaire de Paris)
Chorégraphe : Kooyoung Back x NINO
Niveau : Débutant
Comment vous inscrire
- Lien pour s’inscrire : https://forms.gle/Ay4zFG1rPTQW49jP6
- Période d’inscription : du vendredi 29 mars au vendredi 19 avril 2024 midi.
* Les ateliers sont réservés aux 40 premières personnes inscrites. La liste de participants pourra être clôturée avant la fin de la période d’inscription.
* Les frais d’inscription sont de 35 € par personne et par atelier. Une facture de la part du Studio 1 Million sera adressée individuellement par email pour chaque atelier.
* Des circonstances exceptionnelles peuvent mener au remplacement des artistes en charge des ateliers. Le cas échéant, les participants seront prévenus au préalable par email.
MAISON DE LA COREE (Cité internationale universitaire de Paris)
9G Boulevard Jourdan
75014 Paris
Pour plus d'informations consultez le site internet
Retour à la listeCONFERENCE« Hallyu : Histoire de la K-pop »
29/03/2024
Vendredi 5 avril 2024 à 15h La Hallyu, la vague culturelle venue de Corée qui déferle sur le monde depuis maintenant plusieurs années, n’a pas fini de faire parler d’elle. Présentée par Monsieur Il-Yul LEE, directeur du Centre Culturel Cor&eacut...
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La Hallyu, la vague culturelle venue de Corée qui déferle sur le monde depuis maintenant plusieurs années, n’a pas fini de faire parler d’elle. Présentée par Monsieur Il-Yul LEE, directeur du Centre Culturel Coréen à Paris, cette conférence sera l’occasion de faire un voyage dans le temps à la découverte de la genèse de la K-pop et des différentes périodes clés qui ont marqué son histoire.
De la culture coloniale japonaise des années 1930 aux succès des idols d’aujourd’hui, la K-pop s’inscrit véritablement comme l’un des grands piliers de la vague culturelle Hallyu venue de Corée. Avec de nombreux exemples à l’appui, cette rencontre permettra de faire découvrir à nos amis français l’histoire de l’industrie musicale coréenne et les artistes qui l’ont façonnée, mais aussi d’évoquer comment la K-pop, au départ cantonnée au rôle de produit culturel national, est parvenue à se faire une place à l’international.
Une conférence indispensable à une meilleure compréhension des mécanismes de la K-pop, qui connaît un succès grandissant depuis quelques années en Occident - notamment en France, pays qui compte le plus de ses fans en Europe.
Profil de Monsieur Il-Yul LEE
Directeur du Centre Culturel Coréen à Paris, Monsieur Il-Yul LEE est également Ministre-conseiller auprès de l’Ambassade de Corée pour la Culture, les Sports et le Tourisme. Il a fait une partie de ces études en France, et est titulaire d’un doctorat de géographie appliquée à la culture et au tourisme obtenu à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Avant sa nomination au poste de directeur du Centre Culturel Coréen, Monsieur Il-Yul LEE était conseiller auprès de différentes institutions et collectivités locales telles que la ville de Séoul, le Ministère coréen de la Culture, etc. Il était également professeur titulaire en gestion hotellière et touristique à la Sejong Cyber University (Séoul).
Renseignements et inscription sur
https://u-paris.fr/universite-ouverte/la-hallyu-une-vague-culturelle-qui-vient-dasie-de-lest/
UNIVERSITÉ PARIS CITÉ
Campus Grands Moulins
5 rue Thomas Mann
75013 PARIS
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Retour à la listeCINEMA3e édition de « Nant/Co » : Festival du film coréen de Nantes
22/03/2024
Du 3 au 8 avril 2024 Cette année, le Festival du Film Coréen Nant/Co fait son grand retour à Nantes avec une troisième édition co-organisée avec le Centre Culturel Coréen, en collaboration avec le Festival du Film Coréen de Paris et 4 cin&eacu...
Lire l'articleDu 3 au 8 avril 2024
Cette année, le Festival du Film Coréen Nant/Co fait son grand retour à Nantes avec une troisième édition co-organisée avec le Centre Culturel Coréen, en collaboration avec le Festival du Film Coréen de Paris et 4 cinémas partenaires de la région nantaise (Le Cinématographe, Bonne Garde, Le Beaulieu et Saint-Paul).
Le festival Nant/Co se veut accessible au plus grand nombre et propose donc une programmation variée qui saura satisfaire la curiosité du public nantais pour la création cinématographique coréenne. Les films sont souvent chocs, mais dans le bon sens du terme. Le cinéma coréen nous fait passer du rire aux larmes avec une facilité déconcertante. Son genre, atypique, inclassable, oscillant sans cesse entre horreur et comédie, thriller et drame psychologique, nous bouscule et nous surprend. La vengeance, la lutte des classes ou encore l’impuissance d’un personnage face aux forces du destin, sont autant de thématiques récurrentes du cinéma coréen.
Cette année, la programmation propose un tour d’horizon composé de six œuvres de réalisateurs issus de la génération de cinéastes coréens nés dans les années 1960-70. Ainsi, la diversité des sujets qu’ils traitent se veut être le reflet d’un foisonnement coréen qui a su trouver sa place dans l’univers international du 7e art.
Programmation :
Cinéma Saint-Paul, Rezé
Mercredi 3 avril, 20h
Ouverture du festival avec la projection de Young Adult Matters (2021), de Lee Hwan / 2h08 (VOST)
Cinéma Bonne Garde, Nantes
Jeudi 4 avril
20h30 : Rebound (2023), de Chang Hang-jun / 2h02 (VOST)
Cinéma Le Beaulieu, Bouguenais
Jeudi 4 avril
20h : The Night Owl (2022), de Ahn Tae-jin / 1h58 (VOST)
Cinéma Saint-Paul, Rezé
Vendredi 5 avril 20h30 : Smugglers (2023), de Ryoo Seung-wan / 2h09 (VOST)
Samedi 6 avril
15h : Krisha et le Maître de la forêt (2023), de Park Jaebeom / 1h08 (VOST)
Cinéma Bonne Garde, Nantes
Dimanche 7 avril
15h : Young Adult Matters (2021), de Lee Hwan / 2h08 (VOST)
Le Cinématographe, Nantes
Lundi 8 avril
20h30 : Memories of Murder (2003), de Bong Joon-ho / 2h12 (VOST)
Retrouvez le détail du programme sur www.printempscoreen.com, les réseaux sociaux ou les cinémas partenaires.
NANTES, REZÉ, BOUGUENAIS
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Retour à la listeEVENEMENT10e anniversaire de l’association K-54 à Nancy
12/03/2024
Samedi 23 et dimanche 24 mars 2024 À l’occasion de son dixième anniversaire, l’association sur la culture coréenne de Nancy "K-54" propose un week-end de fête à la MJC Pichon les samedi 23 et dimanche 24 mars.Au programme : concert mêlant mus...
Lire l'articleSamedi 23 et dimanche 24 mars 2024
À l’occasion de son dixième anniversaire, l’association sur la culture coréenne de Nancy "K-54" propose un week-end de fête à la MJC Pichon les samedi 23 et dimanche 24 mars.
Au programme : concert mêlant musique traditionnelle et contemporaine de E’ Joung-Ju (joueuse de cithare coréenne geomungo), rencontres chorégraphiques autour de la musique et de la danse K-pop, atelier de calligraphie, traiteur coréen sur place et repas coréens sur réservation, random play dance, quizz, atelier de yoga et de beauté coréenne, soirée K-pop, et bien d’autres surprises..
Un événement à ne surtout pas manquer !
MJC PICHON
7 boulevard du Recteur Senn
54000 NANCY
Tout le programme à venir sur
www.mjcpichon.com
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Retour à la listeCONFERENCE Rencontre spéciale - Korea : A New History of South and North
01/03/2024
Lundi 18 mars 2024 à 18h30 Rencontre spéciale avec les professeurs Victor Cha et Ramon Pacheco Pardo(en langue anglaise uniquement) Le Centre Culturel Coréen organise une rencontre exceptionnelle en langue anglaise autour du livre « Korea : A New History of S...
Lire l'articleLundi 18 mars 2024 à 18h30
Rencontre spéciale avec les professeurs Victor Cha et Ramon Pacheco Pardo
(en langue anglaise uniquement)
Le Centre Culturel Coréen organise une rencontre exceptionnelle en langue anglaise autour du livre « Korea : A New History of South and North », en présence des auteurs et professeurs Victor Cha et Ramon Pacheco Pardo. Cet événement offrira une occasion unique d’écouter les diverses opinions des co-auteurs sur la Corée, opinions qui s’appuient sur les différents éléments présentés dans leur essai, "KOREA : A New History of South and North", paru en anglais en juin 2023 chez Yale University Press (non traduit).
Durant cette rencontre, les auteurs mettront en lumière la trajectoire historique moderne, le développement et les perspectives d’avenir de la péninsule coréenne. Cette session sera également suivie d’une partie questions et réponses avec le public.
Une nouvelle histoire majeure de la Corée du Nord et de la Corée du Sud, de la fin du XIXe siècle à nos jours
La Corée a une histoire longue et fascinante ; c’est aussi une nation divisée. La Corée du Sud, dixième plus grande économie, est une démocratie dynamique riche d’une culture désormais reconnue mondialement. La Corée du Nord, quant à elle, est dirigée par le régime le plus autoritaire au monde. Bien que située dans une région riche du globe, ce pays à la population frappée par la pauvreté est surtout connu pour le culte de la personnalité qui entoure la famille Kim au pouvoir. Et pourtant, les deux Corées partagent une histoire commune.
Victor Cha et Ramon Pacheco Pardo s’appuient sur des décennies de recherche pour explorer l’histoire de la Corée moderne, de la fin du XIXe siècle jusqu’à nos jours, en passant par l’occupation japonaise et la partition en deux de la péninsule au cours de la guerre froide. Petit pays pris au piège parmi les plus grandes puissances mondiales – dont la Chine, le Japon, la Russie et les États-Unis – le destin de la Corée est étroitement lié à sa géographie et à la force de ses dirigeants et de sa société. Cette histoire complète met en lumière l’évolution des identités des deux Corées, expliquant les fortes différences entre le Nord et le Sud, ainsi que les perspectives d’unification.
Victor Cha est professeur d’université émérite, professeur de gouvernement à l’université de Georgetown et vice-président principal pour l’Asie et la Corée, et également président du Centre d’études stratégiques et internationales à Washington D.C. Il est aussi l’ancien directeur des affaires asiatiques au Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche.
Ramon Pacheco Pardo est professeur de relations internationales au King’s College de Londres et titulaire de la chaire KF-VUB Corée à l’Université libre de Bruxelles.
Cette rencontre sera animée par Françoise Nicolas, chercheuse et conseillère du centre Asie de l’Institut français des relations internationales (Ifri).
Conférence donnée en langue anglaise uniquement
Comme toutes les activités du Centre, cet événement est proposé gratuitement.
Réservation fortement recommandée : https://centreculturelcoreen.mapado.com
La réservation en ligne ouvrira 2 semaines avant la date de l’évènement.
CENTRE CULTUREL CORÉEN
AUDITORIUM
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Retour à la listeEXPOSITIONThe Third Place : Exposition de l’Association des Jeunes Artistes Coréens
14/02/2024
Du 29 novembre 2023 au 16 mars 2024 Comme chaque année, les membres de l’Association des Jeunes Artistes Coréens se réunissent pour relever un nouveau défi ; interroger le travail de chacun à travers un thème qui leur permet d’avoir un rega...
Lire l'articleDu 29 novembre 2023 au 16 mars 2024
Comme chaque année, les membres de l’Association des Jeunes Artistes Coréens se réunissent pour relever un nouveau défi ; interroger le travail de chacun à travers un thème qui leur permet d’avoir un regard inédit. À l’occasion des 40 ans de l’AJAC, ce rendez-vous annuel est d’autant plus significatif que les opportunités d’une remise en question s’offrent à ses artistes, non seulement par le biais de leur activité associative, mais aussi grâce à celle de chaque membre en tant qu’artiste individuel.
Du latin cum, “co-” est un préfixe signifiant “avec”. Il entre dans la composition de nombreux mots indiquant l’association, la participation ou la simultanéité, tels que dans coauteur, cohabitation, coworking, etc. En effet, on constate actuellement l’essor des collectifs d’artistes et de curateurs, mais aussi un intérêt accru pour l’économie collaborative dans de très nombreux secteurs d’activité. Cela renvoie ainsi au terme de tiers-lieu (« The Third Place »), qui fait référence aux environnements sociaux développés par Ray Oldenburg, sociologue urbain, dans son livre “The Great Good Place”.
Intitulée « The Third Place », cette nouvelle exposition de l’AJAC vise à trouver un temps d’échange pour repenser ce lieu commun afin que les artistes puissent librement l’interpréter et réinventer un modèle de collaboration, favorisant ainsi les échanges et discussions entre eux.
Cliquez ici pour télécharger le catalogue de l’exposition
Exposants :
Bae Seungjoo, Choi Hyungsub, Demilé, Gheem Sookyoung, Ha Yoomi, Hong Bora, Hong Sungyeon, Bahc Hyun, Kim Haeun, Kim Jaeyoung, Kim Jina, Kwon Hyeoki, Lee Hyewon, Lee Mareh, Lee Seunghwan, Lee Songhee, Lim Hyojin, Park Hyejung, Park Seobin, Shin Minseo, Son Jiyoung, Woo Cheyon, Yoon Miji, Zion.
CENTRE CULTUREL
ESPACE D’EXPOSITION 2
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Retour à la listeCINEMA30e Festival International des Cinémas d’Asie de Vesoul
16/01/2024
Du 6 au 13 février 2024 Depuis 30 ans, le Festival International des Cinémas d’Asie de Vesoul fait découvrir toutes les cinématographies du continent asiatique et favorise, par le biais du cinéma, le dialogue entre les cultures et la découverte de l&r...
Lire l'articleDu 6 au 13 février 2024
Depuis 30 ans, le Festival International des Cinémas d’Asie de Vesoul fait découvrir toutes les cinématographies du continent asiatique et favorise, par le biais du cinéma, le dialogue entre les cultures et la découverte de l’autre. Outre les compétitions fiction et documentaire, le festival comprend aussi une section thématique, des rétrospectives, des hommages, etc.
Il propose chaque année, depuis sa création en 1995, des films coréens et invite régulièrement de nombreux réalisateurs, acteurs et personnalités coréennes du monde du cinéma : Sin Songil, Lee Doo-yong, Hur Jin-hwan, Lee Myung-se, Im Sang-soo, Jeon Kyu-hwan, Bae Chang-ho, Kim Dong-ho et bien d’autres...
Afin de célébrer les 30 printemps du festival, le Jury Marc Haaz - jury créé en la mémoire du directeur technique du FICA décédé tragiquement dans un accident aéronautique le 30 juillet 2021 – sera présidé par Madame Seo Seughee, programmatrice du prestigieux Festival International du Film de Busan. Ce jury jugera les films de la compétition longs-métrages de fiction et décernera son prix au réalisateur.
Monsieur Park Hong-jun, sera présent pour présenter son film Work to Do en compétition en première internationale.
Jun-hee est manager dans une PME industrielle de province depuis quatre ans. Transféré au département des Ressources Humaines, son administration le charge de créer une liste d’employés à congédier dans le cadre d’une restructuration. Jun-hee n’a d’autre choix que de s’exécuter, la passivité et la honte chevillées au corps.
Dans la section thématique « L’engagement », le FICA a sélectionné :
About Kim Sohee de Jung July, sur l’engagement professionnel d’une policière, et Printemps, Eté, Automne, hiver… et printemps de Kim Ki-duk, sur l’engagement religieux.
Dans la section « Les 30 ans du FICA et les 30 ans du prix NETPAC » sera présenté Animal Town de Jeon Kyu-hwan, qui a reçu le prix NETPAC en 2010 au FICA de Vesoul.
Oh Seong-cheul est un homme de parole, mais son bracelet électronique à la cheville lui rappelle ce qu’il est en réalité. Il veut devenir un autre homme. Il lutte contre ses démons intérieurs en menant une vie dure comme simple manœuvre dans le bâtiment. Kim Hyeong-do est un homme désespéré. Patron d’une petite imprimerie, il doit licencier l’un de ses deux employés. Il vit avec le souvenir d’un drame qui a brisé sa famille. Tout bascule un jour, lorsque les deux hommes se rencontrent.
Enfin dans la section jeune public, Piro Piro de Baek Miyoung et Min Sung-Ah enchantera petits et grands.
Un ensemble de 6 films d’animation poétiques et sensibles dévoilant des univers aux couleurs pastel et chaleureuses. Des petits oiseaux tissent le lien entre ces films, dans lesquels on partage des instants de tendresse et d’humour.
Le catalogue papier du festival sortira vers la fin janvier et sera également consultable en ligne.
Copyright de l’affiche : Marie Melcore
FESTIVAL INTERNATIONAL DES CINÉMAS D’ASIE – FICA
70000 VESOUL
Renseignements sur le détail du programme, les salles et horaires du Festival International des Cinémas d’Asie de Vesoul : festival.vesoul@wanadoo.fr – www.cinemas-asie.com
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Retour à la listeARTExposition-hommage : Lignes infinies, au fil de l’art de Kim Jung Gi
30/11/2023
Du 16 novembre 2023 au 16 mars 2024 Le Centre Culturel Coréen organise, du 16 novembre 2023 au 16 mars 2024, une exposition hommage à l’artiste Kim Jung-Gi, tout particulièrement connu pour ses performances graphiques au cours desquelles il réalisait des fresques a...
Lire l'articleDu 16 novembre 2023 au 16 mars 2024
Le Centre Culturel Coréen organise, du 16 novembre 2023 au 16 mars 2024, une exposition hommage à l’artiste Kim Jung-Gi, tout particulièrement connu pour ses performances graphiques au cours desquelles il réalisait des fresques à main levée en direct et en public. Ce dessinateur coréen avait, en effet, un lien particulier avec la France puisqu’il y avait débuté sa carrière internationale en 2012 à Strasbourg, et est décédé à Villepinte en 2022.
Encensé par la critique, Kim Jung Gi était considéré par beaucoup comme un dessinateur très prometteur, sa plume dynamique remplissant, au gré de son inspiration, toiles et pages blanches d’une multitude de personnages que l’on croirait saisis en plein mouvement. Afin de lui rendre hommage et pour célébrer l’ouverture en Corée du tout nouveau musée qui lui est consacré́, le Centre Culturel Coréen présente une exposition réunissant plusieurs œuvres de Kim Jung Gi, ainsi que des travaux collaboratifs ayant particulièrement marqué sa carrière.
Kim Jung Gi : biographie et carrière
Kim Jung Gi est un artiste, illustrateur, et dessinateur de bande-dessinée coréen. À 19 ans, il rentre à l’université Dong-Eui de laquelle il ressort avec un master en art et design. Il est mondialement connu de par sa capacité à dessiner habilement des dessins complexes fourmillant de détails.
Véritable passionné, Kim Jung Gi griffonnait dès qu’il avait un stylo ou un crayon et du papier en main, et ce quel que soit l’endroit où il se trouvait. Ainsi, ses dessins traitent avec polyvalence une très large palette de sujets.
Il a par ailleurs mis à contribution son expérience en enseignant à l’université, puis en co-fondant sa propre école (Anichanga Art School à Séoul) avec l’instructeur, illustrateur et peintre Kim Hyunjin.
Carrière internationale et projets en France
Kim Jung Gi a émergé sur la scène internationale en 2012, à Strasbourg lors du festival Strasbulles. Il est alors invité à se produire dans le monde entier - notamment en France, aux États-Unis et un peu partout en Asie - dans les plus grands salons et festivals pour réaliser des performances graphiques, des drawing shows au cours desquelles il dessine de grandes fresques à main levée. Les vidéos de ces événements comptent plusieurs millions de vues sur Internet.
Également dessinateur de BD, il a réalisé entre 2007 et 2011 les six albums de la série TLT - Tiger the Long Tail avec Park Seung-Jin au scénario. Sa notoriété en France s’est par la suite renforcée, notamment de par sa collaboration avec le scénariste Jean-David Morvan (Spygames aux éditions Glénat, puis McCurry, NY 11 Septembre 2001 aux éditions Dupuis).
En outre, Kim Jung Gi a collaboré à divers comics américains (Flash, Civil War II) et européens. Certaines collaborations sont parfois étonnantes mais toujours excellemment bien exécutées : Adidas, Société de Céramique Gwangjuyo, PSG, etc. Ses œuvres ont été exposées aussi bien dans des galeries que dans des musées, un peu partout à travers le monde.
Comme un signe du destin, les derniers drawing shows qu’il a donnés ont été réalisés à Paris l’an dernier, à la Galerie Daniel Maghen. C’est durant ce passage à Paris qu’il collabora le 1er octobre 2022 à un projet avec la fondation du club de foot Français et le PSG. Vêtu du maillot de Lionel Messi lors du match Paris-Nice, il a réalisé une performance artistique en direct du Parc des Princes. Deux jours plus tard, il succombera brutalement à l’âge de 47 ans, victime d’un arrêt cardiaque.
Exposition « Lignes infinies, au fil de l’art de Kim Jung Gi »
L’exposition, qui sera découpée en plusieurs espaces au premier étage du Centre Culturel Coréen, présentera différentes facettes du travail de Kim Jung Gi.
Tout d’abord, le public découvrira l’espace “Thinking”, propice à la méditation et à la réflexion, où le dessin s’alliera à la musique traditionnelle. Les sons de percussion de la musicienne Kim Sora résonneront pour donner une nouvelle dimension aux tracés de Kim Jung Gi grâce aux sonorités du ajaeng (sorte de cithare coréenne), du saenghwang (orgue à bouche) et du jing (grand gong en métal). La musique crée ainsi une connexion renvoyant l’image de minuscules étoiles flottant autour de soi. Des sièges seront mis à disposition des visiteurs afin de leur faire profiter de cette atmosphère apaisante qu’accompagnent le dessin et la musique.
L’exposition se poursuivra vers une fresque de 10 mètres, l’œuvre la plus imposante de Kim Jung Gi. Chaque élément de ce dessin gigantesque s’entremêlera pour donner vie à un véritable “Monde Connecté”.
Dans l’espace suivant, le public découvrira une rétrospective des œuvres de l’illustrateur (avec des croquis datant du début de sa carrière, des plaquettes de comics et bien d’autres). Seront également présentées certaines collaborations de Kim Jung Gi, telles que la paire de sneakers réalisée avec Adidas, ou encore sa performance au Parc des Princes pour le PSG. Cette salle vise aussi à faire découvrir sa carrière internationale, et plus particulièrement en France.
Enfin, la visite s’achèvera sur une collaboration surprenante et formidable de Kim Jung Gi avec la marque de Céramique Gwangjuyo. Certaines céramiques ont été customisées par l’artiste lui-même. De nombreux céramistes ont par la suite été influencés par la philosophie de travail de Kim Jung Gi, créant des pièces uniques.
Commissaire d’exposition : Haeyoung KIM
CENTRE CULTUREL CORÉEN
ESPACE D’EXPOSITION 1
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Retour à la listeCONFERENCEHALLYUWOOD – Le cinéma coréen sur une vague
20/10/2023
Mercredi 8 novembre à 18h30 Avec la participation de Bastian Meiresonne, auteur du livre "Hallyuwood. Le cinéma coréen" Depuis deux décennies, le cinéma coréen jouit d’une grande popularité grâce à des films à succès...
Lire l'articleMercredi 8 novembre à 18h30
Avec la participation de Bastian Meiresonne, auteur du livre "Hallyuwood. Le cinéma coréen"
Depuis deux décennies, le cinéma coréen jouit d’une grande popularité grâce à des films à succès tels que Parasite (2019), Burning (Lee Chang-dong, 2018), Dernier Train pour Busan (Yeon Sang-ho, 2016), J’ai rencontré le Diable (Kim Jee-woon, 2010), The Chaser (Na Hong-jin, 2008), Ivre de Femmes et de Peinture (Im Kwon-taek, 2002), pour n’en citer que quelques-uns. Cette reconnaissance internationale a émergé simultanément avec l’essor de la « vague hallyu » à la fin des années 1990.
Pendant la seconde moitié des années 1990, de nouvelles mesures politiques de soutien et de promotion donnent naissance au phénomène de la « hallyu », qui consiste en la diffusion mondiale de la culture coréenne sous diverses formes, telles que la k-pop (musique coréenne), les k-dramas (séries télévisées), la mode ou encore la cuisine. Le succès phénoménal de plusieurs k-dramas, comme First Love (Lee Eung-jin, 1996-97, 268 épisodes), Sonate d’Hiver (Yoon Seok-ho, 2002, 20 épisodes) et Jewel in the Palace (Kim Geun-hong, 2003-04, 54 épisodes), d’abord en Asie, puis dans le monde entier, attire l’attention sur des stars comme Bae Yong-jun, Rain, Choi Ji-woo ou Lee Young-ae.
Le cinéma coréen profite de cette reconnaissance à l’échelle internationale : Nom de Code : Shiri (Kang Je-gyu, 1999) s’exporte notamment au Japon, à Taïwan et à Hong Kong, où il occupe la tête du box-office local pendant deux semaines, une première pour un film coréen. My Sassy Girl (Kwak Jae-young, 2001) génère des recettes record, à l’époque, de 35 millions de dollars en se plaçant premier des box-offices japonais, taïwanais et hongkongais. Le film devient un véritable phénomène et donne naissance à de nombreux remakes officiels et officieux, en Inde, au Népal, aux Philippines et en Indonésie.
La conférence « HALLYUWOOD - Le cinéma coréen sur une vague » explore les origines de la reconnaissance mondiale de ce dernier en relation avec le phénomène de la vague hallyu à travers une série d’anecdotes historiques savoureuses et d’extraits de films célèbres ou tombés depuis dans l’oubli.
Cette conférence sera suivie d’une séance de dédicaces du livre HALLYUWOOD, le cinéma coréen par l’auteur. Les visiteurs auront également l’opportunité de se procurer l’ouvrage sur place.
©Photo de tournage du court-métrage Premier amour (Lee Myung-se, 1993)
Comme toutes les activités du Centre, cet événement est proposé gratuitement.
Réservation fortement recommandée : https://centreculturelcoreen.mapado.com
La réservation en ligne ouvrira 2 semaines avant la date de l’évènement.
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Retour à la listeMUSIQUEConcert de Pansori au Centre Culturel Coréen
12/10/2023
Le vendredi 3 novembre 2023, concert de pansori donné à l'occasion de la sortie de l'ouvrage "Le Dit de Sim Cheong, fille vertueuse" Par Kim Kyungah (chanteuse sorikun) et Jang Boyoung (tambour gosu). Spectacle surtitré par Han Yumi. Kim Kyungah, maîtresse d&e...
Lire l'articleLe vendredi 3 novembre 2023, concert de pansori donné à l'occasion de la sortie de l'ouvrage "Le Dit de Sim Cheong, fille vertueuse"
Par Kim Kyungah (chanteuse sorikun) et Jang Boyoung (tambour gosu). Spectacle surtitré par Han Yumi.
Kim Kyungah, maîtresse dépositaire de la version dite « des Rivières et Montagnes » du pansori du Dit de Simcheong, sera accompagnée au tambour par le brillant Jang Boyoung. Tous deux interprèteront d’un seul tenant toute la fin de l’œuvre, sommet de cocasserie présentant les mésaventures d’un père très âgé et aveugle s’achevant sur le moment où sa fille vertueuse, devenue reine, le retrouve voyant à nouveau.
Le concert sera introduit par Hervé Péjaudier, qui empruntera le rôle de conteur pour résumer les nombreuses péripéties menant à cet heureux dénouement. Enfin, la conférence se conclura d’une séance de dédicace de l’ouvrage par les intervenants.
Autres manifestations :
* Lundi 6 novembre, 18 h : Présentation de l’ouvrage et dédicace par les traducteurs et les interprètes. (Librairie Le Phénix, 72 boulevard de Sébastopol, Paris 3e) ;
* Mardi 7 novembre, 18 h : Conférence-spectacle gratuite donnée par les traducteurs et les interprètes (Université Ouverte, Campus Grands Moulins. Renseignements et inscription gratuite sur : www.billetweb.fr/le-pansori)
Dans le cadre des 20 ans de la patrimonialisation du pansori par l’UNESCO, le Centre Culturel Coréen a le plaisir de proposer au public français deux soirées autour de la parution de l’ouvrage « Le Dit de Sim Cheong, fille vertueuse » (éditions IMAGO, 2023). Ces événements sont réalisés en collaboration avec le festival K-VOX, avec le soutien du LTI-Korea et de la fondation WOORI-SORI.
Comme toutes les activités de notre Centre, cet événement est proposé gratuitement.
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Retour à la listeCINEMA18e Festival du Film Coréen à Paris
07/09/2023
Du 31 octobre au 7 novembre Rendez-vous incontournable de l’automne parisien, le Festival du Film Coréen à Paris (FFCP) revient fin octobre pour sa 18e édition. Étant l’un des plus grands festivals dédiés au cinéma coréen en Europe...
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Rendez-vous incontournable de l’automne parisien, le Festival du Film Coréen à Paris (FFCP) revient fin octobre pour sa 18e édition. Étant l’un des plus grands festivals dédiés au cinéma coréen en Europe, et le plus important en France, le FFCP explore et fait découvrir d’année en année tout le spectre du cinéma coréen, dans une atmosphère festivalière conviviale, et ce à travers un large éventail de films.
Manifestation cinématographique majeure très attendue par tous les amateurs de films coréens, le FFCP a su s’imposer au fil des années grâce à la qualité de sa programmation. Des films coréens totalement inédits en France seront ainsi projetés dans les vastes salles du Publicis Cinéma, sur les Champs-Élysées.
Le programme du FFCP est en cours de finalisation à l’heure où nous mettons sous presse. Pour obtenir plus d’informations et connaître la sélection complète de la 18e édition, ainsi que les horaires des séances, merci de consulter à partir de début octobre le site officiel du festival : www.ffcp-cinema.com
Informations et billetterie (à venir) sur
www.ffcp-cinema.com et facebook.com/FFCPCinema
PUBLICIS CINÉMAS
129, avenue des Champs-Élysées
75008 PARIS
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Retour à la listeLITTERATURESoirée de présentation du roman « Impossibles adieux » de Han Kang
28/08/2023
Mardi 5 septembre à 18h30 Rencontre littéraire organisée en présence de l’autriceUne rencontre animée par l’écrivaine Jakuta Alikavazovic Les éditions Grasset et le Centre Culturel Coréen sont heureux d’accueillir Han Kang...
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Rencontre littéraire organisée en présence de l’autrice
Une rencontre animée par l’écrivaine Jakuta Alikavazovic
Les éditions Grasset et le Centre Culturel Coréen sont heureux d’accueillir Han Kang pour un événement exceptionnel à la Maison de la Corée. Elle y présentera son dernier roman « Impossibles adieux », sorti en librairie le 23 août.
Comme un long songe d’hiver, Han Kang nous fait voyager entre la Corée du Sud contemporaine, l’île de Jeju et une mémoire traumatique qui y est enfouie depuis des décennies. « Impossibles adieux » est non seulement un hymne à l’amitié, mais aussi un puissant réquisitoire contre l’oubli.
Cette rencontre permettra d’entendre la voix de celle qui est aujourd’hui considérée comme la plus grande autrice coréenne.
À propos de l’autrice
Née en 1970 à Gwangju, Han Kang a étudié la littérature à l’université de Yonsei, à Séoul. Elle débute sa carrière littéraire comme poétesse puis publie son premier roman à l’âge de 24 ans. C’est en 2016 que le monde entier découvre son œuvre, lorsqu’elle remporte le très prestigieux Booker Prize pour « La Végétarienne ». La parution de chacun de ses livres constitue un événement dans son pays et à l’international.
Comme toutes les activités du Centre Culturel Coréen, cet événement est proposé gratuitement.
Réservation fortement recommandée : https://centreculturelcoreen.mapado.com
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Retour à la listeCULTURELa Corée à portée de Pass Culture !
10/08/2023
Du 10 juillet au 31 août 2023 Cet été, le Centre Culturel Coréen à Paris souhaite la bienvenue aux jeunes détenteurs du Pass Culture. Choisissez votre créneau horaire et bénéficiez d’une visite guidée unique durant laquelle ...
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Cet été, le Centre Culturel Coréen à Paris souhaite la bienvenue aux jeunes détenteurs du Pass Culture. Choisissez votre créneau horaire et bénéficiez d’une visite guidée unique durant laquelle vous pourrez découvrir les expositions du moment au sein du Centre Culturel Coréen !
En bonus, vous pourrez repartir avec un petit cadeau surprise ! Une belle occasion de découvrir la culture coréenne et les nouvelles technologies mises au service de l’art.
L’inscription à cette visite guidée nécessite une réservation obligatoire via le site du Pass Culture, celle-ci donnant automatiquement droit à l’accès sans réservation de créneau pour l’exposition immersive ’’Au coeur de la vague’’.
Lien du site : https://passculture.app/offre/94517426
Centre Culturel Coréen, 20 rue de la Boétie, 75008 Paris
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Retour à la listeKPOPOuverture des inscriptions au concours K-Pop World Festival France
28/07/2023
Le concours K-Pop World Festival est un événement international qui se déroule depuis plusieurs années dans près de 72 pays dont la France. Il a pour vocation d’encourager les passionnés de K-Pop à développer leur talent en danse et en ch...
Lire l'articleLe concours K-Pop World Festival est un événement international qui se déroule depuis plusieurs années dans près de 72 pays dont la France. Il a pour vocation d’encourager les passionnés de K-Pop à développer leur talent en danse et en chant. Dans chaque pays, à l’issue d’une première sélection faite sur vidéos enregistrées par les candidats, les meilleurs d’entre eux – individuels ou groupes constitués – sont retenus pour une finale live. Celle-ci se déroulera à Paris dans l’auditorium du Centre Culturel Coréen, et donnera lieu à une compétition à la fois passionnante et festive. Parmi les vainqueurs des différents pays participant au concours, les meilleurs seront ensuite sélectionnés pour une super-finale qui se déroulera en 2024 en Corée, à Changwon. De nombreux groupes et stars coréennes de K-Pop seront présents sur place pour animer cette grande finale.
Si vous aussi vous voulez prendre part à l’aventure cette année, inscrivez-vous au concours « K-Pop World Festival France » !!
A qui s’adresse ce concours ?
◆ Le concours est ouvert à tous les jeunes talents férus de K-Pop, qu’il s’agisse d’individuels ou de groupes constitués (maximum 6 personnes) pratiquant la danse ou le chant.
◆ Cette année, les candidats peuvent concourir dans 2 catégories : chant et danse (il est également possible de choisir les deux).
Sélection et conditions
◆ La sélection se fait dans un premier temps sur vidéo enregistrée de votre performance. Cette vidéo devra contenir une chanson ou une danse (éventuellement accompagnée de chant), cet enregistrement devant être précédé par une brève présentation du candidat (maximum 1 mn).
※Aucun medley (mash-up) ne sera accepté : il vous faudra danser ou chanter sur une seule chanson de votre choix.
◆ Les candidats devront envoyer un lien de la vidéo enregistrée de leur performance sur YouTube, comme inscrit dans ce formulaire :
https://forms.gle/erBd5meUpzqF742c7
Date de dépôt
La date limite de réception des candidatures est fixée au dimanche 17 septembre 2023 à minuit.
Concours final – France
10 candidats seront sélectionnés au total (catégorie chant ET catégorie danse) pour la finale France et avertis du résultat par l’équipe du Centre Culturel Coréen (décisions sans appel) dans les jours qui suivront, afin de participer à une finale live qui aura lieu à Paris le samedi 21 octobre 2023 (exclusivement en ligne pour les spectateurs).
Affichage des résultats pour les participants de la finale
◆ Les noms des finalistes et leurs vidéos seront consultables à partir du 11 octobre 2023 sur le site du Centre Culturel Coréen.
◆ Chaque vidéo sera soumise au vote des internautes, et le résultat sera pris en compte à la fois pour déterminer les vainqueurs au moment de la finale, mais également pour attribuer le « Prix du public ».
◆ À l’issue de cette finale française, les deux gagnants - un pour la catégorie chant et un pour la catégorie danse - recevront un très joli cadeau surprise.
Informations
Pour toute information complémentaire, s’adresser au Centre Culturel Coréen :
kpop.ccc@gmail.com
Concours organisé par le Centre Culturel Coréen, avec le soutien du Ministère sud-coréen de la Culture, des Sports et du Tourisme, et le Ministère sud-coréen des Affaires étrangères.
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Retour à la listeSPORTLe joueur de football Lee Kang-in entre au PSG !
10/07/2023
Le Club de football Paris Saint-Germain vient d'annoncer l'arrivée de Lee Kang-in (이강인) pour les cinq prochaines années !Lee Kang-in, âgé de 22 ans, devient le premier joueur sud-coréen à rejoindre le prestigieux club et le treizième à int...
Lire l'articleLe Club de football Paris Saint-Germain vient d'annoncer l'arrivée de Lee Kang-in (이강인) pour les cinq prochaines années !
Lee Kang-in, âgé de 22 ans, devient le premier joueur sud-coréen à rejoindre le prestigieux club et le treizième à intégrer la Ligue 1. Originaire d'Incheon, il s'est fait connaître en 2007 grâce à l'émission de télé-réalité sud coréenne "Fly Shoot Dori", qui mettait en lumière de jeunes prodiges du ballon rond. À seulement 10 ans, il s'est envolé pour Valence où il a fait toute sa formation. À l'âge de 17 ans, il est devenu le plus jeune joueur étranger à faire ses débuts sous les couleurs du club espagnol, arborant le maillot rouge et jaune.
Lee Kang-in a également brillé avec son pays lors de la Coupe du monde U20 en 2019, inscrivant deux buts et délivrant quatre passes décisives. Ces performances lui ont valu le titre de meilleur joueur de la compétition, tandis que l'équipe de Corée du Sud atteignait la finale.
Après deux saisons à Majorque, Lee Kang-in a choisi de rejoindre le PSG en conservant le numéro 19.
Lee Kang-in a partagé son bonheur de rejoindre le Paris Saint-Germain : "C'est l'un des plus grands clubs du monde, avec certains des plus grands joueurs du monde. Je suis impatient de commencer cette nouvelle aventure".
©Page officielle du PSG
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Retour à la listeEXPOSITION« Dans le cœur de la vague » Exposition immersive en mapping vidéo
29/06/2023
Du 26 juin au 30 août Dans la volonté de présenter un volet numérique à l’exposition « Frétillante Busan, le monde à portée de flots », le Centre Culturel Coréen propose, pour la troisième année ...
Lire l'articleDu 26 juin au 30 août
Dans la volonté de présenter un volet numérique à l’exposition « Frétillante Busan, le monde à portée de flots », le Centre Culturel Coréen propose, pour la troisième année consécutive, une expérience éphémère faisant appel au mapping vidéo.
Cette année encore, les œuvres digitales des studios graphiques coréens d’strict et davvero art, ainsi que de quatre artistes (Kang Yiyun, Min Joonhong, Kohui et Hyun Jiwon) investissent tout le volume de l’auditorium du Centre, offrant aux visiteurs une parenthèse de fraîcheur sur le thème de Busan.
Grâce aux récentes prouesses technologiques de l’image, c’est donc un ensemble de six œuvres animées qui est projeté dans l’enceinte de l’auditorium, offrant une expérience immersive qui donne envie de découvrir la deuxième ville de Corée et ses merveilles marines.
Artistes participants :
d’strict « Aurora Beach »
Le studio d’strict adapte son savoir-faire artistique à l’évolution de la technologie des médias numériques afin de créer des contenus offrant des expériences innovantes. Au cours de cet événement, il présentera sa création Aurora Beach, qui mêle le son enveloppant des vagues et la lumière.
d’strict est un studio de design digital qui a été fondé en 2004. Il est composé de plusieurs centaines de professionnels, qui s’emploient à modeler des créations digitales percutantes et créatives et à définir de nouvelles tendances dans le domaine audiovisuel grâce aux toutes dernières technologies. Le studio a récemment gagné en reconnaissance dans le monde grâce à son œuvre Wave, présentée sur la façade du bâtiment COEX dans le quartier de Samsung-dong à Séoul, et qui prend la forme d’une vague en perpétuel mouvement. Il a également réalisé Waterfall-NYC, une création digitale de public art installée à Times Square, New York.
davvero art « Vivid Busan »
davvero art présente sa vision d’une Busan regorgeant de couleurs lumineuses. Le pont Gwang-an, les fleurs de camélia écarlates et la magie pyrotechnique évoquant le Festival international des feux d’artifice sont autant de symboles de la ville côtière repris avec brio par le studio coréen.
davvero art est une entreprise de contenus qui transmet, par le biais du digital, la culture coréenne, sa rencontre avec les êtres humains et les autres cultures du monde, tout en attirant l’attention sur la valeur inestimable du patrimoine. Projections en mapping vidéo, média façades, expériences interactives, réalité virtuelle et animations en 3D sont quelques-uns des nombreux domaines dans lesquels œuvre davvero art.
Kang Yiyun « No Mother Nature 3.0 »
Forte de nombreuses participations à des expositions numériques, Kang Yiyun présente cette année au Centre son œuvre No Mother Nature. Celle-ci a été choisie par la mairie de Busan lors d’une exposition d’art digital. Elle présente une vision multidimensionnelle du dynamisme de la nature et des êtres qui la peuplent. L’œuvre esquisse toute la magnificence de cette Mère Nature. L’artiste exprime ainsi la paradoxale nécessité de se départir de cette personnification.
Après avoir été professeure au Royal College of Art, Kang Yiyun enseigne désormais le design industriel à la KAIST, faculté coréenne des sciences et des technologies. Elle a participé à de nombreux projets artistiques internationaux (biennales de Venise et de Shenzhen, CONNECT, BTS, etc). Plusieurs de ses œuvres sont actuellement conservées à Londres au Victoria and Albert Museum.
Min Joonhong « Real Time Purgatory »
Tirant son inspiration de la mer et de la ville, de la nature et des gens évoluant en harmonie au cœur de Busan, Min Joonhong insuffle la mutation permanente et le développement fulgurant de la cité portuaire dans une œuvre originale empruntant à plusieurs techniques visuelles. Un travail résolument contemporain qui conjugue réel et virtuel et tente de repousser les limites du savoir humain, réalisé dans le cadre des œuvres présentées par la start-up artistique Adler.
Après avoir obtenu une licence puis un master en peinture occidentale à l’Université de Séoul, Min Joonhong a poursuivi ses études à la Slade School of Fine Art de Londres. Depuis, il s’emploie à créer des œuvres inspirées à la fois de cette capitale ainsi que de Séoul. Dessins, installations, vidéos et performances artistiques sont ses médiums de prédilection, grâce auxquels il décrit à sa manière à la fois l’homogénéisation et la subsistance de la culture, ses paysages et sa substance, et les différents acteurs qui la font vivre partout dans le monde.
Kohui « Horizons »
L’œuvre Horizons de l’artiste Kohui est inspirée de ses souvenirs personnels de la mer bordant Busan, chaque instant lui évoquant une réinterprétation de multiples facettes qui ne font finalement qu’une. En se tenant face à cette mer ainsi restructurée, unifiée, l’artiste se trouve sur de nouveaux rivages, fruits de sa propre création.
Basant son travail sur la perception des sons, Kohui aime explorer les sonorités du monde pour mieux tisser des liens entre audio et visuel. Il a participé à de nombreuses expositions et performances artistiques nationales et internationales (WeSA Festival en 2016 et 2018, MUTEK MONTREAL en 2021, ACT FESTIVAL en 2018 et 2022, Seoul International Computer Music Festival en 2022…). Il a également présenté ses travaux au cours de plusieurs expositions collectives (DDP en 2021 et 2022, ZER01NE en 2022, Asia Culture Center en 2022 et 2023).
Hyun Jiwon « The Harbour » (edited version)
The Harbour de Hyun Jiwon symbolise la rencontre contemporaine entre graphismes modernes et musique folklorique. Afin de conter aux visiteurs un récit sur Busan dépassant les spécificités géographiques et historiques de la ville, l’artiste s’est associée à Mok Kilin, flûtiste de piri, et à Kim Moobin, héritier du chant folklorique du nord-ouest de la péninsule coréenne.
Également connue sous le nom d’artiste « z1 », Hyun Jiwon remet en lumière les notions essentielles à nos vies et pourtant trop souvent négligées de méditation, de communication et de progression, ainsi que les phénomènes qui gravitent autour. À travers son travail, elle explore l’espace et les matières afin de présenter la vision créative qu’elle porte aux relations humaines, à la culture et à l’environnement. En 2022, Hyun Jiwon a été sélectionnée en tant qu’artiste de demain pour participer à l’exposition collective Backpacking to the Universe organisée par le centre de design DDP à Séoul. Elle a également exposé la même année à la M.A.D.S. Gallery à Milan lors de la NFT : NEW FREEDOM THINK Exhibition, faisant suite à son exposition personnelle The Journey présentée au terminal 1 de l’aéroport international d’Incheon en 2021.
Comme toutes les activités du Centre, cet événement est proposé gratuitement.
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Retour à la listeART TRADITIONNELStage de pansori et minyo avec Min Hye-sung
16/06/2023
Du 28 août au 8 septembre,du lundi au vendredi de 18h30 à 20h30 Présentation de l’enseignante Disciple de la grande chanteuse Pak Song-hee, trésor national vivant, Min Hye-sung est aujourd’hui, à moins de 40 ans, une spécialiste reconnue de cet ...
Lire l'articleDu 28 août au 8 septembre,
du lundi au vendredi de 18h30 à 20h30
Présentation de l’enseignante
Disciple de la grande chanteuse Pak Song-hee, trésor national vivant, Min Hye-sung est aujourd’hui, à moins de 40 ans, une spécialiste reconnue de cet art emblématique de la culture coréenne qu’est le pansori, “chant traditionnel à une voix avec tambour ”, “récit épique populaire et savant”, ou, pour résumer : “opéra rauque”.
Elle l’enseigne à l’Université Won-Kwang d’Iksan, au coeur de la région du Jeolla, berceau historique du genre, et se produit régulièrement en Corée. Elle tourne aussi en Chine, en Mongolie, en Allemagne, en Belgique et en France.
Contenu du stage
- Compréhension du pansori comme genre.
- Approche des techniques de chant pansori, apprentissage d’un extrait du pansori « Le Dit de Sim Cheong » (Sim Cheong Ga). La partie étudiée est celle nommée “Le père ouvre les yeux”
- Apprentissage des rythmes.
- Travail sur la gestuelle.
- Pratique du “chuimsae”.
- Chant Minyo « Dongnae Arirang », originaire de la région de Busan.
* Stage gratuit ouvert à tous après inscription préalable obligatoire (à partir de fin juillet) sur www.coree-culture.org.
CENTRE CULTUREL
6e ÉTAGE
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Retour à la liste« Musiques et danses coréennes de guérison » Spectacle de la troupe du Centre national du Gugak de Busan
31/05/2023
Jeudi 1er juin 2023 à 20h En collaboration avec le Musée national des arts asiatiques – Guimet, le Centre Culturel Coréen présente un spectacle de musique et de danses traditionnelles, fruit du travail passionné de la troupe du Centre national du Gugak de Bu...
Lire l'articleJeudi 1er juin 2023 à 20h
En collaboration avec le Musée national des arts asiatiques – Guimet, le Centre Culturel Coréen présente un spectacle de musique et de danses traditionnelles, fruit du travail passionné de la troupe du Centre national du Gugak de Busan. Ces arts de la scène investissent l’auditorium du Musée Guimet afin de faire découvrir à nos amis français la richesse des rythmiques et danses de la région du sud de la Corée. Au programme de cette soirée placée sous le signe du patrimoine artistique coréen : deux danses inspirées des rituels chamaniques Salpuri et Jinsoe, ainsi que la captivante danse des moines bouddhiques Seungmu. Un hommage est tout particulièrement rendu à Busan lors de l’interprétation de Jinsoe, au cours duquel le rituel Donghae-an Byeolshin-gut - prière pour la paix et les moissons abondantes - spécifique à la région, est présenté au public parisien.
Un florilège de gestuelles héritées du mystique de la nature et des hommes qui fait montre du talent d’artistes de haut niveau, fidèles transmetteurs de traditions jalousement gardées.
À propos du Centre national du Gugak de Busan
Le Centre national a ouvert ses portes en 2008 dans le cadre d’une volonté de faire se rencontrer la tradition musicale et dansée de la région, ainsi que l’élan de modernisation qui anime la cité portuaire. Et, c’est à partir de 1951, au moment où la guerre de Corée faisait rage, que la ville de Busan est devenue un haut lieu de préservation et de transmission des arts scéniques traditionnels coréens. En plus de nombreuses représentations données tout au long de l’année, la troupe nationale du Gugak de Busan s’investit dans des projets éducatifs et de recherches basés sur les arts dansés propres à la région du Yeongnam, qui comprend les villes de Busan mais aussi de Daegu et d’Ulsan, avec pour ambition de faire du Gugak Center de Busan un lieu artistique incontournable en Asie.
Programme :
Seungmu : Exécuté par les moines et moniales coréennes en l’honneur de Bouddha, le rituel dansé Seungmu, (qui signifie « Danse des moines ») est classé en tant qu’héritage intangible du patrimoine culturel coréen. Seungmu exprime, au rythme des battements du tambour, les différents sentiments qui traversent un moine bouddhiste apprenti tentant d’oublier l’angoisse de l’échec de sa formation. Bien qu’à dominante bouddhique, ce rituel est le fruit de plusieurs formes de foi et courants de pensée : chamanisme indigène, seon, bouddhisme et confucianisme. De fait, Seungmu est principalement constitué d’invocations à Bouddha et d’un chant honorifique, et est clôturé par une cérémonie chamaniste saisissante.
Salpuri : La danse Salpuri (danse chamanique coréenne, autrement appelée Salpuri-Chum) est executée lors de rituels chamaniques afin de libérer les âmes tourmentées du malheur. Danse d’improvisation exécutée par un ou une chamane, elle a pour vocation de chasser la malchance survenue au cours de l’année.
Binari Jinsoe : Cette danse est issue de la tradition des chamanes et des saltimbanques. Il n’existait autrefois aucune trace écrite de cette chorégraphie, qui s’est toujours transmise de manière orale. Cette danse était exécutée par les chefs locaux des campagnes, invités à se représenter à la cour royale.
MUSÉE NATIONAL DES ARTS ASIATIQUES - GUIMET
6, place d’Iéna
75016 Paris
Renseignements et billetterie sur
www.guimet.fr
Pour plus d'informations consultez le site internet
Retour à la listeEXPOSITIONFrétillante Busan, le monde à portée de flots
24/04/2023
Du 31 mai au 16 septembre 2023 Deuxième ville plus importante de Corée après Séoul et plus grand port du pays, Busan jouit d’une belle richesse historique, économique et culturelle. Cette vibrante cité, située à l’extrême sud...
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Deuxième ville plus importante de Corée après Séoul et plus grand port du pays, Busan jouit d’une belle richesse historique, économique et culturelle. Cette vibrante cité, située à l’extrême sud de la péninsule coréenne et bordée par la mer de l’Est, entretient une relation forte avec cette dernière. Témoignage de ce compagnonnage : la réputation de la station balnéaire de Haeundae et du marché aux poissons et mollusques de Jagalchi n’est plus à faire, et dépasse même les frontières.
Busan est également un formidable tremplin pour les stars du grand écran. Plusieurs films coréens, parmi lesquels les très connus Old Boy, The Last Day et Dernier train pour Busan – ces deux derniers faisant d’ailleurs l’objet de deux séances de ciné-club à venir (voir page 19) – voient leur scénario se dérouler au cœur de la grande ville côtière du Sud. D’ailleurs, la tenue depuis 23 ans cette année du Festival international du film de Busan (BIFF), un rendez-vous désormais devenu incontournable dans le milieu du cinéma, est une preuve irréfutable de son statut de ville du cinéma.
Actuellement ville candidate pour l’Exposition universelle de 2030, Busan est plus que jamais sous le feu des projecteurs. Outre sa puissante attractivité économique et touristique, c’est sa richesse culturelle qui sera mise à l’honneur à cette occasion au Centre culturel. Ainsi, ce dernier organise une exposition de belle envergure (sur deux niveaux) afin de faire découvrir au public français tout ce qui fait le rayonnement de la plus grande cité côtière de la péninsule : projections vidéos, explications sur l’histoire de la ville, objets rappelant la vie de ses quartiers… C’est une véritable ode à Busan et à ses habitants qui sera donc contée entre les murs de nos salles d’exposition, une invitation au voyage vers une cité dont le caractère fait toute sa saveur.
D’autres événements annexes seront organisés autour de ce même thème, et seront à découvrir ultérieurement dans une brochure dédiée.
Pour plus d'informations consultez le site internet
Retour à la listeHISTOIREConférence : Le Jikji et son héritage
13/04/2023
Jeudi 13 avril 2023 à 18h30 Conférence donnée à l’occasion de la première exposition publique du Jikji depuis 50 ans Par le Vénérable Beomjong, directeur des Affaires sociales et internationales de l’Ordre Jogye du bouddhisme cor...
Lire l'articleJeudi 13 avril 2023 à 18h30
Conférence donnée à l’occasion de la première exposition publique du Jikji depuis 50 ans
Par le Vénérable Beomjong, directeur des Affaires sociales et internationales de l’Ordre Jogye du bouddhisme coréen
Le Jikji simche yojeol - ou plus simplement Jikji -, dont la rédaction, datant du XIVe siècle, est attribuée au moine seon Baegun, est le premier livre au monde à avoir été imprimé à l’aide de caractères mobiles en métal (1377). Il compile des extraits de textes et d’analyses de moines bouddhistes particulièrement vénérés à cette époque, et a servi d’ouvrage d’enseignement aux étudiants de cette doctrine.
Paru bien avant la Bible de Gutenberg (1455), le Jikji fut imprimé en deux volumes au temple Heungdeok. Bien que le premier volume de cet ouvrage ait été perdu, le second volume a survécu à l’épreuve du temps. Il est actuellement conservé à la Bibliothèque Nationale de France à Paris. Exposé pour la première fois au public lors de l’« Année internationale du livre » organisée par l’UNESCO à Paris, en 1972, ce volume du Jikji est inscrit depuis 2001 au registre Mémoire du Monde de l’UNESCO.
À l’occasion de la première exposition du Jikji depuis 50 ans, et faisant suite à sa publication en français, réalisée en 2022 par Yannick Bruneton, le Centre Culturel Coréen et l’ordre Jogye proposent une conférence passionnante autour de cet ouvrage qui a non seulement marqué l’histoire du bouddhisme, mais aussi de l’imprimerie mondiale. La genèse de la publication du Jikji y sera abordée, ainsi que sa valeur, à la fois culturelle, technique et religieuse, et son héritage à travers les siècles.
Par le biais de cette conférence, l’occasion sera également donnée au public français de découvrir d’autres textes imprimés, de véritables joyaux du bouddhisme coréen, dont certains font partie du patrimoine mondial de l’UNESCO. Qu’ils soient gravés sur des plaques de bois ou dans la pierre, ces sutras et textes sacrés se font les témoins de l’histoire de la Corée bouddhiste, de la période du Silla unifié à celle de Joseon.
Enfin, cette manifestation est organisée en parallèle de l’exposition « Imprimer ! l’Europe de Gutenberg », qui se tiendra du 12 avril au 16 juillet à la Bibliothèque Nationale François-Mitterand, et durant laquelle sera présenté au public, pour la première fois en 50 ans, l’original du Jikji aux côtés d’autres trésors retraçant l’histoire et le développement de l’imprimerie dans le monde.
Cet événement est proposé gratuitement comme toutes les activités du Centre Culturel Coréen.
Pour plus d'informations consultez le site internet
Retour à la listeCINEMA3e Festival du Film Coréen à La Rochelle
10/03/2023
Du 30 mars au 2 avril 2023 La Soirée du cinéma coréen, dont la dernière édition s’est tenue en 2022 dans la cité rochelaise, fête cette année son 3e anniversaire, et devient pour l’occasion le Festival du Film Coréen &ag...
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La Soirée du cinéma coréen, dont la dernière édition s’est tenue en 2022 dans la cité rochelaise, fête cette année son 3e anniversaire, et devient pour l’occasion le Festival du Film Coréen à La Rochelle. Volet cinématographique du festival Ici en Corée, le programme 2023 aura pour thème la Corée sous l’occupation japonaise, et fait écho à cette période profondément gravée dans l’histoire contemporaine de la péninsule.
Durant près de 35 ans, la Corée fut soumise au règne de l’Empire japonais, ce dernier l’annexant en 1910. C’est donc un lourd chapitre de l’histoire coréenne qui sera relaté à travers une sélection de cinq films durant les quatre jours de festival (la programmation définitive étant encore en cours d’élaboration à l’heure où nous mettons sous presse, celle-ci sera annoncée prochainement sur le site internet du festival).
Ces long-métrages donneront ainsi à voir l’évolution de personnages portés par leur soif d’indépendance, et offriront au public rochelais quelques clés de compréhension leur permettant de mieux cerner le contexte historique des Coréens d’aujourd’hui.
Bénéficiant du soutien du Centre Culturel Coréen et de l’université de La Rochelle, cette manifestation cinématographique est organisée par l’Association Neoleumsae et l’Institut Roi Sejong de La Rochelle, en coopération avec plusieurs institutions de la région.
FESTIVAL DU FILM CORÉEN À LA ROCHELLE
17000 LA ROCHELLE
Renseignements et programmation complète à venir sur
https://festival-iciencoree.com/filmcoreen_rochelle/
Email : neoleumsae@gmail.com
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Retour à la listeCONCERT« Les Musiciens de Paris » Concert du saxophoniste Park Donghyun
23/02/2023
Vendredi 17 mars 2023 à 19h Dans le cadre de la série « Jeunes talents » du Centre culturel Coréen Park Donghyun, saxophoneChae Jiyeon, pianoFormé principalement au Conservatoire à Rayonnement Régional de Versailles dans la ...
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Dans le cadre de la série « Jeunes talents » du Centre culturel Coréen
Park Donghyun, saxophone
Chae Jiyeon, piano
Formé principalement au Conservatoire à Rayonnement Régional de Versailles dans la classe de Vincent David puis de Nicolas Arsenijevic, Park Donghyun est une étoile montante du saxophone. Actuellement étudiant en master de Musicologie, Patrimoine et Interprétation, et membre de l’Ensemble de saxophone de Versailles, il a déjà eu l’occasion de participer à de nombreuses masterclasses avec de grands saxophonistes (Jérôme Laran, Nobuya Sugawa, Miguel Angel Lorente, Graciane Finzi, Javier Linares Leyva).
Portant un grand intérêt à la composition musicale, Park Donghyun s’est récemment associé à la grande compositrice Graciane Finzi lors de la création d’un morceau pour violon et saxophone. En outre, ce musicien a remporté quelques prix notables dans le cadre de plusieurs grandes compétitions, notamment lors du Concours International Léopold Bellan.
Park Donghyun est un amoureux de la France, et tout particulièrement de Paris, ville dont il n’a de cesse de s’inspirer. C’est donc pour rendre hommage à sa ville de cœur que Park Donghyun proposera un programme émaillé de pièces de compositeurs qui, comme lui, se sont laissés inspirer par la Ville Lumière.
À propos de la pianiste
Née à Séoul, Chae Jiyeon perfectionne ses études musicales en France à l’École Normale de Musique de Paris-Alfred Cortot. Élève au Conservatoire de Boulogne-Billancourt, elle poursuit sa formation au Conservatoire de Versailles, où elle obtient son Diplôme d’Études Musicales d’accompagnement au piano. Chae Jiyeon continue actuellement de se perfectionner au Conservatoire de Rueil-Malmaison. Elle travaille depuis 2021 en tant que pianiste accompagnatrice au cours de chant de l’Orchestre de Paris, au CMBV et au chœur Polycantus de Viroflay.
Programme : Stravinsky, Mantovani, Sancan, Tomasi, Glazunov et Fauré.
Comme toutes les activités du Centre, cet événement est proposé gratuitement.
Réservation fortement recommandée : https://centreculturelcoreen.mapado.com
La réservation en ligne ouvrira 2 semaines avant la date de l’évènement.
CENTRE CULTUREL CORÉEN
AUDITORIUM
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Retour à la listeCONCERTRécital de piano de Lee Hyuk, lauréat du Concours Long-Thibaud 2022
08/02/2023
Vendredi 17 février 2023 à 19h Dans le cadre de notre série « Jeunes talents » Lauréat en novembre dernier du grand concours de musique Long-Thibaud 2022 – qui fut annulé au cours des deux années précédentes pour c...
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Dans le cadre de notre série « Jeunes talents »
Lauréat en novembre dernier du grand concours de musique Long-Thibaud 2022 – qui fut annulé au cours des deux années précédentes pour cause de pandémie mondiale – , le jeune pianiste coréen Lee Hyuk a rivalisé de talent en finale avec le pianiste japonais Masaya Kamei, tous deux arrivés finalement ex-aequo. Se hissant en haut du podium parmi 32 candidats venus du monde entier, Lee Hyuk a magistralement interprété le Concerto pour piano n°2 en sol mineur de Sergueï Prokofiev, accompagné par l’orchestre symphonique de la Garde Républicaine, dirigé par François Boulanger.
Premier pianiste sud-coréen à avoir remporté ce très prestigieux concours après Lim Dong-hyek, qu’il avait lui décroché en 2001, Lee Hyuk viendra faire montre de son talent au Centre Culturel Coréen, le temps d’un récital exceptionnel. Au cours de cette soirée présentée dans le cadre de notre série de concerts « Jeunes talents », le rayonnant pianiste de 22 ans laissera ainsi s’exprimer toute sa sensibilité musicale et sa fibre artistique, pour le plus grand bonheur du public parisien.
Né à Séoul en 2000, Lee Hyuk a commencé à apprendre le piano et le violoncelle à trois ans. Il a été finaliste de la dernière édition du Concours international de piano Frédéric-Chopin à Varsovie, et a gagné, deux mois plus tard, le grand prix du Concours de piano Animato. Cet instrumentiste de haute volée est inscrit depuis 2016 au Conservatoire Tchaïkovski de Moscou, dans la classe du grand pédagogue Vladimir Ovchinnikov.
Programme :
F. Chopin : Barcarolle Op.60 / Scherzo No.3 /Andante Spianato et Grande Polonaise Op.22
N. Medtner : Sonate Reminiscenza Op.38 No.1
I. Stravinsky : Petrouchka
Evenement gratuit.
Réservation fortement recommandée : https://centreculturelcoreen.mapado.com
La réservation en ligne ouvrira 2 semaines avant la date de l’évènement.
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Retour à la listeCINEMA29ème Festival International des Cinémas d’Asie de Vesoul
10/01/2023
Du 28 février au 7 mars 2023 Depuis 29 ans, le Festival International des Cinémas d’Asie de Vesoul fait découvrir toutes les cinématographies du continent asiatique et favorise, par le biais du cinéma, le dialogue entre les cultures et la découverte d...
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Depuis 29 ans, le Festival International des Cinémas d’Asie de Vesoul fait découvrir toutes les cinématographies du continent asiatique et favorise, par le biais du cinéma, le dialogue entre les cultures et la découverte de l’autre. Outre les compétitions fiction et documentaire, le festival comprend aussi une section thématique, des rétrospectives, des hommages, etc.
Il propose chaque année, depuis sa création en 1995, des films coréens et invite régulièrement de nombreux réalisateurs, acteurs et personnalités coréennes du monde du cinéma : Sin Songil, Lee Doo-yong, Hur Jin-hwan, Lee Myung-se, Im Sang-soo, Jeon Kyu-hwan, Bae Chang-ho, Kim Dong-ho et bien d’autres...
Pour cette édition 2023, le Jury international sera placé sous la houlette de Lee Yong-kwan, l’un des membres fondateurs et actuel président du désormais incontournable Busan International Film Festival, qui se verra remettre, lors de la cérémonie d’ouverture du Festival de Vesoul - mardi 28 février au Théâtre Edwige Feuillère - un Cyclo d’or d’honneur pour l’ensemble de son travail pour la promotion du cinéma mondial, asiatique et coréen.
Depuis l’origine du FICA de Vesoul, ce sont quelque 650 000 spectateurs qui ont pu voir et apprécier les œuvres cinématographiques du pays du Matin calme, et la Corée du Sud sera de nouveau présente cette année au sein du festival avec quatre films et un documentaire.
En sélection officielle / Compétition longs métrages de fiction : concourant dans huit catégories, dont celle du prestigieux Cyclo d’or, sera projeté A Letter from Kyoto de la réalisatrice Kim Minju, présenté en première internationale en sa présence.
Hye Young fait partie d’une famille composée de trois sœurs et de leur mère. Abîmée par les déceptions de la vie et rêvant de devenir écrivaine, elle retourne dans son district natal de Yeongdo, à Busan. Ce quartier, qui accueille sans cesse de nouveaux arrivants, fait l’objet d’une légende locale : une fois qu’on s’y installe, on ne le quitte pas facilement. La mère des trois sœurs, bien que née à Kyoto au Japon, a vécu la majeure partie de sa vie à Yeongdo. Comme enchaînée elle aussi à la légende de ce quartier, sa fille aînée, Hye Jin, responsable du reste de la fratrie, ne sait comment quitter la région. Quant à la cadette Hye Joo, celle-ci tente malgré tout de fuir Yeongdo après ses études. Ce film laisse entrevoir le quotidien d’une famille à un moment-clé de son existence et invite à observer d’un regard doux les subtiles pulsions de vie qui animent chacune des protagonistes.
En sélection officielle / Compétition films documentaires : Jiseok du cinéaste coréen Kim Young-jo, présenté en première européenne.
Le 18 mai 2017 à Cannes, le cofondateur et directeur de la programmation du Busan International Film Festival, Kim Jiseok, succombe à une crise cardiaque. Suite au choc causé par la brutalité de ce décès, plusieurs collaborateurs et amis réalisateurs reviennent sur les derniers instants de sa vie et les épisodes qui l’ont bouleversé. Ce documentaire est un hommage à l’un des membres fondateurs de ce qui est désormais le plus important festival international du film en Asie. Les réalisateurs Mohsen Makhmalbaf, Hirokazu Kore-eda, Apichatpong Weerasethakul, Jafar Panahi et bien d’autres livrent ainsi aux spectateurs une multitude d’anecdotes passionnantes et touchantes, et expliquent comment leur lien avec Kim Jiseok a permis à leur art de se développer en même temps que le Festival. La réalisation de ce poignant documentaire est orchestrée par Kim Young-jo, à qui l’on doit les films My Family Portrait (2007) et Still And All (2015).
Dans la section thématique intitulée « Les Cinémas des diasporas asiatiques » », seront projetés les films Retour à Séoul de Davy Chou, Blue Bayou de Justin Chon (primé à Deauville en 2021) et Minari de Lee Isaac Chung (récompensé entre autres aux Oscars et Golden Globe en 2021).
Le catalogue papier du festival sortira vers la fin janvier et sera également consultable en ligne.
FESTIVAL INTERNATIONAL
DES CINÉMAS D’ASIE – FICA
25, rue du Docteur Doillon
70000 VESOUL
Renseignements sur le détail du programme, les salles et horaires du Festival International des Cinémas d’Asie de Vesoul : festival.vesoul@wanadoo.fr – www.cinemas-asie.com
Tél : 03 84 76 55 82 ou 06 84 84 87 46
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Retour à la listeEXPOSITION« Être et Paraître » Exposition de l’Association des Jeunes Artistes Coréens
27/12/2022
Du 29 novembre 2022 au 11 mars 2023 Comme chaque année, les membres de l’Association des Jeunes Artistes Coréens se renouvellent et se réunissent pour relever un nouveau défi ; explorer un thème qui permet à chacun d’entre eux de consid&eac...
Lire l'articleDu 29 novembre 2022 au 11 mars 2023
Comme chaque année, les membres de l’Association des Jeunes Artistes Coréens se renouvellent et se réunissent pour relever un nouveau défi ; explorer un thème qui permet à chacun d’entre eux de considérer son travail d’un œil nouveau. Soucieux de mieux comprendre les phénomènes de la société actuelle, les artistes s’interrogent ici sur le rapport aux médias, plus particulièrement ceux dits alternatifs, tout en mettant en jeu l’influence et les conséquences de ces médias devenus omniprésents dans la vie de tous les jours.
Depuis une dizaine d’années, le public préfère s’informer par les réseaux sociaux numériques plutôt que par les médias journalistiques traditionnels de l’information. Malheureusement, ces nouveaux usages favorisent la circulation de propos rapporteurs souvent basés sur des fake news et des théories du complot. Dans ce contexte, le mot infox, néologisme juxtaposant « information » et « intoxication », renvoie à une information mensongère ou intentionnellement insidieuse.
La prolifération de l’infox serait même responsable du basculement de nos sociétés dans une nouvelle ère de la « post-vérité », terme forgé en 1992 par Steve Tesich, scénariste et romancier serbo-américain. Le terme post-vérité décrit une situation dans laquelle les apparences priment sur les faits, accordant davantage d’importance aux émotions et aux opinions qu’à la réalité des faits. Ce phénomène se traduit par une indifférence de plus en plus généralisée à la distinction entre le vrai et le faux…
Le rôle de l’artiste est, selon Jean-Paul Sartre, de proposer au spectateur un portrait de sa société, de sa réalité, afin que celui-ci puisse développer une conscience de sa propre condition et des multiples réalités de son environnement. Le plasticien est donc là pour faire voir, faire entendre et poser des questions, tout en nous invitant à prendre le recul nécessaire par rapport aux médias qui ont le pouvoir de façonner notre vision du monde.
L’exposition Être et Paraître vise ainsi à nous interpeller sur les « puissances du faux », voire à trouver l’antidote qui redonnera le goût du vrai, à travers des œuvres de ces jeunes artistes mobilisant les sens et les émotions, irréductibles à une thèse ou interprétation unique.
À propos de l’AJAC
L’AJAC est une association fondée en 1983, qui regroupe de jeunes artistes d’origine coréenne résidant en France. Elle organise chaque année à Paris une grande exposition annuelle de ses membres actifs. Elle présente également des expositions collectives en France et à l’étranger où, souvent, elle tente d’entrer en relation avec des artistes venus de différents horizons dans un esprit d’échange et de partage.
Exposants :
Bae Seungjoo, Choi Hyungsub, Demilé, Gheem Sookyoung, Ha Yoomi, Hong Bora, Hong Sungyeon, Kim Haeun, Kim Jaeyoung, Kim Jina, Kwon Hyeoki, Lee Hwikyoung, Lee Hyewon, Zion, Lee Seunghwan, Lee Songhee, Park Hyejung, Shin Minseo, Woo Cheyon.
CENTRE CULTUREL
ESPACE D’EXPOSITION 2
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Retour à la listeEXPOSITION« Désert plein – soif, sommeil, silence » Exposition de Min Jung-Yeon
14/12/2022
Du 29 novembre au 11 mars 2023 Onirique et pourtant étroitement lié au nôtre, tel est le monde dans lequel nous convie Min Jung-Yeon. Son installation monumentale et immersive Tissage, présentée au Musée National des arts asiatiques – Guimet en 2019-20...
Lire l'articleDu 29 novembre au 11 mars 2023
Onirique et pourtant étroitement lié au nôtre, tel est le monde dans lequel nous convie Min Jung-Yeon. Son installation monumentale et immersive Tissage, présentée au Musée National des arts asiatiques – Guimet en 2019-2020, traitait de mémoire et de réconciliation sous la forme symbolique d’une forêt aux profondeurs insondables. Depuis, son œuvre a évolué vers une nouvelle fluidité afin d’évoquer le mouvement perpétuel de notre réalité. Le geste libre et incontrôlé s’enchevêtre aux formes minutieusement dessinées pour éveiller des associations au corps, au paysage, au cosmos. La fascination de Min Jung-Yeon pour la science contemporaine, notamment la physique quantique et la philosophie traditionnelle asiatique se conjuguent ; il est question de vide et de plein, de matière noire, d’énergie et de temporalité mais également d’émotions. Le vécu de l’artiste s’immisce dans l’universalité. La lutte est un sujet récurrent chez l’artiste : celle entre éléments de nature opposée et celle de nos émotions. À travers l’exposition Désert plein – soif, sommeil, silence, Min Jung-Yeon convoque un espace de perception ouvert où désir et soif sont besoin et moteur, où le sommeil est absence et présence, et le silence un état des plus intenses. Le désert est plein !
Min Jung-Yeon naît en 1979 et grandit dans une campagne de la région de Gwangju. Initialement formée en arts plastiques à l’Université Hongik (Séoul, 1997-2003), elle poursuit ses études à l’ENSBA (Paris, 2003-2006) en tant qu’élève de Jean-Michel Alberola. Depuis, l’artiste vit en France. L’œuvre (dessin, peinture et installation) de Min Jung-Yeon a été montrée lors d’expositions dans diverses institutions internationales : MAMC+ Musée d’art moderne et contemporain de Saint-Étienne Métropole (2012), State Museum of Oriental Art (Moscou, 2017), National Taiwan Museum of Fine Arts (Taichung, 2010), MNAAG - Musée National des arts asiatiques – Guimet (Paris, 2019-2020), Museum of Moscow (Moscou, 2021) et dans le cadre de la Saison des arts 2021 du Château de Chaumont sur Loire. En France, son œuvre a intégré d’importantes collections publiques, celles du MAMC+ et du MNAAG.
Le travail de Min Jung-Yeon a fait l’objet de plusieurs ouvrages dont une première monographie, Hibernation, parue en 2009, suivie du catalogue de son exposition personnelle au MAMC+, Demander le chemin à mes chaussures (2012), et d’un hors-série Beaux-arts Magazine (2019).
Désert plein – soif, sommeil, silence s’inscrit dans la collaboration entre le MNAAG - Musée National des arts asiatiques – Guimet, le Centre Culturel Coréen et la Galerie Maria Lund, initiée à l’occasion de la Carte blanche à Min Jung-Yeon (2019-2020) au MNAAG.
L’exposition a reçu le soutien de la très renommée entreprise de papeterie Canson.
CENTRE CULTUREL
ESPACE D’EXPOSITION 1
cf. Centre Culturel Coréen
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Retour à la listeEXPOSITIONExposition immersive « La gloire retrouvée d’un palais royal »
02/11/2022
Du 7 au 14 novembre 2022 Du 7 au 14 novembre, le Centre Culturel Coréen propose une expérience immersive en mapping vidéo, « La gloire retrouvée d’un palais royal », sur le thème du Gyeongbokgung, grand palais royal de la dynastie Joseo...
Lire l'articleDu 7 au 14 novembre 2022
Du 7 au 14 novembre, le Centre Culturel Coréen propose une expérience immersive en mapping vidéo, « La gloire retrouvée d’un palais royal », sur le thème du Gyeongbokgung, grand palais royal de la dynastie Joseon. Celle-ci est organisée durant toute une semaine dans le cadre de la célébration en 2021 des 30 années travaux de restauration dont fait l’objet cet édifice. Cet anniversaire, dont cette exposition immersive à Paris se veut être la première pierre, a pour objectif de faire découvrir au public français toute la vitalité du patrimoine culturel coréen. En outre, les deux concepts rattachés à cette manifestation artistique, à savoir « une année lumineuse » et « un paysage de printemps », figurent le retour du printemps, métaphore laissant entrevoir la fin des travaux de restauration du palais Gyeongbokgung à l’horizon 2045.
De nombreux acteurs ont uni leurs efforts afin de participer à la remise en état du Gyeongbokgung, permettant à cet héritage culturel et historique cher aux Coréens de retrouver non seulement sa place, mais aussi sa splendeur passée. Cette expérience immersive, qui donne à voir des projections sur trois côtés et au sol, se fera le reflet de la renaissance de ce patrimoine précieux, tel une sorte de retour du printemps au palais Gyeongbokgung. Mettant ainsi en lumière la restauration de cet édifice royale malmené par les tumultes de l’Histoire - symbolisés ici par un hiver impitoyable -, cette création numérique célèbre l’éclat printanier qui fera bientôt resplendir le Gyeongbokgung, telle une magnifique fleur sur le point d’éclore. « La gloire retrouvée d’un palais royal » est donc une création artistique digitale qui, à travers le défilement en sens inverse des quatre saisons symbolisant ce processus de restauration, laisse entrevoir le présent et le futur radieux du Gyeongbokgung.
Histoire de la restauration du palais Gyeongbokgung
Érigé en 1395, Gyeongbokgung est le principal palais royal de la dynastie Joseon. Adossé au mont Bukak au nord, avec sa porte principale Gwanghwamun ouvrant sur la large rue des Six-Ministres (plus connue aujourd’hui sous le nom de Sejongno), ce palais constitua pendant longtemps le cœur de la capitale coréenne. Il a été progressivement étendu avant d’être réduit en cendres lors de l’invasion japonaise de 1592. Laissé à l’abandon pendant près de 270 ans, il a finalement été reconstruit en 1867. Cependant, le palais Gyeongbokgung a été délibérément endommagé pendant l’occupation japonaise qui a suivi. Ainsi, en 1911, la propriété du site de Gyeongbokgung est passée sous gouvernance coloniale japonaise. En 1915, sous prétexte d’y tenir une exposition, ce dernier démantela plus de 90% des bâtiments du palais, à l’exclusion des quelques principaux. Un imposant bureau du gouvernement japonais fut construit par la suite sur le site du palais en 1926, ce qui lui fit perdre de sa dignité. C’est ainsi que, depuis 1990, des travaux de restauration sont en cours afin de rétablir pleinement l’ancienne gloire du palais Gyeongbokgung.
Durée de projection : 4 min 30
Entrée libre sans réservation
CENTRE CULTUREL CORÉEN
AUDITORIUM
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Retour à la listeCINEMA17e Festival du Film Coréen à Paris
12/10/2022
Du 25 octobre au 1er novembre Rendez-vous incontournable de l’automne parisien, le Festival du Film Coréen à Paris (FFCP) revient fin octobre pour sa 17e édition. Étant l’un des plus grands festivals dédiés au cinéma coréen en Euro...
Lire l'articleDu 25 octobre au 1er novembre
Rendez-vous incontournable de l’automne parisien, le Festival du Film Coréen à Paris (FFCP) revient fin octobre pour sa 17e édition. Étant l’un des plus grands festivals dédiés au cinéma coréen en Europe, et le plus important en France, le FFCP explore et fait découvrir d’année en année tout le spectre du cinéma coréen, dans une atmosphère festivalière conviviale, et ce à travers un large éventail de films.
Manifestation cinématographique majeure très attendue par tous les amateurs de films coréens, le FFCP a su s’imposer au fil des années grâce à la qualité de sa programmation. L’équipe du FFCP visionne tout au long de l’année les films coréens actuels afin de proposer sa section principale, intitulée ‘Paysage’, qui présente le meilleur de la production annuelle. Une douzaine de films coréens totalement inédits en France seront ainsi projetés dans les vastes salles du Publicis Cinéma, sur les Champs-Élysées, allant du film fantastique au drame social en passant par des films historiques, des documentaires et des comédies. La section ‘Portrait’, quant à elle, mettra à l’honneur un ou une jeune cinéaste venant présenter ses courts-métrages et son premier long-métrage. Focus thématique, films classiques rares, blockbusters événements et compétition de courts-métrages en tous genres seront également prévus. C’est donc au total une cinquantaine de films qui seront projetés pendant cette semaine entièrement dédiée au cinéma coréen. Et pour la première fois depuis 2019 – si la situation sanitaire se maintient d’ici là bien sûr –, des invités de marque viendront spécialement de Corée pour accompagner quelques-uns des films.
Le programme du FFCP est en cours de finalisation à l’heure où nous mettons sous presse. Pour obtenir plus d’informations et connaître la sélection complète de la 17e édition, ainsi que les horaires des séances, merci de consulter à partir de début octobre le site officiel du festival : www.ffcp-cinema.com
Informations et billetterie (à venir) sur
www.ffcp-cinema.com et facebook.com/FFCPCinema
PUBLICIS CINÉMAS
129, avenue des Champs-Élysées
75008 PARIS
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Retour à la listeEXPOSITION« Najeon, rencontre avec l’éclat intemporel de la nacre »
15/09/2022
- Du 29 septembre au 19 novembre 2022 - Vernissage de l’exposition le 28 septembre à partir de 18hEn Corée, le terme Najeon désigne la technique millénaire, minutieuse, de l’incrustation de la nacre. Très représentative de l&rs...
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Vernissage de l’exposition le 28 septembre à partir de 18h
En Corée, le terme Najeon désigne la technique millénaire, minutieuse, de l’incrustation de la nacre. Très représentative de l’artisanat d’art coréen, cette méthode de décoration sophistiquée requiert une fine maîtrise du travail de la nacre, extraite de coquillages puis sculptée avec soin afin de confectionner toutes sortes de motifs. Ceux-ci sont incrustés ensuite sur la surface à décorer puis couverts par une couche de laque (Chil).
C’est ainsi qu’oiseaux, fleurs, nuages et autres formes inspirées par la nature ornent, et ce depuis la dynastie Goryeo (918-1392), boîtes à bijoux, étuis divers et meubles de belle taille, les parant d’un subtil éclat nacré. Même à cette période, ces objets décorés, regroupés sous le terme Najeon Chilgi, atteignaient déjà un niveau de prestige tel qu’ils étaient souvent offerts en guise de cadeaux diplomatiques. Artisanat autrefois réservé à une certaine élite, la dynastie suivante de Joseon (1392-1910) a vu, quant à elle, la technique du Najeon se propager dans les classes populaires de Corée, participant ainsi à sa démocratisation.
L’exposition « Najeon, rencontre avec l’éclat intemporel de la nacre » invite le public à découvrir un art qui transcende les siècles et se réinvente pour mieux s’adapter à notre époque. Cette manifestation artistique est comme une invitation à poser un regard sur le passé du Najeon et ses variations contemporaines, qui laissent également entrevoir les possibles réinterprétations à venir.
Les pièces exposées, fruits du travail de 13 maîtres artisans perpétuant la tradition ou œuvrant dans le domaine de la réinterprétation créative – dont certains sont inscrits au Patrimoine culturel immatériel de Corée – permettent ainsi de retracer l’histoire de cet art traditionnel élevé dès la dynastie Goryeo au rang de trésor national, et de suivre son évolution au fil des siècles pour mieux en apprécier sa délicatesse intemporelle.
En outre, le littoral sud de la péninsule coréenne – et plus particulièrement la ville de Tongyeong, région d’origine du Najeon – est également mis en lumière lors de cette exposition. C’est en effet dans cette partie côtière du pays que cet art traditionnel a pris son essor, notamment de par la nacre de grande qualité que l’on y trouve, et ce depuis plus de 400 ans.
Nos amis français sont donc invités à découvrir les trésors de patience et de beauté que constituent les œuvres réalisées par huit maîtres traditionnels coréens du Najeon, dont les couleurs éclatantes et nacrées côtoient celles des réinterprétations originales de cinq artisans contemporains, fiers porteurs d’une tradition ancienne et raffinée.
Atelier de fabrication de coffrets décorés de nacre
Pour aller plus loin dans le sillage de cette exposition, le Centre Culturel Coréen organise des atelier créatifs ouverts à tous.
○ Dates & horaires : du jeudi 29 septembre au jeudi 6 octobre
jeudi 29 septembre : de 14h30 à 15h30 / de 16h à 17h00
vendredi 30 septembre : de 14h30 à 15h30 / de 16h à 17h00
samedi 1 octobre : de 14h30 à 15h30 / de 16h à 17h00
mardi 4 octobre : de 14h30 à 15h30 / de 16h à 17h00
mercredi 5 octobre : de 14h30 à 15h30 / de 16h à 17h00
jeudi 6 octobre : de 14h30 à 15h30 / de 16h à 17h00
○ Durée de l’atelier : environ 1h
○ Gratuit pour tous – matériaux fournis
○ Inscription : https://forms.gle/FqhBdFqFYxiGKqiCA
CENTRE CULTUREL CORÉEN
ESPACE D’EXPOSITION 1
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Retour à la listeDANSEPark Sae-un : une étoile coréenne à l’Opéra de Paris !
07/09/2022
Le Palais Garnier est son lieu de travail et désormais elle y règne au firmament. Le 10 juin 2021, à l’issue de la représentation du ballet Roméo et Juliette de Rudolf Noureev, où elle interprète pour la première fois le rôle de Jul...
Lire l'articleLe Palais Garnier est son lieu de travail et désormais elle y règne au firmament. Le 10 juin 2021, à l’issue de la représentation du ballet Roméo et Juliette de Rudolf Noureev, où elle interprète pour la première fois le rôle de Juliette, la Coréenne Park Sae-un est nommée Danseuse étoile, sur le plateau de l’Opéra Garnier. Ce succès couronne une carrière foudroyante qui a vu cette danseuse d’exception gravir tous les échelons de la hiérarchie au sein de la troupe parisienne - ensemble historique de plus de 150 danseurs - toujours considérée comme la plus brillante des compagnies classiques. Quand la critique parisienne s’incline devant cette époustouflante ballerine, saluant sa technique affûtée, sa musicalité qui fait merveille, sa présence magistrale et ses interprétations à couper le souffle, c’est donc un énorme succès personnel pour cette jeune trentenaire, mais aussi pour toute la Corée du Sud et sa filière de formation en danse classique. Et plus encore, car au-delà de ses interprétations remarquables, Park Sae-un est aussi une pionnière. Sans jamais y avoir songé, elle est aujourd’hui en train d’écrire une nouvelle page de l’histoire de la danse, dans le sens où le titre d’étoile est ici pour la première fois décerné à une personne sans vita ou racines familiales européennes. On assiste donc à un événement doublement historique, car il pourrait signaler un changement de paradigme au sein du Ballet de l’Opéra National de Paris, où la présence et le génie de Park Sae-un ont permis de donner un visage lumineux à la fameuse « diversité », et ce dans les plus hautes sphères de l’ensemble parisien à la renommée universelle.
© Kim sun joo / Korean Ministry of Culture, Sports and Tourism
Culture Coréenne : Chère Park Sae-un, nous sommes heureux de vous savoir étoile parmi les meilleures danseuses du monde. Toutes nos félicitations ! Pour commencer notre conversation, un retour à vos débuts s’impose : Qu’est-ce qui vous a amenée à la danse, comment avez-vous découvert le ballet et quel rôle ont joué vos parents ?
Park Sae-un : J’ai commencé la danse à l’âge de neuf ans, ce qui est assez tard pour une danseuse classique. Ma mère est professeure de piano et mon père est un grand amateur de musique classique. J’ai donc grandi entourée de musique. Un jour de décembre, mon père m’a amenée voir mon premier ballet. C’était Casse-Noisette. J’ai été fascinée par la beauté des costumes et des diadèmes. Ces sensations m’ont d’emblée donné envie de faire de la danse et mes parents m’ont inscrite à un cours.
Ensuite, comment avez-vous abordé votre carrière professionnelle ?
Quand j’avais treize ans, j’ai fréquenté un collège en option arts et c’est là que j’ai commencé à comprendre des choses du monde de la danse ; et j’ai commencé à songer sérieusement à devenir ballerine. Comme je viens d’une famille mélomane, j’ai aussi été attirée par la musique classique. Ensuite j’ai continué à la Seoul Art High School, un lycée, avant d’entrer à la Korea National University of Arts.
Park Sae-un : l’envol de l’étoile.
Vos premiers succès internationaux ne se sont pas fait attendre…
Après des médailles d’argent à des concours aux États-Unis et en Chine, j’ai participé au concours international de Lausanne et remporté le Grand Prix, ce qui m’a permis de vivre un an et demi à New York où j’ai dansé pour le jeune ensemble du American Ballet Theatre. Ensuite je suis rentrée en Corée où j’ai dansé pour le Ballet National. Mais j’ai rapidement ressenti une forte envie de repartir et j’ai participé à une audition pour l’Opéra de Paris.
Dans l’histoire du Ballet de l’Opéra de Paris, on a déjà vu des interprètes qui ont tout de suite dansé à un certain niveau de la hiérarchie. Vous, par contre, vous avez participé en 2011 au concours externe de recrutement qui est ouvert à tout le monde, et avez commencé dans le corps de ballet, alors que vous aviez déjà remporté les médailles d’or des concours de Varna et de Rome, en 2010. Pourquoi avoir accepté de recommencer tout en bas de l’échelle ?
Parce que danser au Ballet de l’Opéra de Paris est un rêve absolu, c’est tellement incroyable que j’avais aussi envoyé en même temps mon CV au English National Ballet où j’ai été reçue en audition privée. Mais au cours de ma prestation, j’ai été prise d’un malaise et j’ai dû abandonner. J’ai également fait une audition au Dutch National Ballet, à Amsterdam et ils m’ont proposé un contrat de soliste. Mais à ce moment-là, j’avais vraiment décidé de me présenter au concours de l’Opéra de Paris qui m’a d’abord proposé un contrat d’un an en surnuméraire. Ce n’est qu’après que j’ai vraiment été engagée définitivement. Ensuite, je me suis toujours présentée aux concours internes, et j’ai pu ainsi monter en grade assez rapidement.
Comment s’est déroulé ce concours d’entrée, en 2011 ?
Il y avait plus de 150 danseurs présents en même temps, hommes et femmes confondus. Au bout de dix minutes, ils ont éliminé la moitié et ainsi de suite. J’ai pu continuer jusqu’en finale, où ils ont retenu environ dix filles et dix garçons. Il a fallu danser une variation et j’étais vraiment stressée parce que je n’avais pas l’habitude de danser dans ces conditions, à savoir sur un plateau incliné ! Cela demande qu’on s’y habitue. Mais j’ai finalement été retenue pour entrer dans la compagnie.
Séoul, New York, Paris… Vous avez donc dansé sur trois continents ! Quels sont les différences entre les styles et les méthodes d’enseignement ?
En Corée, la base est la méthode Vaganova, le style russe par définition. Mes professeurs étaient d’anciens danseurs principaux du Mariinski. Au ABT (American Ballet Theatre), par contre, on pratique un mélange de plusieurs styles. À l’Opéra de Paris, c’est le style français avec un travail différent sur les jambes. Mais le style Vaganova est une très bonne base qui permet de s’adapter aux autres styles. Quant à l’enseignement, en Corée il est vraiment très strict. En Corée et à l’Opéra de Paris, le travail est particulièrement exigeant. Mais quand on danse, le corps sécrète des endorphines. On est heureux, donc on peut endurer. Les danseurs sont des gens positifs et agréables.
Comment avez-vous été accueillie dans la compagnie ?
À l’Opéra de Paris, dès le début, alors que je ne parlais pas encore le français, tout le monde a été très accueillant. Ils ont parlé anglais avec moi, je n’ai pas eu de difficulté majeure pour m’intégrer. Cela m’a aussi aidé à apprendre le français plus rapidement. J’ai suivi des cours et j’ai appris le français à partir de zéro. Ce qui m’a aidé, c’était de passer les journées de travail avec mes collègues du matin au soir et de partir en tournée avec eux. Mais il me reste du chemin à faire, car si je comprends désormais tout ce qui se dit, je n’arrive pas encore à exprimer en détail tout ce que je veux dire.
Vous n’êtes pas la seule Coréenne au sein de l’ensemble. Avec Kang Ho-hyun, actuellement au rang de Coryphée, et la Quadrille Yun Seo-hoo, la troupe compte déjà deux compatriotes qui rêvent sans doute de vous emboîter le pas. Avez-vous constitué une sorte de cercle coréen au sein de l’ensemble ?
Je suis certes liée d’amitié avec les autres danseuses coréennes du Ballet de l’Opéra, mais c’est vraiment le Ballet dans son ensemble qui est pour moi comme une deuxième maison. C’est une grande famille, même si j’y suis entrée seulement à l’âge de 21 ans, alors que presque tous les autres y dansent depuis qu’ils ont huit ans et vivent ensemble, toute la semaine, depuis leur arrivée.
Comment vivez-vous à Paris ? Quel est votre rapport à la Corée ? Avez-vous par exemple de la décoration coréenne à la maison ?
Pas du tout. Je vis avec mon mari qui aime surtout le style scandinave. Nous avons déménagé il y a deux ans et comme je dansais tout le temps, c’est lui qui s’est occupé de l’appartement. Il est coréen, mais il est arrivé en France quand il avait neuf ans. Il a donc grandi en France. Nous vivons dans le XVe arrondissement et j’aime beaucoup notre quartier ! Par exemple, près de chez nous, on trouve le meilleur restaurant coréen de Paris ainsi qu’une pâtisserie coréenne et bien sûr des supermarchés coréens. C’est important car je fais souvent la cuisine coréenne.
Être danseuse étoile, cela change quoi dans votre vie, mis à part le fait d’être très demandée pour les interviews ?
Il est vrai que l’été dernier, en Corée, j’ai donné cinq ou six interviews par jour, pendant deux semaines. À la fin, j’étais complètement épuisée. En revenant en France, en septembre dernier, ma première rentrée en tant qu’étoile a été particulièrement chargée. J’ai participé au Gala d’ouverture de saison de l’Opéra, le fameux Défilé, et ce pour la première fois comme étoile. Je m’y suis donc préparée avec beaucoup de bonheur, mais aussi de stress. Heureusement, j’ai eu la joie de voir mes parents venir à Paris à cette occasion. Et je devais en même temps me préparer pour le ballet Études de Harald Lander, un grand classique moderne qui est techniquement très difficile à danser. En plus, cette pièce n’est donnée qu’un seul soir, ce qui ajoute encore à la pression de tout réussir.
L’étoile Park Sae-un, congratulée par sont partenaire Paul Marque après une représentation de Roméo et Juliette.
La vie d’étoile est-elle donc plus compliquée que celle d’avant ?
Au contraire, elle a beaucoup d’avantages. Le changement le plus important est que je n’ai plus à me préparer pour des concours de promotion. Je ne suis plus en compétition permanente. J’ai passé des années à prouver quelque chose, à me justifier. Maintenant, quand je monte sur scène, j’essaye simplement de donner le meilleur de moi-même en interprétant mes personnages à ma manière. Ce n’est que du bonheur. Une autre différence importante est que les danseurs étoiles savent à l’avance dans quels ballets ils sont programmés et quels soirs ils vont être sur scène, contrairement aux autres membres de la troupe. Chaque étoile a aussi une habilleuse personnelle pour toute la durée de la représentation et sa propre loge. Avant, je la partageais avec une autre danseuse. Avoir un chez soi, ça aide à se mettre en bonne condition pour danser et interpréter un personnage.
Votre répertoire de rôles est déjà large, avec des styles très différents, de quelques grands classiques à des chorégraphes actuels comme Benjamin Millepied ou l’Allemand Marco Goecke. Mais c’est toujours dans le ballet romantique que l’on s’identifie le plus à un personnage donné. Vers qui va votre préférence ?
J’ai aimé tous mes rôles du répertoire, mais il y en a certains qui m’ont particulièrement marquée : Tatiana dans Oneguine du chorégraphe John Cranko qui était le directeur du Ballet de Stuttgart, Odette/Odile dans Le Lac des Cygnes… Mais aussi les pièces de George Balanchine et bien sûr très récemment Juliette dans Roméo et Juliette de Rudolf Noureev, le rôle avec lequel j’ai été nommée danseuse étoile.
Comment abordez-vous un personnage, son rôle et sa psychologie ?
À chaque fois qu’on prépare une interprétation nouvelle, on travaille avec un maître de ballet avec lequel on apprend les pas. Mais on discute aussi de l’œuvre, on regarde des livres, des films, des interprétations intéressantes etc. Par exemple la Juliette de Noureev est une fille qui a beaucoup de caractère et ne cherche pas forcément à être jolie. Elle ne joue pas à la princesse et prend elle-même ses décisions. C’est elle qui dessine le destin de Roméo. C’est une femme très forte qui maîtrise son propre destin, ce qui est très intéressant parce que souvent, au ballet, les femmes subissent leur destin. Mais j’aime autant interpréter une femme très romantique. Ce qui m’intéresse est le fait d’entrer dans le personnage et son histoire, à travers la narration globale de l’œuvre. Par exemple, Tatiana dans Oneguine est une femme assez calme et timide qui se consume dans son amour et n’ose pas vraiment exprimer ses sentiments. C’est donc très différent de Juliette, une fille vigoureuse et directe.
Est-ce qu’il y a des ballets et des personnages que vous aimeriez interpréter un jour ?
Tout à fait, il y a plein de beaux rôles que je n’ai pas encore abordés. J’aimerais par exemple interpréter un jour le personnage de La Belle au bois dormant, ou bien celui de Nikiya dans La Bayadère de Marius Petipa ou bien Giselle, bien sûr. J’adore la danse classique, mais j’aimerais aussi travailler un jour avec des chorégraphes contemporains, notamment William Forsythe, comme j’aimerais découvrir de l’intérieur une pièce de Pina Bausch ou de la Canadienne Crystal Pite qui a déjà créé, avec grand succès, deux spectacles à l’Opéra de Paris. Comme vous pouvez le constater, ce sont des styles très différents qui m’intéressent.
Pouvez-vous définir ce que vous aimez spécialement dans la danse ?
La danse est un partage avec le public, une vraie communication. J’ai compris cela au cours des périodes de confinement. Nous avons donné La Bayadère pour une retransmission en ligne, devant une salle vide. Sans le public, on ne sent pas vraiment pourquoi on danse. En dansant, j’exprime des sentiments, et j’ai besoin d’en recevoir en retour. C’est ainsi que se produit un vrai échange, c’est pour cela que je danse ! Le spectateur qui suit une pièce à l’écran ne perçoit pas ma respiration, ni mon plaisir de danser. Et le fait d’être filmée ajoute au stress car chaque erreur qu’on fait éventuellement sera conservée !
Vous êtes la première danseuse d’Asie qui s’est hissée au rang d’étoile, où on trouve historiquement surtout des Françaises et des Français, à quelques exceptions près… Votre nomination est donc un événement tout à fait unique à ce jour. Autrement dit, historique. Qu’est-ce que cela représente pour vous ?
C’est quelque chose d’énorme, une grande joie et une motivation pour créer des interprétations qui marqueront les esprits. Quant à la diversité des origines dans la troupe, on peut en effet supposer que les choses sont appelées à évoluer. En dansant pour l’American Ballet Theatre de New York, j’ai pu faire l’expérience d’une compagnie très mélangée. C’est donc possible et le nouveau directeur général de l’Opéra National de Paris, Alexander Neef est quelqu’un de très ouvert à cet égard.
Avez-vous déjà un projet de carrière pour le temps après l‘Opéra de Paris, où les danseuses sont obligées de prendre leur retraite à 42 ans ?
J’aimerais un jour retourner dans mon pays car il est vrai que la Corée me manque, malgré tout le bonheur de danser et vivre en France. Mais avant, je veux devenir une grande danseuse étoile à Paris, et y laisser des traces. Par ailleurs j’aurais aussi envie de faire du théâtre à Paris !
Cette ville est très belle, j’en suis tombée amoureuse. Les gens sont très sympathiques, parfois un peu directs, mais je supporte. J’aime aussi la cuisine française, pas seulement la cuisine coréenne. Et parfois, quand je suis en Corée, Paris me manque déjà.
Propos recueillis par THOMAS HAHN, journaliste, critique de danse.
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Retour à la listeMODEDe Séoul à Paris : le hanbok selon Lee Young-hee
22/08/2022
« Le hanbok est toute ma vie. Je crois que je suis née parce que le hanbok existe. » Lee Young-hee Née d’une mère couturière qui lui avait enseigné l’art de la teinture et du montage, Lee Young...
Lire l'article« Le hanbok est toute ma vie. Je crois que je suis née parce que le hanbok existe. »
Lee Young-hee
Née d’une mère couturière qui lui avait enseigné l’art de la teinture et du montage, Lee Young-hee (1936-2018) devait embrasser sur le tard une carrière de styliste. Jusqu’à la fin de ses jours, sa création sera marquée par son attachement au hanbok, le vêtement traditionnel de la Corée. En dépit de la reconnaissance internationale qu’elle reçut dans l’univers de la mode, elle s’est toujours définie avant tout comme une créatrice de hanbok.
Hanbok de mariée.
Lee Young-hee, années 1980,
organza et gaze de soie façonnée (hangra).
Remettre le hanbok au goût du jour
Cherchant à reprendre une activité après avoir élevé ses trois enfants, Lee Young-hee se tourna vers la couture à laquelle sa mère l’avait formée. Elle ouvrit sa première boutique de hanbok à Séoul dans le quartier de Gangnam en 1976 et reprit ses études pour perfectionner son savoir-faire en matière de teinture et ses connaissances concernant l’histoire du vêtement coréen. Exigeante quant à la qualité des matériaux qu’elle travaillait, elle décida de s’impliquer dans leur production en s’engageant dans l’usine de soieries de sa cousine. Elle procédait elle-même à la teinture des échantillons selon des techniques traditionnelles à base de pigments naturels. Les couleurs ainsi obtenues étaient ensuite reproduites avec des teintures chimiques moins coûteuses, plus faciles à mettre en œuvre à grande échelle.
Lee Young-hee était une couturière accomplie et une coloriste de génie, deux qualités qu’elle sut mettre à profit pour renouveler l’art du hanbok. Elle avait parfaitement compris que la beauté de ce vêtement traditionnel, aux lignes simples et fluides et à la silhouette si caractéristique, résidait pour une large part dans l’attrait des matières, l’harmonie des couleurs et le raffinement des finitions. Elle privilégiait le travail de fibres naturelles – la soie et la ramie en particulier – et jouait sur les effets de texture et de transparence. Dans chacun des hanbok qu’elle a créés, les matériaux sont sublimés par les savoir-faire mis en œuvre pour la confection et le décor. Qu’il soit teint, brodé, surpiqué, assemblé en patchwork, peint à l’encre ou estampé d’or, celui-ci est le plus souvent réalisé à la main. Lee Young-hee utilisait sa pratique de la teinture pour créer des harmonies colorées nouvelles et éclatantes, fondées sur l’emploi de teintures naturelles ; en particulier le bleu profond de l’indigo et le brun cuivré de l’astringent de kaki qui occupent tous deux une place de choix dans son travail. La séduction des couleurs devait jouer un rôle essentiel dans le succès de ses créations et contribuer au regain d’intérêt des jeunes générations pour le hanbok, alors délaissé au profit de la mode occidentale.
Au cours de sa carrière, Lee Young-hee devait habiller de nombreuses célébrités parmi lesquelles des acteurs et stars de la K-pop, aussi bien que des personnalités politiques à l’instar de plusieurs Premières Dames. Elle participa à d’innombrables manifestations et évènements pour la promotion de la culture coréenne et du vêtement traditionnel.
Ressusciter les vêtements du passé
Lee Young-hee se passionna rapidement pour l’histoire du hanbok au sujet duquel elle entreprit des recherches assidues avec l’appui de son maître et professeur Seok Ju-seon (1911-1996). Cette ethnologue, spécialiste renommée du vêtement coréen est connue pour avoir sillonné son pays depuis l’après-guerre et réuni une collection de plus de trois mille vêtements anciens, dont elle devait faire don en 1981 au musée du costume de l’Université Dankook (à Yongin) qui porte aujourd’hui son nom.
A l’instar de son professeur, Lee Young-hee réunit elle aussi, au fil des années, une collection de vêtements, mais aussi d’accessoires (coiffes, épingles à cheveux, éventails et pendants de boutonnière norigae), de nécessaires de beauté et d’objets liés aux savoir-faire textiles de la Corée (tissus de présentation et d’enveloppement en patchwork bojagi, matériel de couture et de broderie). Cette collection représentait pour elle un matériel de recherche et une source d’inspiration pour sa création, mais aussi un outil pour la promotion du hanbok auquel elle était tant attachée.
Avec l’aide et les encouragements du Professeur Seok Ju-seon, Lee Young-hee se consacra à ressusciter les habits du passé. Elle donna ainsi naissance à de nombreuses reconstitutions de vêtements coréens anciens devenus rares, souvent altérés, parfois même disparus, à l’instar des habits de cérémonie du couple royal, des fonctionnaires et des dames de la cour, de la tenue des lettrés ou des soldats, du costume des courtisanes, ainsi que des habits du quotidien portés par les gens du peuple, sans oublier les vêtements d’enfant qu’elle affectionnait tout particulièrement. Pour créer ces modèles, Lee Young-hee s’appuyait sur une étude approfondie des textiles archéologiques et des pièces de collection, ainsi que sur les témoignages véhiculés par les représentations anciennes. Son travail méticuleux de reconstitution poursuivait un double objectif de beauté et de fidélité historique, aussi bien dans le choix des matériaux et des techniques, que dans celui des couleurs et des motifs. Après les vêtements de la période Joseon (1392-1910), elle s’intéressa à ceux de la lointaine époque des Trois Royaumes (59 av. J.-C. – 668 apr. J.-C.)
Ces reconstitutions occupèrent une place essentielle dans le travail de Lee Young-hee. Dès les années 1980, elle les présenta à l’occasion de défilés, en Corée aussi bien qu’à l’étranger. Elles occupaient habituellement la première partie du spectacle, tenant lieu d’introduction à ses hanbok modernes et à ses créations plus contemporaines.
De gauche à droite :
Reconstitution du vêtement d’une courtisane (gisaeng) de la période Joseon. Lee Young-hee, années 1980.
Textiles, rotin et papier huilé (pour le chapeau).
Hanbok féminin. Lee Young-hee, années 2010.
Soieries, teinture, matelassage.
Robe de mariée (hwarot). Lee Young-hee, Haute couture 2010.
Toile de ramie (mosi) brodée main au fil de soie.
Faire entrer le hanbok dans l’histoire de la mode
La volonté qu’avait Lee Young-hee de faire aimer le hanbok l’a guidée durant toute sa carrière. Non contente de moderniser ce vêtement pour le faire revenir dans la garde-robe des Coréennes, elle entendait le faire connaître à travers le monde et entrer dans l’histoire de la mode, de sorte qu’il ne soit plus réduit à un simple élément du folklore coréen. Pour cela, Paris – en tant que capitale de la mode – lui est apparu comme une destination incontournable.
En mars 1993, elle participait pour la première fois à la Semaine de la Mode (Fashion Week), en présentant une collection de prêt-à-porter au Pavillon Gabriel et choisit de clôturer ce premier défilé parisien par une série de hanbok de sa création. Le succès fut au rendez-vous. Après avoir ainsi pris la mesure de la réception du vêtement coréen jusqu’alors méconnu du public occidental, Lee Young-hee décida de clore son second défilé (collection « printemps-été 1994 »), au mois d’octobre la même année, par un groupe de mannequins vêtus de la seule jupe plissée traditionnelle (chima) nouée au-dessus de la poitrine. Elle débarrassait ainsi le hanbok féminin de la veste courte (jeogori), si caractéristique, qui lui était traditionnellement associée, faisant pour la première fois du vêtement coréen une robe-bustier d’un seul tenant. En organza de soie, légère et fluide, au drapé versatile jouant sur les effets de transparence, celle-ci était sublimée par des dégradés de teintes naturelles éclatantes. Les « Costumes de vent », selon l’expression qu’emploierait bientôt la célèbre critique de mode Laurence Benaïm, dans un article pour le journal Le Monde, étaient nés. Ceux-ci devaient devenir la marque de fabrique de Lee Young-hee, faisant dorénavant systématiquement leur apparition à la fin de ses défilés.
L’année suivante, Lee Young-hee ouvrait sa première boutique à Paris, au 109 rue du Bac dans le 7e arrondissement. En 1996 – à l’occasion du 110e anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques entre la Corée et la France –, elle présentait à l’Orangerie du Luxembourg, une exposition intitulée « Hanbok Coréen : Costume de Vent ». Ses créations y côtoyaient une foule d’objets de sa collection, ainsi que de nombreux portraits de modèles vêtus de ses hanbok. Ceux-ci étaient dus à l’objectif de plusieurs photographes, tels Ling Fei et Kim Jung-man.
Jusqu’au printemps 2004 – exception faite de l’année 1998 pour laquelle elle ne présenta pas de collection « hiver » –, Lee Young-hee devait participer assidûment à la Semaine de la Mode à Paris, où elle présentait chaque année deux collections de prêt-à-porter.
En 2004, elle inaugurait à New York le Lee Young-hee Museum for Korean Culture, où étaient montrés conjointement les objets de sa collection et certaines de ses reconstitutions de vêtements historiques.
Lee Young-hee revint à Paris pour y présenter trois collections « Haute Couture », en juillet 2010, 2012 et 2016. La première, intitulée « Hansan mosi », c’est-à-dire « ramie de Hansan », fut dévoilée à l’hôtel Meurice. Elle faisait la part belle à ce matériau traditionnel d’une finesse exceptionnelle. Les deux défilés suivants eurent lieu, à l’ambassade de Suisse et au Centre culturel coréen, respectivement. Ce dernier, poétiquement nommé « Le ciel et la terre, la nature et l’homme, la paix, l’espoir et l’harmonie » fut dévoilé à l’occasion des célébrations du 130e anniversaire des relations France-Corée. Il fut accompagné d’une exposition qui reprenait certaines des pièces les plus emblématiques de l’œuvre de Lee Young-hee, présentées l’année précédente (2015) au Dongdaemun Design Plaza à Séoul où une rétrospective lui avait été consacrée.
Dans ses créations « haute couture » comme dans le reste de son travail, Lee Young-hee puisait l’inspiration de ses formes, matières, couleurs et motifs dans le vêtement et les savoir-faire traditionnels de la Corée.
Défilé de la collection Haute couture 2016 au Centre culturel coréen à Paris.
La collection Lee Young-hee au Musée national des Arts asiatiques – Guimet (Paris)
Après la brutale disparition de Lee Young-hee en mai 2018, sa fille Lee Jung-woo, qui avait travaillé à ses côtés durant plus de 40 ans, se mit en quête d’un lieu à même d’accueillir l’immense collection laissée par sa mère. Le choix du Musée national des Arts asiatiques – Guimet (MNAAG) répondait à l’attachement de la créatrice pour Paris, ville à laquelle elle devait sa consécration internationale. La donation consentie par Lee Jung-woo en mémoire de sa mère comprend quelques 1300 pièces : hanbok, prêt-à-porter et Haute Couture, ainsi que sa collection de vêtements, accessoires et objets anciens liés aux traditions vestimentaires et savoir-faire textiles de Corée. Les pièces exposées à New-York, qui avaient rejoint la « Maison de Lee Young-hee » à Séoul après la fermeture du musée new-yorkais en 2014, faisaient partie de la donation. à l’hiver 2019-2020, le MNAAG organisait l’exposition « Séoul-Paris : L’étoffe des rêves de Lee Young-hee » pour célébrer l’entrée au musée de ces objets qui faisait de lui le détenteur de l’une des premières collections de vêtements coréens anciens hors de Corée.
Article d'Hélène GASCUEL, Conservatrice en charge de la collection Textiles au Musée National des Arts asiatiques - Guimet
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Retour à la listeLECTURERevue Culture Coréenne - Printemps / Été 2022
02/08/2022
« Culture Coréenne », dont le premier numéro remonte à l’automne 1981, est une publication destinée au public français présentant les arts, l’histoire, les traditions, et d’une façon générale, le...
Lire l'article« Culture Coréenne », dont le premier numéro remonte à l’automne 1981, est une publication destinée au public français présentant les arts, l’histoire, les traditions, et d’une façon générale, les multiples facettes de la Corée et de sa culture.
La revue, publiée et diffusée par le Centre Culturel Coréen, fait appel à des collaborateurs de divers horizons et parmi les plus renommés dans leurs spécialités respectives : universitaires, journalistes critiques d’art, personnalités du monde culturel… Refusant de donner de la Corée et de sa culture une vision trop « touristique » et superficielle, elle affirme également son éclectisme en abordant des sujets extrêmement variés : histoire, langue, coutumes et traditions, cuisine, musique, danse, cinéma, théâtre, littérature, récits de voyage, grands événements artistiques, portraits d’artistes, regards interculturels, contes… mettant en lumière de multiples aspects de la culture coréenne aussi bien traditionnelle que contemporaine.
Au fil des numéros, s’est ainsi constitué peu à peu un fond documentaire exceptionnel, aujourd’hui riche de plus de 700 articles publiés. Celui-ci représente actuellement une base d’informations précieuse dans laquelle peuvent puiser tous ceux qui s’intéressent à la Corée, à son histoire et à sa culture.
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La revue n°104 est disponible au téléchargement sur ce lien : https://www.coree-culture.org/-revue-culture-coreenne,009-.html
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Retour à la listeCONCERTLes Grandes Stars de la Chanson Pop Coréenne
13/07/2022
Vendredi 16 septembre 2022 à 19h 30 Par le Centre Culturel Coréen et Envol ProdLa K-Pop, vous en avez entendu parler. Mais connaissez-vous la chanson pop coréenne ? Bien avant la K-Pop, la musique populaire coréenne avait déjà ses stars, dont certaine...
Lire l'articleVendredi 16 septembre 2022 à 19h 30
Par le Centre Culturel Coréen et Envol Prod
La K-Pop, vous en avez entendu parler. Mais connaissez-vous la chanson pop coréenne ?
Bien avant la K-Pop, la musique populaire coréenne avait déjà ses stars, dont certaines sont connues à travers le monde.
Le 16 septembre 2022, au Casino de Paris, c’est une invitation pour un voyage culturel unique qui vous est adressée avec la présence de 6 grandes stars de la Chanson coréenne, toutes présentes pour la première fois en France.
Une soirée qui célèbre le 50e anniversaire de la chanson ’’Morning Dew’’, titre phare du grand chanteur Kim Min-Ki, l’un des plus grands artistes de la musique coréenne populaire. Influence majeure de toute une génération d’artistes dès les années 70, cette chanson dénonce l’américanisation de la culture coréenne d’alors, et évoque les relations difficiles entre Corée du Nord et Corée du Sud.
Kim Min-Ki, qui a été un des rares à artistes activistes coréens, fût régulièrement censuré par les autorités, mais paradoxalement devînt également une icône de la jeune génération de Coréens de cette époque.
Le 16 septembre 2022 seront donc réunies 6 grandes stars coréennes, qui interprèteront chacune une chanson de Kim Min-Ki, ainsi que les plus grands titres de leurs répertoires respectifs. Vous y découvrirez alors des chansons empreintes d’émotions, des mélodies poignantes chères au cœur de tous les Coréens qui peuvent être considérées comme les prémisses du phénomène mondial qu’est devenu aujourd’hui la K-pop.
ARTISTES :
EUN MI LEE
HAKI PARK
ALI
SEUNG HWA PARK
DONG HA JUNG
CHOON HO HAAM
LE CASINO DE PARIS
16 rue de Clichy - 75009 Paris
Billetterie : www.casinodeparis.fr, Fnac, Seetickets, Ticketnet, Carrefour, etc…
PRESENTATION DES ARTISTES
LEE Eun Mi
Débutant sa carrière de chanteuse blues rock en 1988 dans de petites salles de concert de Séoul, LEE Eun Mi a fait ses débuts officiels en 1992, avec la sortie de son premier album. Dotée d’une voix profonde et se prêtant à tous les genres (jazz, rock, folk, R&B, soul, etc), elle a été sacrée Artiste d’aujourd’hui par le Ministère coréen de la Culture en 2002, et fut la première interprète coréenne invitée à se produire à l’hôtel Hilton de Las Vegas. 2019 marqua l’année de sa millième représentation, un record dans l’histoire des chanteuses coréennes. Résolument charismatique, LEE Eun Mi est connue en Corée sous le surnom de ‘’Jeanne d’Arc de la scène’’.
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Ses plus grands hits :
♪ « J’ai un amour »
♪ « Nocturn »
PARK Haki
Fier représentant du genre folk rock coréen, membre du jury du télé-crochet Folk Us depuis 2020, PARK Haki est à la fois compositeur et interprète. Originaire de la ville de Daegu, sa passion pour la musique démarre avec ses études de musique. L’année 1988 marqua la sortie de son premier album, dont le troisième titre « Seasons Falls Like This » connut une grande popularité. L’année suivante, deux autres titres extraits de ce même album ont valu à PARK Haki de remporter un disque d’or dans la catégorie Jeune talent. Sa discographie, forte de 6 albums, confirme le talent de ce chanteur, dont les ballades sont connues de tous les Coréens.
Ses plus grands hits :
♪ « Fragrant Memories »
♪ « Already You’re »
♪ « Pacing Around »
♪ « Beautiful World »
ALi
ALi a débuté sa carrière d’interprète en 2009 avec le mini album « After The Love Has Gone », et en accompagnant régulièrement au chant le groupe de rap Leessang. Cette artiste talentueuse a notamment conquis le cœur du public coréen grâce aux titres « 365 Days », « Eraser » et « PungPung ». Elle s’est également brillamment distinguée grâce aux télé-crochets Immortal Songs et King of Mask Singer.
Depuis, ALi a élargi ses horizons musicaux en se produisant dans plusieurs comédies musicales (notamment Turandot et Rebecca), en interprétant des chansons pour des dramas coréens (Rooftop Prince, Faith,…), et en enseignant sa passion à l’Université Howon.
En savoir plus
Ses plus grands hits :
♪ « Hurt » (tiré du drama Rooftop Prince)
♪ « Carry On » (tiré du drama Faith)
♪ « Flower Through the Rocks » (tiré du drama Gunman in Joseon)
♪ « The Two Of Us » (tiré du drama The Producers)
JUNG Dong Ha
Débutant sur la voie de la chanson en tant qu’interprète du groupe Boowhal de 2005 à 2014, JUNG Dong Ha mena ensuite une carrière solo remarquée. Sa voix empreinte d’une sensibilité enveloppante lui a par ailleurs permis de se distinguer en se hissant 15 fois en tête des télé-crochets Immortal Songs : Singing The Legend et King of Mask Singer.
Le talent de JUNG Dong Ha fut également mis en avant dans les versions coréennes de comédies musicales telles que Notre-Dame de Paris, Edgar Allan Poe, We Will Rock You, et bien d’autres. Ses titres solo les plus récents, « Memories Of You » et « YOU », ont remporté un très grand succès, notamment ce dernier, qui s’est classé comme titre le plus joué durant une année entière.
Ses plus grands hits :
♪ « Thinking » (avec le groupe Boowhal)
♪ « If I »
♪ « I Still Love You »
♪ « Between Love and Farewell » (tiré de la BO du webtoon The Forbidden Marriage)
♪ « Mystery » (tiré du drama Master’s Sun)
PARK Seung Hwa
Révélé au public grâce à la chanson « I Love You » en 1993, PARK Seung Hwa est notamment connu pour être l’un des deux interprètes du duo masculin Yurisangja, dont le premier album est sorti en 1997. Non seulement doté d’une voix qui touche au plus profond du cœur, il est également un multi-instrumentaliste de talent (guitare, harmonica et piano).
Animateur d’une émission sur la radio CBS depuis 2012, PARK Seung Hwa poursuit ses activités musicales sur la chaîne YouTube Park’s Once Again depuis 2021, sur laquelle il réinterprète au chant, à la guitare et à l’harmonica, les titres d’autres grands artistes coréens à la demande de ses abonnés.
Ses plus grands hits :
♪ « I Love You »
♪ « I Think It’s Love » (tiré du drama Wang’s Family)
♪ « Like A Hidden Picture »
HAAM Choon Ho
Membre du groupe de musique folk rock Shiingwa Chonjang depuis 1984, HAAM Choon Ho est un guitariste qui compte parmi les plus grands musiciens coréens. Fort d’un parcours musical de plus de 40 ans, c’est un artiste au style inimitable et élégant, capable de s’imprégner de plusieurs genres, comme le montrent ses collaborations avec de nombreuses stars coréennes de la chanson (CHO Yong Pil, LEE Moon-sae, LEE So Ra, BAEK Ji-young, SUNG Si-kyung, G.O.D., Big Bang, IU,…). Parallèlement à sa carrière de guitariste, HAAM Choon Ho est aussi professeur de musique appliquée.
Extraits :
♪ « Those Were The Days »
♪ « Blue Whale » (SONG Chang-sik x YOON Do-hyun x KANG Seung Yoon, feat. HAAM Choon Ho)
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Retour à la listeEXPOSITIONExposition de photographies « Pour toujours dans nos mémoires »
05/07/2022
Du 8 au 21 juillet 2022 Exposition organisée par la section Europe du Sud du 20ème Peaceful Unification Advisory Council (PUAC) Aussi passionnante soit-elle, l’histoire de la Corée reste néanmoins jalonnée d’invasions et de guerres innombrables. Parmi...
Lire l'articleDu 8 au 21 juillet 2022
Exposition organisée par la section Europe du Sud du 20ème Peaceful Unification Advisory Council (PUAC)
Aussi passionnante soit-elle, l’histoire de la Corée reste néanmoins jalonnée d’invasions et de guerres innombrables. Parmi ces tragédies, la guerre de Corée – qui opposa la République de Corée à la République populaire démocratique de Corée du 25 juin 1950 au 27 juillet 1953 – demeure assez méconnue dans le monde. Pourtant, ses conséquences dramatiques, notamment la partition de la péninsule coréenne en deux, sont aujourd’hui bien connues de tous.
C’est pourquoi le Centre Culturel Coréen accueille dans ses murs, du 8 au 21 juillet, l’exposition « Pour toujours dans nos mémoires », consacrée aux soldats français ayant participé à la guerre de Corée. Celle-ci est organisée par la section Europe du Sud du 20ème Peaceful Unification Advisory Council (PUAC), qui prépare pour 2023 une exposition commémorative du 70e anniversaire de l’accord de cessez-le-feu. Celle-ci a pour objectif d’enregister et de présenter les témoignages et photographies des derniers soldats français ayant participé au conflit, avant qu’il ne soit trop tard.
L’exposition présentée au Centre culturel, qui est une sorte d’avant-première de celle s’ouvrant l’an prochain, propose de faire découvrir au public quelques-uns de ces portraits photos, clichés imprimés sur du papier traditionnel hanji entièrement fabriqué à la main. Une incursion dans l’histoire méconnue de la guerre de Corée, à découvrir à travers ces précieux témoignages du temps.
CENTRE CULTUREL CORÉEN
ESPACES DE LECTURE DE LA BIBLIOTHÈQUE (3E ÉTAGE)
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Retour à la listeEXPOSITION« K-WEBTOON, une nouvelle forme d’expression de la BD… »
30/06/2022
Du 20 juillet au 9 septembre 2022 Exposition organisée par Rockin’ KOREA, en collaboration avec la KOCCA Bienvenue dans le monde du webtoon coréen ! Les webtoons, ces manhwas (bandes-dessinées coréennes) numériques que l’on lit en faisant d&eacu...
Lire l'articleDu 20 juillet au 9 septembre 2022
Exposition organisée par Rockin’ KOREA, en collaboration avec la KOCCA
Bienvenue dans le monde du webtoon coréen !
Les webtoons, ces manhwas (bandes-dessinées coréennes) numériques que l’on lit en faisant défiler les images de haut en bas sur son smartphone ou son ordinateur, occupent depuis plusieurs années une place de plus en plus importante dans de nombreux pays, et tout particulièrement en Corée. Présentes sur le marché coréen depuis 2003 sous l’impulsion du moteur de recherche Daum, ces œuvres sont disponibles à la lecture en ligne, payante ou gratuite, en passant par des plateformes et des applications qui leur sont entièrement consacrées.
Depuis leur apparition en France en 2014, sur la plateforme Delitoon, les webtoons jouissent d’une belle attractivité dans l’Hexagone, et permettent aux lecteurs français de découvrir des histoires passionnantes dessinées dans des styles graphiques très variés. Les webtoons constituent en effet un fabuleux moyen d’expression pour de nombreux dessinateurs et scénaristes, qui voient parfois leurs œuvres transposées en films ou séries télévisées (dramas) lorsque celles-ci remportent au préalable un très fort succès sur les plateformes de lecture.
Cet été, le Centre Culturel Coréen propose à nos amis français de faire un tour d’horizon du monde du webtoon coréen, à travers une exposition originale qui propose un florilège de dessins issus de différents titres, pour la plupart inédits en France, tels que Exchanged Heart (Jimmy), Handsome Hotteok (Nicky et 7Monster), The Right Temperature (Woo Gang), et bien d’autres.... Cette présentation sera également l’occasion de mettre en lumière quelques manhwas ayant marqué l’histoire du genre, tels que Full House (Won Soo-yeon) ou encore Peter Panda (Na Yeri).
Cette exposition est organisée par Rockin’ KOREA, agence de management faisant valoir depuis sa création en 2000 le travail de plus de 150 auteurs de manhwas et webtoons, en soutenant notamment leurs œuvres dans les différents processus de création, de publication et de distribution. Cet événement est réalisé en collaboration avec la KOCCA (Korea Creative Content Agency), agence gouvernementale soutenant l’industrie des contenus culturels coréens depuis 2009.
CENTRE CULTUREL CORÉEN
ESPACES D’EXPOSITION 2
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Retour à la listeEXPOSITIONExposition de gravure sur bois de Hyun Jeung « Encres rêvées, songes de papier »
24/06/2022
Du 12 mai au 30 octobre Suite à une période de travaux, le Musée des Arts Asiatiques de Toulon rouvre ses portes ce printemps et invite à cette occasion l’artiste coréenne Hyun Jeung pour une exposition personnelle de ses œuvres de gravure sur bois. Ce...
Lire l'articleDu 12 mai au 30 octobre
Suite à une période de travaux, le Musée des Arts Asiatiques de Toulon rouvre ses portes ce printemps et invite à cette occasion l’artiste coréenne Hyun Jeung pour une exposition personnelle de ses œuvres de gravure sur bois. Cette technique millénaire est exploitée par l’artiste non pas comme un simple moyen de reproduction, mais comme un véritable art du processus qui donne à voir les variations du vivant – c’est-à-dire différentes facettes de la nature – à travers la répétition. Par ailleurs, l’écriture coréenne hangeul comme élément pictural prend une place de plus en plus importante dans les travaux récents de l’artiste.
Après des études d’ingénieur en électronique à l’Université nationale Kyungpook (Daegu), Hyun Jeung change de voie et s’installe à Paris en 1990. Elle y entreprend des études d’art, obtenant un Doctorat en Arts Plastiques à l’université Paris I Panthéon-Sorbonne sur le sujet : Le corps du Vide dans la gravure. Elle se consacre à la gravure sur bois depuis plus de 25 ans, et son travail a fait l’objet d’expositions dans plusieurs pays.
Hyun Jeung a vécu entre la France, la Chine et la Tunisie avant de se réinstaller dans son atelier de la rue Berthollet à Paris. Parallèlement à son métier d’artiste graveuse, elle travaille également au Musée Cernuschi à Paris depuis 2002 en tant que conférencière-plasticienne.
Renseignements sur par email culture@mairie-toulon.fr
MUSÉE DES ARTS ASIATIQUES (MAA)
Villa Jules Verne
169 Littoral Frédéric Mistral
83000 TOULON
Tél. : 04 94 36 83 13
Photo : Hyun Jeung, Série Géranium IV, 2020, gravure sur bois, 35 x 33.5 cm)
ExpositionExposition immersive de mapping vidéo autour des lanternes bouddhiques
13/06/2022
Du 30 juin au 9 septembre 2022 Dernier volet de l’exposition « Yeondeunghoe, un festival bouddhique de couleurs illuminées », le Centre Culturel Coréen invite les visiteurs à plonger dans un univers féerique par le biais d’une expé...
Lire l'articleDu 30 juin au 9 septembre 2022
Dernier volet de l’exposition « Yeondeunghoe, un festival bouddhique de couleurs illuminées », le Centre Culturel Coréen invite les visiteurs à plonger dans un univers féerique par le biais d’une expérience immersive chamarrée. C’est donc l’auditorium du Centre qui se fera l’écrin de ce chapitre mêlant tradition bouddhique et contemporanéité, avec des projections en mapping vidéo investissant tout le volume de la salle.
Pénétrant ainsi dans une sorte de ‘‘cube’’ empli de lumières colorées, le public pourra, grâce à la magie des nouvelles technologies visuelles, se laisser porter dans un superbe décor de lanternes projeté en continu : un régal pour les yeux et pour l’esprit, une escapade lumineuse invitant à la contemplation et à la méditation.
CENTRE CULTUREL CORÉEN
AUDITORIUM
Pour plus d'informations consultez le site internet
Retour à la listeCultureConcours « K-Pop World Festival France » Grande Finale à Paris, à suivre en ligne
12/06/2022
Vendredi 24 juin à 19h Le concours K-Pop World Festival est un événement international qui se déroule depuis plusieurs années dans près de 72 pays dont la France. Il a pour vocation d’encourager les passionnés de K-pop à développe...
Lire l'articleVendredi 24 juin à 19h
Le concours K-Pop World Festival est un événement international qui se déroule depuis plusieurs années dans près de 72 pays dont la France. Il a pour vocation d’encourager les passionnés de K-pop à développer leur talent en danse et en chant. Dans chaque pays, à l’issue d’une première sélection faite sur vidéos enregistrées par les candidats, les meilleurs d’entre eux – individuels ou groupes constitués – sont retenus pour une finale live. Celle-ci se déroulera à Paris dans l’auditorium du Centre Culturel Coréen, et donnera lieu à une compétition à la fois passionnante et festive.
Depuis 2021, le Centre Culturel Coréen co-organise le concours de la K-Pop à La Rochelle, Montpellier et Nantes avec des associations situées en région. Cette année, ce sera la danse qui sera mise à l’honneur. Les gagnants issus de ces concours participeront en vue de la finale parisienne de juin.
Les meilleurs parmi les vainqueurs des différents pays participant au concours seront ensuite sélectionnés pour une grande finale de danse en Corée qui, si la situation sanitaire le permet, devrait se dérouler en octobre, et ce en présence de plusieurs groupes connus et stars coréennes de K-Pop.
Du fait de la pandémie qui est toujours en cours - même si en France elle évolue favorablement -, la finale parisienne, mettant en compétition les candidats qui ont été sélectionnés à Paris et en régions, sera organisée sans public et pourra uniquement être suivie en ligne.
Rendez-vous donc le vendredi 24 juin à 19h sur notre site internet pour suivre cet événement incontournable en direct !
* Cliquez ici pour voir toutes les informations concernant l’inscription au concours
CENTRE CULTUREL
AUDITORIUM - SANS PUBLIC
Pour plus d'informations consultez le site internet
Retour à la listeExpositionExposition d’art NFT et visite de galerie virtuelle sur le thème de la fête des lanternes bouddhiques
12/06/2022
Du 24 mai au 16 septembre Depuis quelque temps, l’art NFT (« Non Fungible Token » en anglais) fait parler de lui un peu partout dans le monde. Les œuvres NFT sont des créations graphiques virtuelles qui sont, à l’instar de nombreuses composition...
Lire l'articleDu 24 mai au 16 septembre
Depuis quelque temps, l’art NFT (« Non Fungible Token » en anglais) fait parler de lui un peu partout dans le monde. Les œuvres NFT sont des créations graphiques virtuelles qui sont, à l’instar de nombreuses compositions artistiques, numériquement authentifiées et peuvent même être achetées par des utilisateurs d’Internet. Ces œuvres d’un nouveau genre font depuis peu une incursion dans le monde de l’art sous différentes formes : images, vidéos, photos, ou encore animations, jeux, etc.
C’est dans ce nouveau contexte technologique que le Centre Culturel Coréen se propose de faire la liaison entre l’exposition-phare « Yeondeunghoe, un festival bouddhique de couleurs illuminées » et la galerie en ligne KLUBS dédiée aux NFT, et de permettre ainsi une première incursion dans les métavers, ces univers virtuels qui seront appelés à faire prochainement partie de notre quotidien.
Toutes les œuvres présentées auront donc pour thème les lanternes du festival coréen Yeondeunghoe. Elles seront visibles dans l’univers virtuel Cryptovoxel, hébergeur entre autres de la galerie KLUBS. Un écran dédié permettra ainsi aux visiteurs du Centre de découvrir cette exposition virtuelle, tandis que la galerie parisienne IHAM mettra elle aussi en avant les œuvres des artistes NFT prenant part à cette expérience étonnante.
Un projet artistique inédit qui permettra au public de se familiariser avec ces nouvelles technologies tout en jetant les bases d’un échange culturel entre monde virtuel et monde réel, entre France et Corée. En effet, 25 artistes coréens et 5 artistes français actuellement en plein essor dans la sphère de l’art NFT seront mis en lumière à travers cette exposition virtuelle.
Artistes participants :
Mr.Misang, HyeGyung KIM, MO Junseok, Hwaji, LAYLAY, Chrales Jang, NAKTA, W00WANG, Lindsayking, Sungsu YIM, LOIE, Joy Jo, Suk, Bosul KIM, Sunjae LEE, MILDMESS, Regina Kim, Uttermelon, Hyekang, CS LIM, Hyunjinery, SOO, ARThief, Grida, ShinyTiger, Albertine Meunier, Jean-Yves Lemoine, Bitopsy, Maison Clone pseudo, Booyasan.
CENTRE CULTUREL CORÉEN
SALLE VIDÉO (RDC) - Du 24 mai au 16 septembre
&
GALERIE KLUBS - Du 24 mai au 16 septembre
https://www.cryptovoxels.com/play?coords=5343W,2028N,
&
GALERIE IHAM - Du 10 au 24 juin
46, boulevard Henri IV
75004 PARIS
Tél. : 09 51 48 40 12
info@galerieiham.com
Pour plus d'informations consultez le site internet
Retour à la listeCULTURETASTE KOREA ! 2022 - Au cœur de la culture bouddhique coréenne
06/05/2022
Du 2 mai au 16 septembre 2022 Édition 2022 - Au cœur de la culture bouddhique coréenne Dans le cadre de ce festival, qui en est à sa quatrième édition, le Centre Culturel et l’Office National du Tourisme Coréens proposent chaque année un...
Lire l'articleDu 2 mai au 16 septembre 2022
Édition 2022 - Au cœur de la culture bouddhique coréenne
Dans le cadre de ce festival, qui en est à sa quatrième édition, le Centre Culturel et l’Office National du Tourisme Coréens proposent chaque année une série d’événements exceptionnels visant à faire découvrir les atouts touristiques et gastronomiques de la Corée, ainsi que différentes facettes de sa culture. Cette année, c’est la culture bouddhique coréenne qui est mise à l’honneur. Une large variété d’événements viendra ainsi émailler une programmation transportant le public français au cœur des temples bouddhiques coréens et d’une culture millénaire mais non moins empreinte de modernité.
Tout d’abord, ce sera la gastronomie qui sera à l’honneur en mai avec le concours du Service culturel de l’ordre Jogye et du Cordon Bleu à Paris. L’un des événements phares de ce « Taste Korea ! 2022 » sera la tenue d’un stand au festival Taste of Paris : pendant toute la durée de ce grand rendez-vous, qui réunit à Paris le meilleur de la scène culinaire actuelle, des moines spécialistes venus de Corée proposeront aux visiteurs une passionnante introduction à la cuisine des temples. Ils se présenteront au public en compagnie de grands chefs du célèbre Cordon Bleu de Paris, qui se seront préalablement essayés à la cuisine des temples en réinterprétant des recettes bouddhiques résolument tournées vers le végétal et l’harmonie des saveurs – recettes à découvrir dans le dernier volet de cette brochure.
Outre la gastronomie, « Taste Korea ! 2022 » continuera de suivre le chemin des temples avec la très belle exposition « Yeondeunghoe, un festival bouddhique de couleurs illuminées », sur le thème de la fête coréenne des lanternes, autre temps fort du festival. Hommage rendu chaque année à Bouddha, cette célébration – inscrite depuis 2020 sur la liste du patrimoine immatériel de l’humanité de l’UNESCO – fait l’objet de grands défilés auxquels participent des milliers de personnes arborant à la main des lanternes en papier. En marge de cette éblouissante exposition, qui se déroulera de mai à septembre, quelques autres événements déployés autour des lanternes feront se conjuguer passé, présent et futur en permettant au public de s’essayer à de nouvelles expériences visuelles à la pointe des dernières technologies. Ainsi, projections immersives de mapping vidéo, défilé virtuel de lanternes et art numérique se chargeront d’apporter à la culture bouddhique coréenne une dimension inédite.
Par ailleurs, des retraites courtes au temple Kilsangsa de Torcy (77) donneront à nos amis français l’occasion d’expérimenter la vie monastique au sein d’un temple bouddhique coréen. Méditation silencieuse, prières et partage d’un repas végétarien composeront le programme de ces journées. D’autre part, des représentations de danses bouddhiques, exécutées lors de rituels par des moines bouddhistes selon des codes rigoureux, donneront à voir, à Paris mais aussi à Nantes dans le cadre du festival Printemps Coréen, un spectacle hautement spirituel combinant complexité et élégance. Des projections de films et une conférence sur le Jikji, premier livre au monde à avoir été imprimé à l’aide de caractères mobiles en métal (1377), donneront au public l’occasion de plonger au cœur du patrimoine bouddhique coréen. Enfin, plusieurs ateliers en appelleront à la créativité et à la dextérité des petits et des grands pour réaliser en groupe des objets ravissants faisant partie du quotidien de la vie monastique.
C’est donc une riche programmation – voir les pages qui suivent – que le Centre Culturel et l’Office National du Tourisme Coréens proposent cette année au public français, qui pourra ainsi découvrir de multiples facettes de la culture bouddhique coréenne.
Les événements à suivre…
- 3 et 4 mai : Projections de films autour du bouddhisme
- 12-15 mai : Taste of Paris 2022 - Les saveurs inexplorées des temples bouddhiques coréens
- 17 mai : Conférence-démonstration de cuisine bouddhique au Cordon Bleu
- 19 et 21 mai (Nantes), 23 et 24 mai (Paris) : Spectacles de danses bouddhiques
- 21 mai-25 juin : Temple stay, « Voyage à la recherche de soi »
- 24 mai-16 septembre : Exposition « Yeondeunghoe, un festival bouddhique de couleurs illuminées »
- 24 mai-16 septembre : Défilé virtuel de lanternes bouddhiques
- 24 mai-16 septembre : Exposition d’art NFT et visite de galerie virtuelle sur le thème de la fête des lanternes bouddhiques
- 25 mai-16 septembre : Ateliers créatifs autour du bouddhisme
- 25 mai : Le Jikji à l’honneur - Soirée de présentation et conférence à l’occasion de la publication en français du Jikji
- 27 mai : Projection du documentaire « Jikji, un voyage dans le temps de l’écrit »
- 30 juin-9 septembre : Exposition immersive autour des lanternes bouddhiques
CINÉMA
Mardi 3 et mercredi 4 mai
Projections de films autour du bouddhisme coréen
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GASTRONOMIE
Du 12 au 15 mai
Taste of Paris 2022
Les saveurs inexplorées des temples bouddhiques coréens
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GASTRONOMIE
Mardi 17 mai à 16h
Conférence-démonstration de cuisine bouddhique au Cordon Bleu
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SPECTACLE
Jeudi 19 et samedi 21 mai à Nantes
Lundi 23 et mardi 24 mai à Paris
Spectacles de danses bouddhiques de Corée
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EXPÉRIENCE
Les samedis 21 et 28 mai, 4, 11, 18 et 25 juin
Temple stay, « Voyage à la recherche de soi »
Temps fort pour expérimenter la vie monastique d’un temple bouddhique.
En savoir plus
EXPOSITION
Du 24 mai au 16 septembre
« Yeondeunghoe, un festival bouddhique de couleurs illuminées »
Exposition sur la Fête des lanternes en Corée
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EXPÉRIENCE
Du 24 mai au 16 septembre
Défilé virtuel de lanternes bouddhiques
En savoir plus
EXPOSITION
Du 24 mai au 16 septembre
Exposition d’art NFT et visite de galerie virtuelle sur le thème de la fête des lanternes bouddhiques
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EXPÉRIENCE
Du 25 mai au 16 septembre
Ateliers créatifs autour du bouddhisme
En savoir plus
CONFÉRENCE et PROJECTION
Mercredi 25 mai à 18h30
Soirée de présentation et conférence à l’occasion de la publication en français du Jikji
Vendredi 27 mai
Projection du documentaire « Jikji, un voyage dans le temps de l’écrit », réalisé par Jérôme-Cecil Auffret
En savoir plus
EXPOSITION
Du 30 juin au 9 septembre
Exposition immersive de mapping vidéo autour des lanternes bouddhiques
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Le bouddhisme coréen et la culture bouddhique
Fondé en Inde au Ve siècle av. J.-C., le bouddhisme et sa communauté monastique se sont progressivement répandus en Asie. Introduit en Corée à l’époque des Trois Royaumes après une implantation en Chine, le bouddhisme fut adopté comme religion d’État sous le règne du roi Beopheung de Silla (514-540 apr. J.-C.). Puis, il se perpétuera et connaîtra son âge d’or durant le royaume de Goryeo (918-1392). Enfin, durant la période Joseon (1392-1897), malgré une large vénération du confucianisme, le bouddhisme continuera néanmoins à imprégner le quotidien du peuple coréen.
De nos jours, et ce malgré la forte présence du protestantisme et du catholicisme – les chrétiens sont en Corée deux fois plus nombreux que les bouddhistes –, les temples se font les gardiens de la tradition spirituelle de la Corée. Véritables espaces culturels, ils enseignent, notamment à travers de courtes retraites (Temple stay, ou « séjour au temple » en français) et des ateliers ouverts à tous, les valeurs essentielles du bouddhisme ainsi que la méditation et la vie en harmonie avec la nature. Ainsi, de nombreux temps forts sont organisés tout au long de l’année pour les familles coréennes et membres d’associations.
La période du printemps est particulièrement riche en événements. Le plus important, l’anniversaire de la naissance du Bouddha Shakyamuni, est célébré le 8e jour du 4e mois lunaire et fait l’objet, à travers tout le pays, de nombreux défilés hauts en couleurs. À l’approche de cette date, une multitude de lanternes en papier traditionnel coloré, porteuses des souhaits de ceux qui les ont fabriquées, ornent toute la péninsule sud-coréenne au travers d’une célébration appelée Yeondeunghoe (ou « Fête des lanternes »).
La célébration de la naissance du Bouddha englobe également des danses effectuées par des moines et des nonnes, telles que la danse Bara chum, ou « Danse des cymbales », qui fait partie d’un rituel solennel mais non moins rythmé, donnant à voir l’élégance de la gestuelle des danseurs très empreinte de spiritualité.
La cuisine des temples, thématique importante du festival « Taste Korea ! 2022 », est également remise au goût du jour depuis quelques années. Le documentaire de Netflix Chef’s Table, avec son épisode consacré à la nonne-chef Jeong Kwan (saison 3), en est un des plus beaux exemples.
Souffrant autrefois d’une image surannée, le bouddhisme coréen, notamment par le biais des activités et événements promus et organisés par le Service culturel de l’ordre Jogye, connaît aujourd’hui un nouveau dynamisme. Ce souffle contemporain réussit à en faire une religion en phase avec la modernité, une pensée millénaire toujours bien ancrée dans le présent mais qui tutoie sans mal le futur et ses nouveaux horizons.
Ce sont toutes ces facettes que le programme « Taste Korea ! 2022 » présente au public français à travers un programme pluridisciplinaire à découvrir dans les pages qui suivent.
Sachal Eumsik, ou la culture culinaire des temples
La cuisine coréenne des temples bouddhiques a été conçue par des moines et des moniales il y a de cela plus de 1 700 ans. Végétarienne, elle change au rythme des saisons et regorge de merveilles qu’offre la nature, tout en bannissant la viande ainsi que cinq légumes au goût piquant et potentiellement perturbateurs de la méditation : ail, poireau, ciboulette, oignon sauvage et oignon.
C’est avec le principe selon lequel « on devient ce qu’on mange » que peut être abordé l’esprit de cette tradition culinaire. En effet, celle-ci se fait le véhicule de l’esprit et des valeurs spirituelles du bouddhisme, dont les clés sont la réalisation de la compassion, la recherche incessante de paix et d’harmonie, ainsi que l’éveil de l’âme.
Plus qu’un simple moyen de se nourrir, la cuisine bouddhique est le fruit d’une rencontre entre divers ingrédients végétaux et des modes de préparation créatifs, avec prédominance du soja et des légumes qui en font une cuisine riche en nutriments sains pour le corps et l’esprit (protéines, huiles végétales et acides gras insaturés pour l’un, vitamines, minéraux et fibres pour les autres). Suscitant au fil des années de plus en plus d’attention, les recettes des temples bouddhiques font beaucoup parler d’elles par les ingrédients mis en œuvre, qui renferment quantité de propriétés bénéfiques pour la santé, voire médicinales pour certains d’entre eux.
Cuisiner fait donc partie de l’enseignement spirituel, et c’est aussi une façon d’exprimer sa reconnaissante envers Bouddha, de remercier ceux qui ont préparé le repas, et de faire montre d’un profond respect envers l’environnement. La recherche d’une coexistence paisible entre la nature et les hommes fait d’ailleurs partie intégrante de la culture culinaire bouddhique. En outre, savoir apprécier l’importance de tous les êtres vivants étant l’un des grands principes du bouddhisme, cette pensée se reflète donc naturellement dans les plats préparés par les moines et moniales, faisant de chaque recette une quête d’harmonie.
Enfin, la culture culinaire des temples soulève des questions fondamentales sur lesquelles nous sommes de plus en plus amenés à nous pencher : la restauration rapide, la nourriture industrielle et ses nombreux composants artificiels peuvent-ils nous satisfaire et nous rendre heureux ? Nos modes de consommation modernes sont-ils réellement adaptés à notre corps, à notre esprit, en accord avec la nature ?
Non seulement savoureuse et saine mais aussi profondément empreinte de philosophie, la cuisine des temples bouddhiques a ainsi pour vocation de nous aider à retrouver un équilibre à la fois physique et psychique, une sorte de paix intérieure par l’assiette, et nous donne rendez-vous avec l’environnement, les saisons et leurs trésors gustatifs.
C’est cette culture culinaire unique que vous propose de découvrir cette année le festival « Taste Korea ! 2022 », par le biais de recettes à reproduire chez vous. Celles-ci sont disponibles en vidéo sur notre chaîne YouTube.
À vos fourneaux !
Cliquez ici pour télécharger l’ensemble du programme de « Taste Korea ! 2022 »
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Retour à la listeCULTURERécital de piano de Seong-Jin Cho à Monaco
22/03/2022
Jeudi 14 avril à 20h Doté d’un immense talent et d’une musicalité innée, Seong-Jin Cho s’est imposé comme l’un des talents les plus accomplis de sa génération, et l’un des artistes les plus marquants de la scène m...
Lire l'articleJeudi 14 avril à 20h
Doté d’un immense talent et d’une musicalité innée, Seong-Jin Cho s’est imposé comme l’un des talents les plus accomplis de sa génération, et l’un des artistes les plus marquants de la scène musicale actuelle. Son jeu est à la fois réfléchi et poétique, affirmé et tendre, virtuose et coloré, animé par un impressionnant sens naturel de l’équilibre.
Seong-Jin Cho a été porté à l’attention du monde entier en 2015, lorsqu’il a remporté le premier prix du Concours international Frédéric Chopin à Varsovie. En janvier 2016, il a signé un contrat exclusif avec Deutsche Grammophon. Artiste très demandé, il travaille avec les orchestres les plus prestigieux du monde, notamment le Berliner Philharmoniker, le London Symphony Orchestra, le Münchner Philharmoniker, le Deutsches SymphonieOrchester Berlin, l’Orchestre de Paris et le Philadelphia Orchestra. Les chefs d’orchestre avec lesquels il travaille régulièrement sont Myung-Whun Chung, Iván Fischer, Jakub Hrůša… Récitaliste très actif, Seong-Jin Cho se produit dans les salles de concert les plus prestigieuses du monde, notamment sur la scène principale du Carnegie Hall à New York, au Concertgebouw d’Amsterdam, et bien d’autres.
Né en 1994 à Séoul, Seong-Jin Cho a commencé à apprendre le piano à l’âge de six ans, et a donné son premier récital à 11 ans. En 2009, il est devenu le plus jeune lauréat de l’histoire du Concours international de piano de Hamamatsu au Japon. En 2011, il a remporté le troisième prix du Concours international Tchaïkovski à Moscou à seulement 17 ans. Il a étudié avec Michel Béroff au Conservatoire national supérieur de musique de Paris de 2012 à 2015. Seong-Jin Cho est aujourd’hui basé à Berlin.
Programme :
Georg Friedrich Haendel, Sonate no.2 en fa majeur, HWV 427
Sonate no.8 en fa mineur, HWV 433
Maurice Ravel, Gaspard de la nuit, M.55
Frédéric Chopin, Quatre Scherzos
Renseignements sur www.opmc.mc
AUDITORIUM RAINIER III
Boulevard Louis II
98000 MONACO
Tél. : +377 93 10 84 00
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Retour à la listeCONCERTConcert de saenghwang par Kim Hyo-young
16/03/2022
Mercredi 30 mars à 19h Le saenghwang, appelé aussi « instrument céleste », est un orgue à bouche aux sonorités aiguës, constitué d’un ensemble de tuyaux en bambou, dotés chacun d’une anche libre (qui r&eacu...
Lire l'articleMercredi 30 mars à 19h
Le saenghwang, appelé aussi « instrument céleste », est un orgue à bouche aux sonorités aiguës, constitué d’un ensemble de tuyaux en bambou, dotés chacun d’une anche libre (qui résonne aussi bien par inspiration que par expiration) et posés sur une caisse à air. Il est le seul instrument coréen capable de produire trois notes en même temps.
Kim Hyo-young fait partie des joueuses de saenghwang les plus talentueuses de Corée. L’habilité avec laquelle elle tire de cet instrument à vent un son à la fois puissant et mystérieux est largement appréciée, et lui a valu de donner de nombreux concerts en solo, ainsi qu’avec divers ensembles tels que l’Orchestre de musique de chambre USP ou l’Ensemble orchestral Confluence. C’est une musicienne créative et éclectique qui brille aussi bien dans l’interprétation de pièces de musique traditionnelle que de ses propres compositions, et qui n’hésite pas à aborder tous les genres musicaux : classique, contemporain, compositions pour la danse, et bien d’autres.
Reconnue parmi les plus talentueux joueurs de saenghwang de Corée, Kim Hyo-young a su captiver le public de par son jeu habile et sincère, remettant cet instrument à l’allure mystérieuse sur le devant de la scène par l’interprétation de morceaux anciens et modernes. Interprète brillante, l’artiste perpétue non seulement la tradition du saenghwang en composant des mélodies qui lui sont destinées, mais cherche aussi à sortir du cadre par des mélanges de genres audacieux.
Ce concert sera composé de vidéos et morceaux joués en live, et contiendra des pièces anciennes, de nouvelles créations, ainsi que des morceaux commandés à la talentueuse compositrice Park Sun-young.
Une belle occasion de découvrir la captivante et harmonieuse musicalité du saenghwang, instrument que l’on a peu l’occasion d’écouter et de voir en France.
Kim Hyo-young s’est vu décerner en Corée plusieurs prix et distinctions, dont le Prix « Femmes de la Culture » qu’elle a remporté en 2013 dans la catégorie « Nouveau talent », ainsi que le Grand Prix KBS Musique traditionnelle (catégorie « Instruments à vent ») en 2015. En 2014, une sélection pour une résidence d’artiste à la Cité Internationale des Arts à Paris lui a permis de démarrer une carrière européenne, marquée notamment par deux invitations pour l’ouverture du Festival de Musique Coréenne de Francfort (Allemagne) en 2016 et 2017.
Kim Hyo-young a enregistré à ce jour trois albums : « Renaissance », « Deuxième renaissance, Hyang-ga » et « Troisième renaissance, Ryu », respectivement en 2009, 2011 et 2021. En parallèle de sa carrière musicale, elle est également enseignante invitée de saenghwang à l’Université des femmes de Sookmyung, à Séoul.
Comme toutes les activités de notre Centre, cet événement est proposé gratuitement.
Réservation fortement recommandée : https://centreculturelcoreen.mapado.com
La réservation en ligne ouvrira 2 semaines avant la date de l’évènement.
CENTRE CULTUREL CORÉEN
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Retour à la listeSPECTACLESSpectacle de danse présentant deux solos de Kim Sunyoung et Pyo Sangman (JJbro)
16/03/2022
Mercredi 20 et jeudi 21 avril à 19 h Dans le cadre de la série « Chum, danses de Corée »Cette série, comprenant une dizaine de spectacles, est consacrée à la danse sous toutes ses formes, qu’elle soit contemporaine ou traditionne...
Lire l'articleMercredi 20 et jeudi 21 avril à 19 h
Dans le cadre de la série « Chum, danses de Corée »
Cette série, comprenant une dizaine de spectacles, est consacrée à la danse sous toutes ses formes, qu’elle soit contemporaine ou traditionnelle. Elle vise à la fois à mettre en lumière les plus belles facettes des danses anciennes de Corée, mais aussi et surtout le talent des danseurs et chorégraphes coréens d’aujourd’hui. La série a été inaugurée en février dernier par un spectacle présentant le travail de l’inventive danseuse-chorégraphe Sun-a Lee. Elle se poursuit donc en avril avec deux nouvelles soirées, chacune proposant deux solos particulièrement expressifs et inventifs.
« Bottari-The trajectory of mind »
Solo de danse créé par Kim Sunyoung
Le titre de la pièce, Bottari, désigne un baluchon traditionnel coréen, une sorte de sac réalisé avec un grand carré de tissu. La danseuse y emballe tous les sentiments humains qu’elle cherche à traduire dans sa danse : amour, espérance, tristesse, désespoir…
Se fondant sur l’esthétique et l’élégance inhérentes à la tradition millénaire de la danse coréenne, Kim Sunyoung s’emploie à les restituer mais en les réinterprétant dans un langage plus contemporain. Dans sa création, basée sur l’énergie et le souffle qui se déploient pour donner naissance à une danse profondément chargée d’émotion mais néanmoins apaisée, l’artiste laisse à la fois une trace dans l’espace et dans le cœur du public.
Chorégraphie : Kim Sunyoung
Danse : Kim Moonhee
Durée : 20 min
« Taking care of me »
Solo de danse créé et interprété par Pyo Sangman (JJbro)
Joie, tristesse, amour, colère... tous ces sentiments fondamentaux animant l’être humain s’expriment dans cette création dont ils constituent la matière première. La crainte de la mort et l’énergie négative véhiculée par l’angoisse en résultant ont été pour le chorégraphe et danseur Pyo Sangman les éléments déclencheurs d’une profonde réflexion sur la vie et les êtres. Sur la force vitale indispensable pour surmonter dans l’existence les obstacles et l’adversité. Elle est, chez certains, très puissante en dépit de grandes difficultés. D’autres, qui vivent pourtant des situations moins dures, manquent de force et se laissent submerger par l’énergie négative et le découragement… Pourquoi ? Mystère de la psyché humaine… Ce solo est pour son créateur une manière d’exprimer toutes ces interrogations et tous ces questionnements profondément humains…
Chorégraphie et danse : Pyo Sangman
Durée : 23 min
Comme toutes les activités de notre Centre, cet événement est proposé gratuitement.
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La réservation en ligne ouvrira 2 semaines avant la date de l’évènement.
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Retour à la listeCONCERTConcert de musique de chambre
16/03/2022
Samedi 19 mars à 20h Sunwook Kim, pianoClara-Jumi Kang, violonEdgar Moreau, violoncelle La parfaite osmose musicale d’un trio au service de Tchaïkovski et Chostakovitch Ce concert associe trois remarquables instrumentistes d’aujourd’hui : le fabuleux pianis...
Lire l'articleSamedi 19 mars à 20h
Sunwook Kim, piano
Clara-Jumi Kang, violon
Edgar Moreau, violoncelle
La parfaite osmose musicale d’un trio au service de Tchaïkovski et Chostakovitch
Ce concert associe trois remarquables instrumentistes d’aujourd’hui : le fabuleux pianiste coréen Sunwook Kim qui remporta respectivement en 2005 et 2006 (à 17 et à 18 ans !) le Concours international de piano Clara-Haskil ainsi que le Concours international de Leeds, la superbe violoniste Clara Jumi-Kang, enfant prodige du violon affichant nombre de belles distinctions (notamment en 2010 une victoire au fameux concours d’Indianapolis) et qui se produit actuellement dans le monde entier, et Edgar Moreau, jeune et brillant violoncelliste français de 27 ans, consacré soliste de l’année 2015 aux Victoires de la musique classique et lauréat de plusieurs grandes compétitions internationales.
Ces trois instrumentistes hors pair forment un trio enthousiaste pour illuminer de leur talent les poignants Trio op. 50 « A la mémoire d’un grand artiste » de Tchaïkovski et l’opus 67 de Chostakovitch. Malgré l’indéniable beauté des deux trios au programme, un parfum de douleur nimbera la soirée. Par sa dédicace « À la mémoire d’une grand artiste », Tchaïkovski dans son opus 50 fait allusion au pianiste Nikolaï Rubinstein, grand ami du compositeur décédé depuis peu. C’est une page d’une exigence inouïe en particulier pour la partie piano, baignée d’un bout à l’autre de la partition d’un lyrisme mélancolique de toute beauté. Il est aussi question de douleur et de deuil avec l’œuvre de Chostakovitch, datant de 1944, et dédiée à la mémoire de son ami Ivan Sollertinski, directeur de la Philharmonie de Leningrad, ainsi qu’aux morts du camp d’extermination de Dajdanek en Pologne, alors récemment découvert par les Russes. L’œuvre est parcourue d’une tension puissamment obsessionnelle dans la répétition des thèmes, comme une sorte de longue lamentation de douleur.
Programme
Tchaïkovski : Trio pour piano op. 50 « A la mémoire d’un grand artiste »
Chostakovitch : Trio n° 2 op. 67
THÉÂTRE DES CHAMPS-ÉLYSÉES
15, avenue Montaigne
75008 PARIS
Tél. : 01 49 52 50 50
Informations et réservations : www.theatrechampselysees.fr / contact@theatrechampselysees.fr
Photo : Martin Jehnichen
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Retour à la listeEXPOSITIONExposition de peinture de Bang Hai Ja « Vers un nouveau monde… »
10/03/2022
Du 2 mars au 29 avril 2022 Vernissage de l’exposition le 2 mars à partir de 18h Arrivée à Paris en 1961, Bang Hai Ja appartient à la première génération d’artistes qui ont été formés dans les universités cor&e...
Lire l'articleDu 2 mars au 29 avril 2022
Vernissage de l’exposition le 2 mars à partir de 18h
Arrivée à Paris en 1961, Bang Hai Ja appartient à la première génération d’artistes qui ont été formés dans les universités coréennes. Elle a à son actif une très belle carrière de peintre longue de plus de 60 ans et fait incontestablement partie aujourd’hui des plus belles figures de l’art coréen. Elle a présenté à ce jour plus de 80 expositions personnelles, participé à une multitude d’expositions collectives, en France, aussi bien à Paris qu’en province, mais aussi en Corée et dans beaucoup d’autres pays du monde : Etats-Unis, Canada, Belgique, Suisse, etc. De nombreux journalistes et écrivains d’art renommés (Pierre Courthion, Pierre Cabanne, Gilbert Lascault, Charles Juliet, Olivier Kaeppelin…) aussi bien français que coréens, ont salué son talent et souvent écrit sur ses œuvres qui figurent dans nombre de collections publiques et sont exposées dans plusieurs musées renommés, notamment à Séoul au Musée National d’Art Moderne et à Paris au Musée Cernuschi.
Née en 1937, Bang Hai Ja est considérée comme une pionnière de l’art abstrait coréen. Après une formation aux Beaux-Arts à l’Université Nationale de Séoul, durant laquelle elle rejeta le conservatisme ambiant, elle rejoignit l’atelier du peintre abstrait Kim Byung-ki, auprès duquel elle développera un mode d’expression artistique d’avant-garde, peu commun à l’époque, cherchant à se réapproprier une identité coréenne qui avait été étouffée jusque-là.
L’artiste sera également, à ses débuts, marquée par le travail pictural de Lee Ungno, membre fondateur du Dansaekhwa et de la pensée existentialiste coréenne inspirée d’auteurs tels qu’Albert Camus. Bang Hai Ja viendra d’ailleurs en 1961 puiser son inspiration en France, où elle vit et travaille depuis plus de six décennies tout en voyageant à travers le monde par le biais de ses expositions.
Son travail se caractérise par un syncrétisme artistique mélangeant techniques occidentales et orientales, mais il est aussi et surtout porteur d’un message universel de paix intérieure et d’amour. Très jeune, Bang Hai Ja fut frappée par la beauté de la nature, et plus particulièrement par l’image de la lumière solaire se reflétant sur la pierre ocre de Corée, donnant ainsi des couleurs vibrantes et nuancées. Depuis, elle cherche sans cesse à capturer la lumière et à la retranscrire au sein de son œuvre sous toutes ses formes. Cette quête, influencée à la fois par ses souvenirs d’enfance mais aussi par la pensée spirituelle qui l’anime, la pousse vers une perpétuelle recherche intérieure ouvrant la voie à une meilleure connaissance de soi. Et Bang Hai Ja se propose, à travers son travail, de transmettre cet éveil intérieur à autrui.
Ce qui frappe d’emblée dans sa peinture, c’est la lumière qu’elle parvient à faire surgir de ses toiles qui semblent illuminées de l’intérieur. Et ce jaillissement de lumière est de nature à susciter chez le regardeur une profonde réflexion sur le mystère de la vie et de la création.
Il n’est donc pas étonnant que ce soit Bang Hai Ja qui ait été choisie pour réaliser les quatre nouveaux vitraux de la salle capitulaire de la magnifique cathédrale de Chartres, dont l’inauguration aura lieu prochainement.
À travers cette exposition d’envergure, réunissant un grand nombre de ses peintures à la fois anciennes et récentes, le Centre Culturel Coréen rend hommage à une artiste unique dont les œuvres flamboyantes sont le fruit d’un ingénieux mélange entre l’Orient et l’Occident.
Exposition réalisée en collaboration avec la Galerie Guillaume, la Galerie Françoise Livinec et GEDEON Programmes Media.
CENTRE CULTUREL
ESPACES D’EXPOSITION 1
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Retour à la listePROJECTIONS VIDÉOS« RIVERUNS : The Life of an Artist » Série de projections vidéos des artistes coréens
03/03/2022
Du 23 mars au 16 mai 2022 Montrer le quotidien d’artistes plasticiens, leur environnement de travail, les doutes qui les assaillent, les inspirations et les traces que laisse la vie sur leurs oeuvres : voilà ce que propose cette série de vidéos. À trav...
Lire l'articleDu 23 mars au 16 mai 2022
Montrer le quotidien d’artistes plasticiens, leur environnement de travail, les doutes qui les assaillent, les inspirations et les traces que laisse la vie sur leurs oeuvres : voilà ce que propose cette série de vidéos. À travers elles, le focus est mis sur le quotidien de dix plasticiens coréens, permettant de porter autant de regards différents sur un sujet commun, à savoir la vie d’artiste.
Bien que la nature des oeuvres et leurs processus de création diffèrent, les quotidiens de ces artistes se trouvent explorés par le biais de ces courtes projections vidéos qui donnent la possibilité au public français de plonger au coeur de la vie de ces créatrices et créateurs. La fugacité des croquis de paysages, l’achat de couleurs dans un magasin de beaux-arts, le travail de soudure de pièces métalliques ou encore les promenades dans la nature non loin d’un atelier, sont autant de scènes qui font partie intégrante de ces tranches de vie.
Le plus souvent, ce sont les oeuvres - c’est-à-dire le fruit du travail d’un artiste - qui sont présentées aux visiteurs d’une exposition. Ce projet, lui, propose d’établir autrement le lien avec le public, en lui donnant à observer en amont le processus de création qui aboutit au résultat final. Une occasion d’observer l’artiste en pleine action, de capturer quelques-uns de ses instants de vie.
Projections diffusées en continu dans la salle de projection.
Artistes présentés :
Heeseung Sung, JOY Kim, Wonmi Seo, Una Jung, Ginger Choi, Daun Jeong, Junseo Yuk, Minsu Kim, Sosan Kim, Donghun Sung.
Image : Centre Culturel Coréen, 540 x 756 cm
Comme toutes les activités de notre Centre, cet événement est proposé gratuitement.
Conformément aux consignes gouvernementales, l’accès au centre nécessite la présentation d’un pass vaccinal pour toutes les personnes de plus de 16 ans, et d’un pass sanitaire européen pour toutes les personnes entre 12 ans et 15 ans inclus.
CENTRE CULTUREL CORÉEN
SALLE DE PROJECTION (RDC)
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Retour à la listeEXPOSITIONArt Capital - Salon du Dessin et de la Peinture à l’Eau 2022
08/02/2022
Du 15 février au 20 février 2022 Le Salon du Dessin et de la Peinture à l’Eau, seul grand salon historique français des œuvres sur papier, se déroule chaque année à Paris dans le cadre du grand événement artistique qu’...
Lire l'articleDu 15 février au 20 février 2022
Le Salon du Dessin et de la Peinture à l’Eau, seul grand salon historique français des œuvres sur papier, se déroule chaque année à Paris dans le cadre du grand événement artistique qu’est Art Capital. Il accueille régulièrement des artistes coréens qui y sont présents en nombre.
Depuis sa création dans les années 1950, ce salon a vu défiler nombre de grandes figures de l’art pictural : Brayer, Rouault, Dufy, Derain, Cavaillès, Utrillo et bien d’autres... Il est devenu, avec le temps, un moment important de la vie culturelle parisienne et a acquis une belle renommée, suscitant aujourd’hui l’intérêt des artistes du monde entier.
C’est pourquoi le Salon du Dessin et de la Peinture à l’Eau attire depuis une dizaine d’années de plus en plus d’artistes coréens. D’autant plus que le papier et la peinture à l’eau font depuis longtemps partie de la tradition picturale coréenne.
Cette année, le Salon du Dessin et de la Peinture à l’Eau reçoit une nouvelle fois une belle délégation de 13 artistes coréens de talent, porte-drapeaux à Paris de l’art coréen d’aujourd’hui. Ils présenteront au public français un large aperçu de la créativité coréenne et des différents styles et tendances qui s’expriment à travers leurs aquarelles, acryliques, peintures sur soie, dessins et photographies aux multiples inspirations.
Ainsi on pourra voir sur les cimaises de ce salon 2022 les oeuvres de :
Jun Myung-ja, Kim Doo-hee, Kim Hae-suk, Choi Gooja, Lee Jung-sook, Huh Koungae, Seo Yeongjoo, Huh Sophia, Jo Hyang-sook, Joung Dai-Soo, Kim Keehee, Lee Hak-min et Cho Moon-ky qui permettront au public de découvrir la diversité de l’art pictural coréen sur papier d’aujourd’hui.
Comme chaque année, d’autres artistes coréens seront présents dans les différents Salons d’Art Capital, notamment au Salon Comparaisons, mais nous ne disposons pas d’informations précises à l’heure où nous mettons sous presse.
image : Jun Myung-ja, Over the Aurora, 100 x 81 cm
GRAND PALAIS ÉPHÉMÈRE
Avenue Pierre Loti
75007 PARIS
Renseignements sur
www.peinturealeau.com
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Retour à la listeCINÉ-CLUB CORÉECINÉMA
27/12/2021
Les vendredis 21 et 28 janvier, 11 et 18 février à 19h Depuis novembre 2021 est lancé au Centre Culturel Coréen un « ciné-club » ouvert à tous ceux qui souhaitent mieux connaître le cinéma coréen.Comprenant 16 s&eac...
Lire l'articleLes vendredis 21 et 28 janvier, 11 et 18 février à 19h
Depuis novembre 2021 est lancé au Centre Culturel Coréen un « ciné-club » ouvert à tous ceux qui souhaitent mieux connaître le cinéma coréen.
Comprenant 16 séances au total, ce programme proposera cette année 13 projections qui auront ainsi lieu le vendredi soir jusqu’à mi-juillet 2022.
Les films sont répartis en 4 thèmes :
· Films romantiques : C’est un genre très prisé en Corée correspondant parfaitement au tempérament sentimental des Coréens.
· Films sur la jeunesse : Comment la jeunesse coréenne a-t-elle évoluée au cours des dernières décennies, et comment s’intègre-t-elle dans la société d’aujourd’hui ? Ce sont là les questions de taille posées à travers ces films.
· Films des années 1960 : Le 1er âge d’or du cinéma coréen se situe entre 1954 et 1963, le 2e entre 1964 et 1968, avant le renforcement de la censure à partir de 1971. Tous ces films sont porteurs d’une modernité remarquable qui ouvrira la voie à la reconnaissance internationale du cinéma coréen.
· Films évoquant la place des femmes dans la société : Ils permettent de mieux comprendre comment les Coréennes sont parvenues, au fil des dernières décennies, à leur niveau actuel d’émancipation.
Chaque thème est illustré par 4 films pour la plupart peu connus, voire inédits en France.
La programmation a été réalisée par Mme Han Kyung-Mi, réalisatrice de courts et moyens métrages (dont plusieurs ont été sélectionnés lors de différents festivals), qui anime également la discussion avec le public suivant chaque projection.
Les 4 films proposés en janvier et février aborderont la thématique de la jeunesse coréenne.
Vendredi 21 janvier à 19h
Oasis de Lee Chang-dong (2002) / drame romantique
132 min, VOSTF / Avec : Seol Kyeong-gu, Moon So-ri, Ryoo Seung-wan
C’est l’histoire d’un amour puissant et hors norme entre une homme naïf et une jeune femme handicapée, un film qui fait réfléchir sur la notion de normalité. On le doit à Lee Chang-dong, écrivain devenu cinéaste sur le tard, et réalisateur, entre autres oeuvres, de l’émouvant Poetry.
Vendredi 28 janvier à 19h
Une belle journée venteuse de Lee Jang-ho (1980) / drame romantique
113 min, VOSTF / Avec : Ahn Sung-ki, Kim Sung-chan, Lee yeong-ho
Trois jeunes hommes, quittant leur campagne pour tenter leur chance à Séoul, nouent une solide amitié. Mais leur vie ne se déroule pas comme ils le souhaitaient... Premier film réaliste coréen, cette oeuvre a remporté en Corée un grand succès.
Vendredi 11 février à 19h
Peppermint Candy de Lee Chang-dong (2000) / drame
130 min, VOSTF / Avec : Seol Kyeong-gu, Moon So-ri, Kim Yeo-jin
Le spectateur suit l’itinéraire d’un jeune homme, de 1979 à 1999. Ancien ouvrier devenu policier, il échange par ce biais son statut de victime contre celui de bourreau. L’histoire de la Corée à cette même époque se retrouve étroitement mêlée à la chute du héros.
Vendredi 18 février à 19h
Locataires de Kim Ki-duk (2004) / drame romantique
88 min, VOSTF / Avec : Lee Seung-yeon, Lee Hyun-kyoon, Kwon Hyuk-ho
Un autre aspect de la jeunesse est développé ici, avec le parcours d’un jeune marginal squattant des appartements vides. Sa rencontre avec une jeune femme malheureuse va l’amener à vivre avec elle une vie faite d’itinérance et de passion. Mais cet amour est-il rêve ou réalité ?
Comme toutes les activités de notre Centre, cet événement est proposé gratuitement.
Réservation fortement recommandée : https://centreculturelcoreen.mapado.com
La réservation en ligne ouvrira 2 semaines avant la date de l’évènement.
Suite aux dernières annonces du gouvernement, l’accès à notre Centre se fait sur présentation d’un pass sanitaire et d’une pièce d’identité à l’entrée pour tout visiteur. En savoir plus sur les conditions d’obtention du Pass sanitaire.
CENTRE CULTUREL
AUDITORIUM
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Retour à la listeCONCERTS / SPECTACLESCONCERT
27/12/2021
Mardi 8 et mercredi 9 février à 19h Consacrée à la danse, cette soirée met en lumière la créativité de la très talentueuse danseuse et chorégraphe coréenne Sun-A Lee. Dancing Dance for meChorégraphie et danse&nbs...
Lire l'articleMardi 8 et mercredi 9 février à 19h
Consacrée à la danse, cette soirée met en lumière la créativité de la très talentueuse danseuse et chorégraphe coréenne Sun-A Lee.
Dancing Dance for me
Chorégraphie et danse : Sun-A Lee / durée : 35 mn
Ce spectacle aborde d’une manière inédite la relation entre film et danse. Alors que la vidéo est habituellement utilisée comme élément scénique, c’est ici l’inverse qui se produit : la danse se glisse dans la projection d’une œuvre cinématographique* qui n’était en rien destinée à rencontrer un plateau de danse. Traversant la ville de Séoul et un paysage enneigé, une jeune danseuse revit sa séparation amoureuse et porte un regard intime sur sa propre histoire d’amour… Ainsi se crée un jeu de miroirs entre l’écran et la scène où la danseuse se dédouble, troublée par sa propre histoire.
*Film « Dance for me », réalisé par Kyeong-yeob Choo.
Acteurs : Sun-A Lee et Jong-Hwan Park
Dis Cover
Danse : Eun-kyoung Kim, Yun-kyung Hur, Dae-ho Lee
Direction artistique et chorégraphie : Sun-A Lee
Musique : Hyun-hwa Cho / Dramaturgie : Thomas Hahn / durée : 40 mn
Avec le trio Dis Cover, la chorégraphe Sun-A Lee poursuit sa recherche sur le chemin vers soi, commencée avec son solo Un Cover. Les interprètes affrontent ici les facettes refoulées de leur psychisme, les ombres de l’inconscient. Par une recherche très sincère sur eux-mêmes, ils se révèlent dans des mouvements où la danse se réinvente de manière étonnante. Ensuite, ils affrontent l’argile, qui matérialise les énergies de tout ce qu’ils avaient tu trop longtemps. Un trio saisissant d’une grande profondeur humaine nous offrant un spectacle d’une grande beauté...
Sun-A Lee en quelques mots…
Diplômée en chorégraphie de l’Université nationale K-Arts de Séoul, Sun-A Lee remporte en 2007 le prix de l’ambassade de France au festival Yokohama Dance Collection. En 2007 comme en 2011, elle est lauréate au festival Masdanza (Espagne) et son solo « Waves » tourne dans quinze pays d’Europe et d’Asie. En 2014. elle danse dans « In Nemo », œuvre numérique de la compagnie Urbanscreen, pionniers du mapping vidéo, qui est projetée au Busan International Film Festival. Comme interprète, elle a marqué la création « Light Bird » de Luc Petton, une pièce pour 4 danseurs et 6 grues de Mandchourie. En novembre 2016, elle pose les bases de « Dancing Dance for me » au French Film Festival de Jeju, en Corée du Sud. Elle est également professeur diplômée de vinyasa yoga, en Corée et en France.
Comme toutes les activités de notre Centre, cet événement est proposé gratuitement.
Réservation fortement recommandée : https://centreculturelcoreen.mapado.com
La réservation en ligne ouvrira 2 semaines avant la date de l’évènement.
Suite aux dernières annonces du gouvernement, l’accès à notre Centre se fait sur présentation d’un pass sanitaire et d’une pièce d’identité à l’entrée pour tout visiteur. En savoir plus sur les conditions d’obtention du Pass sanitaire.
CENTRE CULTUREL
AUDITORIUM
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Retour à la listeCONFERENCEConférence de taekwondo
06/12/2021
| Vendredi 10 décembre à 17h Dans le cadre de l’exposition « Ultime combat – Arts martiaux d’Asie », le musée du Quai Branly – Jacques Chirac présente un cycle de conférences, d’ateliers et évé...
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Dans le cadre de l’exposition « Ultime combat – Arts martiaux d’Asie », le musée du Quai Branly – Jacques Chirac présente un cycle de conférences, d’ateliers et événements dédiés à la connaissance et à la pratique des disciplines de combat asiatiques. Cette programmation propose des rencontres entre chercheurs, historiens et de grands représentants des écoles martiales contemporaines.
En cette occasion, la Corée sera mise en avant à travers la conférence « Le taekwondo, l’avènement d’un art martial devenu sport olympique » qui évoquera notamment la genèse, l’essor et l’olympisme du sport national coréen et une démonstration.
En guise de prélude, une démonstration de taekkyon, art martial précurseur qui faillit disparaître durant la colonisation japonaise, sera également présentée au public le dimanche 21 novembre de 15h à 17h dans le jardin du Musée du Quai Branly (accès libre et sans réservation).
Intervenants :
Frédéric Barberis, adjoint du Directeur Technique National de la Fédération Française de Taekwondo et Disciplines Associées
Maître KIM Jong Wan, chef de projet dans le cadre de l’animation et de la coordination de la direction technique « Culture Grade et Tradition » de la FFTDA et ancien enseignant de taekwondo à l’UFR STAPS de Rouen
MUSÉE DU QUAI BRANLY – JACQUES CHIRAC
THÉÂTRE CLAUDE LÉVI-STRAUSS
37, quai Branly
75007 PARIS
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Retour à la listeEXPOSITIONExposition d’arts plastiques de l’Académie des Arts de Corée
07/09/2021
Exposition d’arts plastiques de l’Académie des Arts de Corée | Du 6 octobre au 10 novembre 2021 Créée en 1954, l’Académie des Arts de Corée contribue au développement des arts coréens en faisant la part belle aux arti...
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| Du 6 octobre au 10 novembre 2021
Créée en 1954, l’Académie des Arts de Corée contribue au développement des arts coréens en faisant la part belle aux artistes exerçant dans des domaines aussi divers que la littérature, les arts plastiques, la musique et la danse, ou encore le cinéma et le théâtre, etc.
L’Académie compte 91 membres depuis sa création.
Après des expositions à Pékin en 2017, à Osaka en 2018 puis à Abou Dhabi en 2019, les plasticiens de l’Académie des Arts de Corée présentent pour la première fois leurs travaux à Paris. Cette opportunité leur permet ainsi de faire montre de leur talent en Europe.
Le Centre Culturel Coréen accueillera donc cet automne les oeuvres d’une trentaine d’artistes expérimentés et de haute valeur, parmi lesquels quelques grands disparus tels Kim Whanki et Suh Se Ok.
Exposants :
- Peinture : Oh Seung-Woo, Youn Myeungro, Yoo Heeyoung, Park Kwangjin, Kim ByungKi, Kim Souck Chin, Chung Sang-Hwa ; Kim Whanki, Lee Chonwoo, Park Young-seon, Nam Kwan, Kwon Ok-yon, Sohn Dongchin, Kim Eeungsou, Lee Joon ;
- Peinture coréenne : Lee Jongsang, Song Young Bang ; Chun Kyung-ja, Kwon Youngwoo, Suh Se Ok ;
- Sculpture : Jeun Loijin, Choi Jongtae, Tai-Jung Um, Choi Eui Soon ;
- Artisanat d’art : Lee Shin-ja, Kang Chan Kyun ; Han Do Ryong ;
- Calligraphie : Kwon Chang Ryun ;
- Architecture : Yoon SeungJoong
CENTRE CULTUREL
Espace d’exposition 2
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Retour à la listeCULTURELes festivals en Corée du Sud, une expérience à ne pas manquer !
07/09/2021
Les festivals en Corée du Sud, une expérience à ne pas manquer ! Musiques festives, traditions ou bien encore bonne nourriture, les festivals coréens mettent à l’honneur ce qui fait de la Corée du Sud sa réputation. Ces festivals atti...
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Musiques festives, traditions ou bien encore bonne nourriture, les festivals coréens mettent à l’honneur ce qui fait de la Corée du Sud sa réputation. Ces festivals attirent nombre de touristes venant des quatres coins du monde pour pouvoir, par exemple, admirer les cerisiers au printemps lors du très connu Festival des cerisiers en fleurs, le Beotkkot Chukje.
Cet automne 2021 voit également la tenue de plusieurs festivals à travers le pays.
- Le Festival d’Ulsan Onggi
Il prendra lieu dans le village d’Oegosan Onggi à Ulsan, du 1er au 8 octobre 2021. Ce Festival cherche à promouvoir les onggi qui sont des pots de terres cuites d’origine coréenne, notamment utilisés comme vaisselle ou récipient alimentaire. Le Festival offre ainsi l’occasion aux visiteurs d’en apprendre plus à ce sujet et même de fabriquer leur propre onggi.
Plus d’informations et prix sur www.ulsanonggi.or.kr.
- Le Pentaport Rock Festival d’Incheon
Ce festival prendra place au parc Songdo Moonlight Festival d’Incheon, le 9 et 10 octobre 2021. Organisé annuellement durant l’été, c’est une occasion pour les fans de rock coréens et étranfers de se retrouver pour assister à des représentations de groupes de rocks venus eux aussi des quatres coins du monde.
Plus d’information et prix sur www.pentaport.co.kr.
- Le Festival de Gwangalli Eobang
Le Festival de Gwangalli Eobang aura lieu sur la plage Gwangalli à Busan, du 15 au 17 octobre 2021. Habituellement organisé au printemps, il a été décalé en octobre suite à l’épidémie de Covid-19. Cet évènement célèbre la culture de la pêche traditionnelle originant de la dynastie Joseon. Ce festival sera animé par de nombreuses activités comme une parade, un concert, des comédies musicales et de la pêche à main nues. Ce Festival est gratuit.
Plus d’informations sur www.suyeong.go.kr.
- Le Festival de Fleurs d’Automne Goyang
Ce Festival se déroulera dans le Village des Fleurs Wondang et dans le parc du lac Ilsan à Goyang, dans la province de Gyeonggi, du 1er au 10 octobre. Ce Festival permet aux visiteurs d’admirer et apprécier l’automne à travers les fleurs. Il comprend entre autre un marché de fleurs et des jardins de fleurs d’automne. Ce festival est gratuit.
Plus d’informations sur www.flower.or.kr.
Article traduit de l'anglais, écrit par Lee Si-Jin
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Retour à la listeCINEMAProjections spéciales consacrées au thriller culte « Memories of Murder »
06/09/2021
Projections spéciales consacrées au thriller culte « Memories of Murder » | Jeudi 16 et vendredi 17 septembre à 19h Lauréat de nombreux prix internationaux, notamment de la Palme d’Or au Festival de Cannes 2019 puis en 2020 du prix ...
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| Jeudi 16 et vendredi 17 septembre à 19h
Lauréat de nombreux prix internationaux, notamment de la Palme d’Or au Festival de Cannes 2019 puis en 2020 du prix du meilleur film en langue étrangère aux Golden Globes, suivi de quatre Oscars et du César du meilleur film étranger pour le seul film Parasite, Bong Joon-ho est un réalisateur qui a désormais acquis une célébrité mondiale. Memories of Murder est son second long-métrage sorti en 2003 qui l’avait à l’époque fait connaître du public français et de la critique internationale. Basé sur un fait divers authentique, ce film remarquable raconte une histoire vraie de serial killer, à la fois glaçante et mystérieuse car restée pendant longtemps une énigme.
Notre Centre vous fait découvrir ou redécouvrir ce film policier mené tambour battant par Song Kang-ho, acteur fétiche de Bong Joon-ho. Sera également proposé, dans la foulée, un documentaire intitulé Memories, retour sur les lieux des crimes, réalisé en 2018 par Jésus Castro-Ortega, grand admirateur de Bong qui est allé visiter les lieux du tournage, interviewer les différents protagonistes du film et nous en commenter certaines séquences emblématiques.
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Retour à la listeEXPOSITIONExposition « Hangeul : l’alphabet coréen à la rencontre du design »
06/09/2021
Exposition « Hangeul : l’alphabet coréen à la rencontre du design » | Du 22 septembre au 12 novembre 2021 Crée en 1443 par le roi Sejong le Grand – qui régna sur la Corée de 1418 à 1450 –, l’alphabet hangeul est le fruit...
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| Du 22 septembre au 12 novembre 2021
Crée en 1443 par le roi Sejong le Grand – qui régna sur la Corée de 1418 à 1450 –, l’alphabet hangeul est le fruit de la volonté et de l’esprit progressiste de ce 4e monarque de Joseon d’éduquer ses sujets les plus humbles et de leur permettre d’accéder à l’écriture. A l’époque, les Coréens utilisaient pour écrire les caractères chinois, trop nombreux et trop difficiles à apprendre, l’écriture étant de ce fait réservée aux seuls érudits et inaccessible aux gens du commun.
Le hangeul est l’un des éléments les plus emblématiques du patrimoine culturel coréen et aussi l’un des éléments-clés de l’identité coréenne. En outre, son invention, qui fut au 15e siècle une vraie révolution, explique, dans une large mesure, le fait que le taux d’alphabétisation en Corée soit aujourd’hui parmi les plus élevés du monde. C’est pour toutes ces raisons que les Coréens sont profondément attachés à leur système d’écriture qui est également pour eux objet de fierté.
Cet alphabet hangeul, reflet du goût pour la philosophie et les sciences, mais aussi du sens esthétique du roi Sejong, se prête volontiers, de par ses formes et sa malléabilité, au jeu des réinterprétations plastiques. En attestent aujourd’hui les oeuvres de nombreux artistes et designers coréens. C’est donc sous la forme d’un projet expérimental que le Musée National du Hangeul présente dans notre Centre une exposition mettant en lumière cet alphabet, en proposant à travers le prisme du design de nouvelles créations s’inspirant aussi bien du domaine de l’art que de la production industrielle.
Cette exposition met en exergue l’histoire de la création du hangeul et les caractéristiques propres au système d’écriture, pour en décomposer la structure et les formes afin de mieux les transformer et explorer de nouveaux codes artistiques. Des plasticiens reconnus pour leur travail résolument contemporain déploient ici toute leur inventivité, reprenant la géométrie et les particularités des éléments du hangeul pour les réinterpréter et ainsi aboutir à de nouvelles créations, à de nouvelles formes souvent étonnantes car l’alphabet coréen constitue « un matériau » offrant à l’imaginaire de l’artiste d’infinies possibilités dont cette exposition nous présente un florilège.
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Retour à la listeEXPOSITIONExposition « Corée / Korea Cubically Imagined »
19/07/2021
Exposition « Corée / Korea Cubically Imagined » | Du 21 juillet au 13 août 2021 au Centre Culturel Coréen En guise d’épilogue à l’exposition qui s’est tenue un peu plus tôt en juillet à la Maison de l’Unesco, notre ...
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| Du 21 juillet au 13 août 2021 au Centre Culturel Coréen
En guise d’épilogue à l’exposition qui s’est tenue un peu plus tôt en juillet à la Maison de l’Unesco, notre Centre prend le relais en proposant un final haut en couleurs. Afin de clore en beauté cette exposition, qui s’inscrit en parallèle de l’Année internationale de l’économie créative au service du développement durable à l’Unesco, trois de ses volets sont présentés dans deux des espaces du Centre.
Tout d’abord, c’est à travers l’espace hallyu et grâce à la réalité virtuelle que le public plongera dans l’univers palpitant du film multiprimé de Bong Joon-ho, Parasite.*
La visite se poursuivra dans l’auditorium, où des oeuvres en mapping vidéo du groupe « d’strict » et de l’artiste Yiyun Kang saisiront le public par leur déploiement de formes et couleurs.
Un événement inédit au Centre Culturel, mêlant redécouverte de la notion d’espace et jeux de lumières chamarrées.
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Retour à la listeARTProjet « 1’59’’– Eun Me Ahn »
29/06/2021
| Du 25 juin au 7 juillet 2021 au Centre Culturel Coréen Partant de l’idée que la création artistique est un moyen puissant de l’expression de soi, individuellement ou collectivement, la chorégraphe coréenne Eun Me Ahn propose à ci...
Lire l'article| Du 25 juin au 7 juillet 2021 au Centre Culturel Coréen
Partant de l’idée que la création artistique est un moyen puissant de l’expression de soi, individuellement ou collectivement, la chorégraphe coréenne Eun Me Ahn propose à cinquante amateurs, de créer, de produire et de jouer, seuls ou à plusieurs, une pièce artistique d’une durée d’1 minute et 59 secondes – temps moyen d’attention sur une plateforme vidéo internet avant de zapper.
Chacun peut prétendre à cet espace d’expression et de vie, que ce soit de manière professionnelle ou non. Reste que pour parvenir à son terme, la création a besoin de s’adresser à un public. C’est une rencontre, parfois un don. Ce n’est pas évident. Mais cette rencontre est sans doute le moment d’échange le plus important, un instant qui est à la fois le plus difficile et le plus jubilatoire. C’est ce moment intense que Eun Me Ahn propose de faire naître et d’accompagner. Les participants peuvent inscrire leur proposition dans le ou les champs artistiques de leur choix : musique, théâtre, danse, poésie, arts plastiques, performances, récits, cinéma…
Des ateliers, visant à connecter les gens à travers une pratique artistique et à inspirer la créativité, menés tantôt par Eun Me Ahn, tantôt par des artistes qui l’entourent, auront lieu au rythme de trois à quatre fois par mois, sur une durée d’environ deux mois (septembre et novembre), par session de deux heures. Il y aura en plus deux ou trois moments d’échange et rencontre en semaine plus détendus avec les autres participants et l’équipe artistique.
Les pièces créées au terme de ce travail seront restituées au Centre Culturel Coréen début novembre 2021.
Inscription ouverte jusqu’au 7 juillet
Confirmation de votre participation au plus tard le 15 juillet 2021
Pour toute information sur ce projet, contacter Clint Lutes : 159clint@gmail.com
Organisation : Eun Me Ahn Company et Centre Culturel Coréen
En collaboration avec DaPoPa et micadanses
Pour plus d'informations consultez le site internet
Retour à la listeEXPOSITIONExposition « Outre mesure »
09/06/2021
Exposition collective de l’Association des Jeunes Artistes Coréens | Du 17 juin au 17 septembre 2021 au Centre Culturel Coréen Comme chaque année, les membres de l’Association des Jeunes Artistes Coréens se renouvellent et se réunissent pour relever u...
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| Du 17 juin au 17 septembre 2021 au Centre Culturel Coréen
Comme chaque année, les membres de l’Association des Jeunes Artistes Coréens se renouvellent et se réunissent pour relever un nouveau défi ; explorer un thème qui permet à chacun d’entre eux de voir et d’examiner son travail sous un angle différent. C’est ce que traduit le terme la mesure, terme utilisé dans divers domaines et contextes différents, allant du domaine des sciences et techniques à celui des arts et de la culture.
Valeur, évaluation, protocole, convention, disposition, encadrement, paradigme, rythme..., autant de termes pouvant remplacer le mot mesure, tout en incorporant son caractère polysémique. La mesure renvoie aussi à l’universalité, la justesse, l’objectivité, la constance et la régularité. Dans la conjoncture actuelle où les déséquilibres engendrés par la crise sanitaire sont multiples, une juste mesure telle l’équité, visant l’équilibre et la stabilité, s’impose plus que jamais.
Intitulée Outre mesure, l’exposition vise à élargir le sens du mot mesure en laissant aux artistes une marge de manœuvre pour son interprétation. Les artistes observent et élaborent le thème à travers divers médiums (peinture, dessin, sculpture, installation, vidéo, photographie). Les travaux de ces dix-neuf membres de l’association seront ainsi classés et exposés par sous-thèmes ; (in)visible frame, nature sensible et valeurs singulières.
La mesure, signifiant la règle, l’ordre public, la convention ou norme sociale, est invisible mais omniprésente voire pesante dans la vie en société. Il s’agit d’un cadre (frame) qui permet à des personnes ayant des valeurs et des intérêts différents de vivre ensemble dans la société. Le cadre revoie à l’idée de framing ou de mental filter en anglais (collection d’anecdotes et de stéréotypes), qui s’use comme une contre-mesure dans la stratégie de communication. Dans « (In)visible frame », certains artistes se penchent sur l’idée de mesure dans le contexte social, et d’autres la voient tel un cadrage (frame) ou un outil visuel (terme cher à Daniel Buren) qui rend les sujets visibles, ramenant un nouveau regard, par le biais de formes mesurées, régulières et canoniques.
Dans la deuxième partie de l’exposition, c’est le corps qui se met en avant et se révèle dans sa « nature sensible ». Le corps devient ici un médium sensibilisant et sensibilisé. Il fonctionne comme un instrument de mesure, un repère ou indicateur des ressentis d’une part, et d’autre part, il réactive le regard. Le corps confiné, ou isolement social renvoie à la question d’espace et de temps, entre liberté et contrainte, jusqu’à la question existentielle. Un corps sensible ou un état d’esprit sensible est également représenté par le biais de la nature (mer, cascade, rocher...).
Le parcours de l’exposition se termine par le sous-thème « Valeurs singulières ». Les artistes créent ici leur propre langage artistique à partir des data, graphisme, vécus…, telle une valeur au sens scientifique, symbolique ou sentimental. Ces valeurs singulières correspondent à leurs pensées, sentiments, mémoires, rêve... enfin aux aléas de la vie.
L’exposition Outre mesure donnera ainsi un bel aperçu sur la jeune création coréenne contemporaine en France et permettra sans nul doute au public français de mieux appréhender sa vitalité et sa diversité.
A PROPOS DE L’AJAC
L’AJAC est une association fondée à Paris en 1983, qui regroupe de jeunes artistes d’origine coréenne résidant en France. Elle organise chaque année à Paris une grande exposition annuelle de ses membres actifs. Elle présente également, des expositions collectives en France et à l’étranger où, souvent elle tente d’entrer en relation avec des artistes venus de différents horizons dans un esprit d’échange et de partage. Cette année, l’association compte 19 membres actifs et 9 nouveaux membres qui ont été admis au cours de l’année précédente.
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Retour à la listeEXPOSITIONExposition « Chaekgeori... de la beauté des livres »
08/06/2021
Du 17 juin au 10 septembre 2021 au Centre Culturel Coréen « Beaucoup pensent que la nature morte est exclusive à la peinture occidentale. Toutefois, ce genre pictural était également populaire sous la dynastie Joseon en Corée, avec, entre autres th&eacu...
Lire l'articleDu 17 juin au 10 septembre 2021 au Centre Culturel Coréen
« Beaucoup pensent que la nature morte est exclusive à la peinture occidentale. Toutefois, ce genre pictural était également populaire sous la dynastie Joseon en Corée, avec, entre autres thématiques, celle du livre. Diverses natures mortes ont été dépeintes dans de nombreux pays à travers le monde, mais celles représentant des livres comptent parmi les plus rares.
En Corée, le mot « livre » (chaek) est présent dans le nom de chaekgeori, style de nature morte représentant des ouvrages et divers objets liés à l’écriture, sous forme d’objets en porcelaine, en bronze, de papeterie ou d’autres objets courants, harmonieusement associés à des éléments naturels tels que des fruits, des plantes, des animaux et tant d’autres. » - Professeur Byung-mo CHUNG
C’est par ces quelques mots d’introduction que s’ouvre la nouvelle exposition du Centre Culturel Coréen, « chaekgeori... de la beauté des livres ». Inédite en France, celle-ci s’inscrit au cœur du style minhwa. Faisant partie intégrante du patrimoine culturel de la Corée, celle-ci signifie « peinture populaire » et tire ses racines du quotidien des Coréens les plus modestes de la fin du 18e siècle à la première moitié du 20e siècle. Se jouant des différences de classes, la peinture minhwa a indéniablement gagné le pari d’être appréciée de tous, de la cour royale aux quartiers les plus pauvres. Ce style pictural continue de véhiculer la passion qui anime les artistes spécialisés, encore très nombreux aujourd’hui.
Haute en couleurs et volontiers réhaussée d’une bonne dose d’humour, la peinture minhwa se compose le plus souvent de représentations florales et animales - le plus souvent tigres, pies, pivoines et lotus - mais aussi humaines et symboliques. Cet art populaire comprend le chaekgeori ou chaekgado, peintures sur paravent représentant des livres et accessoires divers utilisés par les lettrés de la Corée d’autrefois. Particulièrement apprécié du roi Jeongjo (22e roi de Corée ayant régné durant le 18e siècle), le style chaekgado a ensuite traversé les classes sociales pour devenir un genre très prisé par les gens du peuple. Ainsi, en se popularisant, livres et objets de calligraphie ont laissé la place à des peintures mettant en avant la faune et la flore, sujets davantage aimés des classes plus modestes de la société coréenne d’antan. Vieux de plusieurs siècles, l’art du chaekgeori ou chaekgado a su rester à la fois authentique et moderne. De nouveaux objets et des thématiques plus récentes ont été ajoutés au fil de l’histoire, permettant ainsi au genre de rester de tous temps proche de son époque.
Ces ‘natures mortes’ d’un genre inédit, dépeignant ouvrages et objets de calligraphie empilés avec élégance, ont été choisies pour la nouvelle exposition « chaekgeori... de la beauté des livres », qui se tiendra à Paris du 17 juin au 10 septembre 2021 au Centre Culturel Coréen.
47 artistes coréens réunis par le professeur Byung-mo CHUNG et passionnés de peinture minhwa y présenteront leurs œuvres inspirées de la thématique des chaekgeori, véritables instantanés de la vie quotidienne. Se faisant tantôt reproductions fidèles de peintures existantes, tantôt réinterprétations modernes, elles redonnent à la peinture populaire traditionnelle un attrait nouveau tout en préservant avec fierté ses racines modestes.
En outre, un programme éducatif pour les enfants sera proposé durant le temps de cette exposition. Celui-ci permettra au jeune public de découvrir la peinture traditionnelle minhwa de façon ludique.
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Retour à la listeK-POPConcours K-Pop World Festival France
25/05/2021
Le concours K-Pop World Festival est un événement international qui se déroule depuis plusieurs années dans près de 72 pays (dont la France). Il a pour vocation d’encourager les jeunes passionnés de K-pop à développer leur talent en danse...
Lire l'articleLe concours K-Pop World Festival est un événement international qui se déroule depuis plusieurs années dans près de 72 pays (dont la France). Il a pour vocation d’encourager les jeunes passionnés de K-pop à développer leur talent en danse et en chant. Dans chaque pays, à l’issue d’une première sélection faite sur vidéos enregistrées par les candidats, les meilleurs d’entre eux – individuels ou groupes constitués – sont retenus pour une finale live. Celle-ci est prévue en France pour début juillet 2021 à Paris, à l’auditorium du Centre Culturel Coréen, lors d’une compétition à la fois passionnante et festive.
Cette année sera particulièrement importante pour ce festival en France. En effet, ce sera la première fois que des associations situées en région y participeront, présentes dans des villes telles que La Rochelle, Montpellier et Nantes. En outre, ces dernières auront pour mission d’organiser les concours de K-Pop régionaux qui se dérouleront en mai et juin, avant la grande finale parisienne de juillet.
Les meilleurs parmi les vainqueurs des différents pays participant au concours seront ensuite sélectionnés pour une grande finale qui, si la situation le permet, devrait se dérouler en Corée en octobre, et ce en présence de nombreux groupes et stars coréennes de K-pop. Toutefois, compte tenu de la crise sanitaire actuelle, il sera fort susceptible que la finale coréenne, qui en temps normal rassemble pas moins de 10.000 spectateurs, se trouve annulée...
C’est pourquoi le Centre Culturel Coréen organisera une émission spéciale live en ligne en remplacement de cet événement, avec la participation des meilleurs candidats qui auront été sélectionnés lors des concours régionaux.
Consultez les modalités du concours en cliquant sur ce lien.
Retour à la listeEXPOSITIONExposition « Palais royaux de Corée »
22/12/2020
CENTRE CULTUREL ESPACE D’EXPOSITION 1 L’exposition « Palais royaux de Corée » célèbre le premier anniversaire de l’ouverture du Nouveau Centre Culturel Coréen, et commémore à cette même occasion le 40e an...
Lire l'articleCENTRE CULTUREL
ESPACE D’EXPOSITION 1
L’exposition « Palais royaux de Corée » célèbre le premier anniversaire de l’ouverture du Nouveau Centre Culturel Coréen, et commémore à cette même occasion le 40e anniversaire du Centre Culturel Coréen à Paris dans le cadre du programme Taste Korea. Cette exposition a pour objectif de mettre en lumière l’histoire et la culture liées aux palais royaux en Corée.
Jusqu’à présent, peu d’expositions dédiées aux anciens palais coréens se sont tenues dans l’Hexagone. Cet événement constitue ainsi une belle occasion pour le public français de découvrir quatre palais royaux ayant fait figure dans l’histoire de la dynastie Joseon, ainsi que le sanctuaire de Jongmyo. Les visiteurs auront la possibilité d’en apprendre davantage, notamment grâce à une mine d’informations éducatives et historiques passionnantes.
Le palais est la demeure dans laquelle la famille royale résidait et travaillant avec ses fonctionnaires attitrés. Il est à la fois un lieu politique, historique et culturel. Dès 1392, année qui marque le début de la dynastie Joseon, fut construit le palais Gyeongbokgung à Hanyang (ancien nom de la capitale, Séoul).
Cette exposition présente le palais de Gyeongbokgung, ainsi que trois autres palais de cette époque, tels que les palais Deoksugung, Changgyeonggung et Changdeokgung, ainsi que le sanctuaire de Jongmyo. Ces cinq monuments nationaux représentent à eux seuls 500 ans d’histoire de la dynastie Joseon.
Cette exposition sera enrichie des photographies et vidéos des artistes coréens Heun-kang SEO et Jong-woo PARK, deux artistes ayant su faire ressortir l’élégance et la grandeur des quatre palais de Joseon et du sanctuaire de Jongmyo. Une installation de Mi-young YANG présentera quant à elle ses poupées faites en papier traditionnel Hanji.
Heun-kang SEO, photographe particulièrement attiré par le patrimoine culturel coréen, a débuté sa carrière en 2005 avec une exposition sur la thématique des tombeaux royaux de la dynastie Joseon. Depuis, il n’a de cesse de capter par l’image non seulement les palais royaux qui jalonnent la Corée, mais aussi de nombreuses scènes typiques du patrimoine national, ces dernières ayant largement participé à sa renommée dans son pays. Heun-kang SEO présentera une série de photos inédites lors de l’exposition « Palais royaux de Corée ».
Jong-woo PARK est renommé dans le domaine de la photographie documentaire, notamment grâce à ses débuts dans le tournage de films de cette catégorie. À l’occasion de l’exposition « Palais royaux de Corée » au Centre Culturel Coréen, l’œuvre vidéo intitulée ‘Calme majestueux’ divisée en 3 parties présente, entre autres, l’architecture du sanctuaire Jongmyo ainsi que les rites ancestraux et la musique royale qui y sont liés. Cette œuvre a été présentée pour la première fois en novembre 2015 au Musée Samsung Leeum de Séoul au cours de l’exposition « A Homage to Korean Architecture-Wisdom of the Earth », et y a récolté un très grand succès.
Artiste remarquée pour ses réalisations en papier traditionnel hanji, l’œuvre de Mi-young YANG a déjà été mise en lumière par trois fois lors d’expositions en France, ainsi qu’au cours de nombreux événements en Corée et ailleurs dans le monde. Elle dirige actuellement le village artisanal Hanok de Jeonju.
Le Yeongjo-jeongsunwanghu Garye Banchado est une scène réalisée en papier hanji, typique de la région de Jeonju. Elle représente la procession du mariage royal du roi Yeongjo et de la reine Jeongsun. Le mot garye désigne les rites de bon augure de la famille royale, et peut inclure des cérémonies telles que les mariages royaux ou encore les couronnements des princes et des princesses.
Le cortège est une œuvre de belle taille composée de plus de mille figurines en papier hanji, chacune d’elles réalisée à la main par Mi-young YANG. L’artiste a d’ailleurs poussé le souci du détail jusqu’à attribuer une expression différence à chacune de ces poupées de papier.
Des programmes pour les enfants seront également proposés autour de la thématique des palais coréens, ainsi qu’un espace ludique de photo-zone et d’essayage de tenues traditionnelles royales.
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ESPACE D’EXPOSITION 1
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Retour à la listeARTConférence « La BD coréenne en France : état des lieux »
19/11/2020
Lundi 23 novembre 2020 à 19 h Cycle de conférences « Culture et civilisation coréennes » En raison de la crise sanitaire actuelle, cette conférence aura lieu en ligne via vidéo réalisée en amont. Cette vidéo de la co...
Lire l'articleLundi 23 novembre 2020 à 19 h
Cycle de conférences « Culture et civilisation coréennes »
En raison de la crise sanitaire actuelle, cette conférence aura lieu en ligne via vidéo réalisée en amont. Cette vidéo de la conférence sera mise en ligne le lundi 23 novembre sur notre site.
Par Nicolas FINET - Editeur, journaliste et ancien chargé de mission Asie du Festival international de la bande dessinée d’Angoulême
Bonne nouvelle, les clichés sur la BD coréenne, le manhwa, sont enfin en train de se dissiper : loin de l’idée reçue selon laquelle la bande dessinée venue de Corée ne serait qu’un avatar des mangas japonais, les créateurs et les créations made in Korea démontrent avec éclat qu’ils sont bien porteurs d’une identité et d’une culture singulières, très loin des conventions établies par leurs homologues nippons.
Un peu moins de vingt ans après leur première entrée remarquée dans les librairies françaises, en 2003, les BD coréennes, tranquillement mais avec constance, ont conquis un territoire toujours plus étendu, fidélisant au fil des années un lectorat de plus en plus varié. Aux lecteurs et lectrices adultes des traditionnelles publications papier est venu s’agréger, via les plateformes numériques dédiées aux webtoons coréens, un jeune public souvent enthousiaste, ouvert à toutes les histoires pourvu qu’elles soient attachantes et divertissantes.
Où en est la bande dessinée coréenne aujourd’hui ? Sous la conduite de Nicolas Finet, témoin historique de sa diffusion dans l’espace francophone, tour d’horizon complet d’un média dans tous ses états.
Pour plonger d’ores et déjà dans l’univers de la BD coréenne, nous vous invitons également à suivre la rencontre "Les maîtres de la bande dessinée coréenne" organisée en ligne par le Musée du Quai Branly - Jacques Chirac. Celle-ci aura lieu entre Nicolas Finet et Pierre-Yves Belfils (responsable des collections périodiques et électroniques de la médiathèque du Musée du Quai Branly - Jacques Branly), le jeudi 12 novembre 2020 à 18h30
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Retour à la listeCINEMAXVe Festival fu Film Coréen à Paris
23/10/2020
Le Festival du Film Coréen à Paris ( FFCP) revient pour une quinzième édition. Celle-ci se voit bouleversée par le contexte sanitaire très particulier, et l'organisation du festival a du s'adapter aux contraintes afin que les fans de cinéma cor&eacut...
Lire l'articleLe Festival du Film Coréen à Paris ( FFCP) revient pour une quinzième édition.
Celle-ci se voit bouleversée par le contexte sanitaire très particulier, et l'organisation du festival a du s'adapter aux contraintes afin que les fans de cinéma coréen puissent en profiter en toute sécurité.
Afin de s'adapter au couvre-feu, le FFCP se transforme. En plus des séances prévues entre le 27 octobre et le 3 novembre (programme disponible en téléchargement ci-dessous), nous organiserons une deuxième diffusion de près de 15 films, au rythme d'un à deux films chaque week-end jusqu'au 20 décembre.
Le mot des organisateurs :
« L'organisation du Festival du Film Coréen à Paris est une aventure, qui commence à peine l'édition précédente clôturée. Chaque édition apporte son lot d'embûches, qu'il nous faut surmonter pour mettre sur pied un événement que nous aurons plaisir à partager avec vous. Nous savons aujourd’hui que notre optimisme est notre meilleur atout pour affronter l'adversité mais la crise sanitaire et ses conséquences posent un défi que l’optimisme seul ne suffit pas à résoudre, si nous souhaitons organiser le FFCP dans un environnement sûr. C’est pourquoi nous avons pris la décision de maintenir le festival sous une forme allégée, qui comprend moins de films et de séances, des capacités de salles réduites et, à notre plus grand regret, aucun invité. Nous avons la volonté de continuer à vous faire découvrir le meilleur du cinéma sud-coréen tout en soutenant l’ensemble des acteurs qui contribuent à donner vie aux films que nous aimons tant.
À bientôt en salle !
Le comité exécutif du FFCP »
Vous pouvez retrouver le programme sur le site officiel du FFCP.
La billetterie est déjà ouverte, ne traînez pas pour réserver, peu de places sont disponibles !
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Retour à la listeMUSIQUERécital de Piano de Kim Sunwook
16/10/2020
« Seoul Art Center on Screen » projections de spectacles filmés Le projet « Seoul Art Center on Screen » a pour but de réaliser des films sur les concerts et spectacles majeurs soutenus par le Ministère coréen de la Culture, des Sports et ...
Lire l'article« Seoul Art Center on Screen » projections de spectacles filmés
Le projet « Seoul Art Center on Screen » a pour but de réaliser des films sur les concerts et spectacles majeurs soutenus par le Ministère coréen de la Culture, des Sports et du Tourisme et le Seoul Art Center, haut lieu des arts de la capitale coréenne. Ces spectacles de grande qualité sont filmés et captés dans les meilleures conditions techniques pour pouvoir être montrés à l’écran au grand public et continuer à exister.
Au vu de la situation actuelle, cette représentation exceptionnelle de KIM Sunwook, encore jamais diffusée en ligne en France, sera disponible en visionnage live depuis notre site Internet le vendredi 16 octobre à 19 heures (début du concert).
Une seule diffusion sera faite (sans inscription préalable), une chance unique donc de découvrir le jeu sensible et enlevé de ce grand pianiste.
Il s’agit d’un concert à deux volets interprété par le jeune virtuose coréen du clavier Kim Sunwook, filmé au Seoul Arts Center en juillet 2016. Kim Sunwook s’est fait remarquer sur la scène internationale pour avoir été le plus jeune interprète et le premier musicien asiatique à décrocher le 1er prix du célèbre concours international de piano de Leeds.
Dans la première partie du concert, Kim interprète la « Fantasie en ré mineur K.397 » de Mozart et la « Sonate pour piano N° 18 en sol majeur D. 894 » de Schubert. Le premier morceau est considéré par nombre de mélomanes comme la plus belle des quatre fantaisies de Mozart, tandis que le second a été salué en son temps par Schumann qui considérait cette sonate comme la plus parfaite des sonates de Schubert. Ces deux grandes oeuvres du répertoire pianistique, permettent d’admirer le contraste entre l’équilibre et la sobriété mozartiennes et le romantisme lumineux de Schubert.
La deuxième partie du concert fait, elle, la part belle à Beethoven avec ses fameuses Variations Diabelli. Ces Variations en do majeur ont été composées par Beethoven à la fin de sa vie, après qu’il eut achevé ses 32 sonates pour piano. Elles constituent probablement l’un des chefs-d’œuvre de sa musique pour piano et le jeune pianiste Kim Sunwook peut y déployer toute sa virtuosité.
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Retour à la listeMUSIQUERécital de Piano de Noh Hansol
24/09/2020
Dans le cadre de la Série Jeunes Talents Noh Hansol a débuté le piano en Corée à l’âge de cinq ans. Elle fait tout d’abord ses études à Séoul dans la prestigieuse Ecole d’Art “Yewon”, puis les poursuit &a...
Lire l'articleDans le cadre de la Série Jeunes Talents
Noh Hansol a débuté le piano en Corée à l’âge de cinq ans. Elle fait tout d’abord ses études à Séoul dans la prestigieuse Ecole d’Art “Yewon”, puis les poursuit à la “Seoul Art High School” avant d’intégrer l’Université Nationale de Séoul.
Après avoir remporté en Corée plusieurs prix nationaux et y avoir donné de nombreux récitals, elle se consacre à la préparation de concours internationaux. Elle obtient ainsi quelques distinctions importantes et, entre autres, ces dernières années : un 1er prix en Espagne du concours international « Villa de Xabia » (2016), un 1er prix en France aux concours internationaux de Brest (2018), « France-Amériques » (2018) et « Piano à Mayenne » (2019), un 1er prix en Italie aux concours « San Dona di Piave » et « Stefano Marizza » (2018), ainsi qu’un 1er prix aux Etats-Unis décerné par la « Debut International Piano Competition » (2019).
En 2018, après avoir bénéficié de l’enseignement de Jacob Leuschner, elle obtient à l’unanimité un Doctorat à la Musikhochschule de Detmold, en Allemagne.
En 2019, elle achève un cycle de Perfectionnement à l’Ecole Normale de Musique de Paris où elle travaille avec Bruno Rigutto, et se produit parallèlement en France, aux Etats-Unis (New-York Carnegie Hall), en Italie et bien sûr en Corée.
Noh Hansol fait partie de ces jeunes talents coréens à découvrir et se produit pour la première fois dans le nouveau Centre Culturel Coréen.
Programme : L.v. Beethoven Piano Sonata No. 7 in D Major, op. 10-3
Presto
Largo e mesto
Minuet. Allegro
Rondo. Allegro
F. Liszt Hungarian Rhapsody No.12, S.244/12
intermission
S. Rachmaninoff Piano Sonata No. 2 in b-flat minor, Op. 36
Allegro agitato
Non allegro—Lento
L’istesso tempo—Allegro molto
A. Schulz-Evler Arabesken über ’An der schönen blauen Donau’ von Johann Strauss
Diffusion en ligne sur le site du Centre Culturel Coréen le Mercredi 30 septembre à 19heures.
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Retour à la listeEXPOSITIONExposition "La réfraction des données-distance" Jung Seung
03/09/2020
Après avoir terminé ses études à l’École nationale supérieure d’arts de Paris-Cergy en 2006, l’artiste coréen Jung Seung présente pour la première fois son travail en France. La crise sanitaire actuelle étant po...
Lire l'articleAprès avoir terminé ses études à l’École nationale supérieure d’arts de Paris-Cergy en 2006, l’artiste coréen Jung Seung présente pour la première fois son travail en France.
La crise sanitaire actuelle étant pour lui l’occasion d’une mise en relief des concepts de rencontre et de distance, ainsi que d’une réflexion sur le principe de réfraction des données, l’artiste tente, à travers ce dernier, d’expliquer comment les données se transforment et se déplacent d’un système à un autre. Faisant ainsi suite à son projet artistique ‘The Prometheus’s String’ initié en 2016 et ayant pour thème la fragmentation médiatique, Jung Seung présente cette fois un ensemble d’oeuvres qui met en lumière le lien ténu entre art, science et technologie.
Particulièrement intéressé par la science et l’ingénierie, l’artiste a récemment mis au point une théorie intéressante selon laquelle « l’espace serait constamment rempli d’informations innombrables », ce qui l’a amené à travailler sur de nouvelles idées. En partant du principe que les informations relatives à chaque espèce sont génétiquement transmises aux générations suivantes, l’artiste s’est posé la question suivante : l’essence matérielle de la vie, nichée au sein de l’espace cosmique, ne se référerait-elle pas à la continuité de la diffusion de l’information ?
Jung Seung a ainsi créé une base de données en récoltant dans un premier temps des informations liées au processus de croissance d’une plante, par exemple, sa taille, les UV qu’elle absorbe, les bruits qui l’environnent, la température, l’humidité, etc. Puis, dans un second temps, il a cherché à affiner sa recherche en fonction de différents lieux, en examinant par exemple ces mêmes informations concernant une plante provenant du site secret d’inhumation du massacre des citoyens innocents de Gwangju. Ainsi, les informations recueillies sur les plantes sont utilisées par l’artiste pour la création de formes composées de filaments, à partir desquelles il produit des impressions 3D. Cette expérience performative fait écho au processus naturel de croissance végétale dont certaines données caractéristiques peuvent générer des formes sculpturales ; elle vise ainsi à envisager de nouvelles approches concernant les phénomènes élémentaires et matériels de la vie.
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Retour à la listeMUSIQUEUne multitude de spectacles
06/05/2020
Revoyer les spectacles les plus acclamés du Sejong Center, comme si vous y étiez. Avec le programme ‘’Le théâtre joue à domicile’’, le Sejong Center s’occupe de vous distraire à domicile. Des spectacles étonnants vous atte...
Lire l'articleRevoyer les spectacles les plus acclamés du Sejong Center, comme si vous y étiez. Avec le programme ‘’Le théâtre joue à domicile’’, le Sejong Center s’occupe de vous distraire à domicile. Des spectacles étonnants vous attendent en toute sécurité à la maison.
Le Sejong Center, inauguré en 1978, organise des évènements nationaux ainsi que des concerts et des spectacles d’orchestres de rénommée internationale. L’Académie d’art de Sejong propose des cours pour le grand publicconcernantl’ensemble des domaines culturels (musique, cinéma, beaux-arts, etc). Plusieurs corps artistiques y résident en permanence, tels quele Seoul Metropolitan Traditional orchestra, le Seoul Metropolitan Youth Traditonal Orchestra, la Seoul Metropolitan Chorus, le Seoul Metropolitan Musical Theatre, le Seoul Metropolitan Opera, et bien d’autres.
ADOY est un nouveau groupe atypique de la scène indi-musique coréenne. Grâce à une construction singulière et facile d’accès, leur musique est à rapprocher de l’‘indi commercial’, ce qui est très rare sur le marché indi. Fort du beau succès de leur premier album « CATNIP » sorti en 2017, et qui a remporté l’adhésion du public comme des spécialistes, les sonorités de ADOY sont raffinées et leurs mélodies joliment travaillées. Le groupe est très souvent invité sur les petites et grandes scènes musicales, telles qu’au Incheon Pentaport Rock Festival, etc.
Pour la petite anecdote, ADOY est le verlan de YODA, le nom du chat du chanteur et guitariste du groupe, Oh Juwhan.
Membre : Oh Juwhan, JeongDayoung, Zee, Zozo, Park Geun-chang
N'hésitez pas à consulter le site en lien ci-dessous pour assister à de belles performances !
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Retour à la listeCINEMAKorean Film Archive
23/04/2020
Face au contexte épidémique que le monde traverse ces jours-ci, les évènements culturels sont tous mit en pause. Si le cinéma coréen vous intéresse, n’hésitez pas à faire un tour sur la page Youtube de la Korean Film Archive...
Lire l'articleFace au contexte épidémique que le monde traverse ces jours-ci, les évènements culturels sont tous mit en pause.
Si le cinéma coréen vous intéresse, n’hésitez pas à faire un tour sur la page Youtube de la Korean Film Archive qui met, depuis quelques années maintenant, à disposition des vieux films coréens, globalement antérieurs aux années 90, issus de son catalogue.
Présentés par ailleurs pour la plupart avec des sous-titres anglais, ils sont les témoins d’un premier âge d’or de ce cinéma largement plébiscité.
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Retour à la listeANNONCE : Covid-19
17/03/2020
Bonjour à tous, Au vu des récentes mesures gouvernementales, EPS est fermée au public jusqu'au 11 mai et en service restreint. Nous sommes en télé-travail et restons disponibles pour toutes vos demandes. Vous pouvez nous contacter par e-mail ou ...
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Retour à la listeCINEMA"Burning" de Lee Chang-dong : projection
18/02/2020
Et si vous faisiez une sortie cinéma le mercredi 4 mars ? Le Centre culturel coréen situé dans le 8ème arrondissement de Paris vous accueille pour la projection du film coréen « Burning », un thriller dramatique réalisé par...
Lire l'articleEt si vous faisiez une sortie cinéma le mercredi 4 mars ?
Le Centre culturel coréen situé dans le 8ème arrondissement de Paris vous accueille pour la projection du film coréen « Burning », un thriller dramatique réalisé par Lee Chang-dong qui a été nommé pour la Palme d’or à Cannes en 2018.
Synopsis : Jongsu, un jeune coursier, rencontre Haemi, une jeune femme qui habitait son quartier dans sa jeunesse. Ils s’aiment mais elle part aussitôt en Afrique. À son retour, Haemi lui présente Ben, un riche garçon, avec lequel elle semble avoir une liaison et qui est plein de mystère… Après qu’il se soit finalement confié Jongsu Haemi ne donne plus de nouvelles…
Cette projection est gratuite mais nous vous recommandons de réserver votre place en ligne, voir le lien ci-dessous.
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Retour à la listeCINEMAProjection du documentaire "Jeronimo"
12/02/2020
Mercredi 19 février à 19h dans l’enceinte du Centre Culturel Coréen, vous pouvez découvrir un documentaire qui raconte l’histoire d’un révolutionnaire cubain d’origine coréenne qui renoue avec ses origines. Le réalisateur de c...
Lire l'articleMercredi 19 février à 19h dans l’enceinte du Centre Culturel Coréen, vous pouvez découvrir un documentaire qui raconte l’histoire d’un révolutionnaire cubain d’origine coréenne qui renoue avec ses origines.
Le réalisateur de ce documentaire Joseph Juhn est un avocat coréano-américain devenu réalisateur de documentaires. Joseph a travaillé comme avocat à New York pendant 4 ans dans une agence gouvernementale coréenne basée à Manhattan, New York, spécialisée dans la propriété intellectuelle et le droit des startups. Au cours d’une randonnée à Cuba en 2015, le hasard le fait rencontrer un homme d’ascendance coréenne, rencontre qui l’incite à raviver son attrait pour la narration. « Jeronimo » est le premier long-métrage de Joseph, et a été sélectionné dans près de 12 festivals de cinéma à travers le monde. « Jeronimo » est sorti en salles en Corée en novembre 2019, attirant plus de 15 000 spectateurs à travers le pays, réalisant ainsi l’un des meilleurs scores d’audience cette même année. Joseph a obtenu un baccalauréat en arts spécialité films et vidéos à l’Université de Californie de San Diego, ainsi qu’un diplôme en droit à l’Université Syracuse de New York.
Cette projection sera suivie d’une rencontre avec le réalisateur.
Vous pouvez réserver votre place gratuitement sur le site ci-dessous
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Retour à la listeCULTUREVoyage dans l'univers du webtoon
27/01/2020
Le Centre Culturel Coréen accueil une exposition intitulée « Voyage dans l’univers du webtoon ». Savez-vous ce qu’est le webtoon ? Les coréens ont depuis des années revisités l’art de la bande dessinée sous un no...
Lire l'articleLe Centre Culturel Coréen accueil une exposition intitulée « Voyage dans l’univers du webtoon ».
Savez-vous ce qu’est le webtoon ? Les coréens ont depuis des années revisités l’art de la bande dessinée sous un nouveau format. Contraction de « web » et « toon » (cartoon), le webtoon désigne une bande dessinée faite pour être consommée via son smartphone ou sa tablette. Actuellement, 59 plateformes avec 3183 auteurs de webtoons sont disponibles en Corée. Un service qui ne faiblit pas et séduit les coréens par le format court et des nouvelles planches qui sortent chaque semaine.
Si vous êtes à l’aise avec l’anglais, vous pouvez notamment lire des webtoons coréens grâce à l’application WEBTOON opérée par l’entreprise Naver qui propose un large choix de webtoons populaires traduits pour un public international.
L’exposition au Centre Culturel Coréen présente les différents aspects de cette nouvelle forme d’art diffusée sur le net. Elle retracera son histoire et la manière dont elle s’est développée en Corée. Un espace de lecture sur tablette sera également aménagé au sein de l’exposition. Vous pouvez profiter de cette expérience jusqu’au 31 mars 2020.
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Retour à la listeCULTURETekkal, couleurs de Corée
13/01/2020
Au sein du nouveau Centre Culturel Coréen, l’espace d’exposition accueil : « Tekkal, couleurs de Corée ». Cette exposition aborde le thème de la signification et de l’usage des couleurs dans la vie et la culture des Coréens. E...
Lire l'articleAu sein du nouveau Centre Culturel Coréen, l’espace d’exposition accueil : « Tekkal, couleurs de Corée ».
Cette exposition aborde le thème de la signification et de l’usage des couleurs dans la vie et la culture des Coréens. Elle est réalisée en collaboration avec le Musée National du Folklore de Corée et constitue une première en France.
Le bleu du ciel, le rouge flamboyant du coucher de soleil, les camaïeux de vert d’une forêt... Tout ce qui nous environne a une couleur et la nature qui change au fil des saisons nous offre une large palette de nuances. Tous les jours, nous faisons la rencontre de couleurs diverses et variées. Nous associons chacune d’entre elles à des images et prenons des décisions sur nombre de sujets en fonction d’elles. La manière de percevoir les couleurs et leur symbolique ne sont pas les mêmes sous toutes les latitudes. Elles dépendent de la culture, de la vision du monde et des us et coutumes qui diffèrent dans chaque pays. Les trois volets composant cette exposition, « Monochrome », « Jeu de couleurs » et « Polychrome », sont illustrés par un ensemble d’objets à la fois traditionnels et contemporains dont la plupart font partie du quotidien des Coréens. Ils nous permettent de mieux appréhender la complexité d’un univers aux nuances colorées riches de sens.
Ainsi, le public français pourra découvrir dans cette superbe exposition le raffinement des costumes traditionnels coréens (hanbok) et leurs teintes chatoyantes, de magnifiques broderies aux couleurs éclatantes mais aussi de délicates porcelaines blanches, des peintures, des coiffes, des sceaux… tous ces objets – plus de 200 ! – ayant en commun de participer à ce « grand festival des couleurs de Corée ». Un festival permettant de mieux appréhender leur signification profonde, leur symbolique et l’art spécifiquement coréen de les combiner.
Vous avez la chance de pouvoir faire des visites guidées gratuites et sans inscription préalable en compagnie d’un médiateur culturel.
Lundi :
- 11h30 Visite générale - Découverte de l’art et la culture coréenne à travers cinq couleurs (durée : 45 min) 12 ans et plus
- 16h00 Visite thématique – Beauté de la céramique coréenne vue à travers le prisme de la couleur (durée : 30 min) 12 ans et plus
Mardi
- 13h00 Visite thématique - Culture de Seonbi, lettrés-poètes de l’époque Joseon (durée : 45 min) 15 ans et plus
- 16h30 Visite/atelier Jeune public et famille - Corée, éclatante de couleurs ! (durée : visite 30mn/atelier 15mn) 6-9 ans. Une visite ludique dédiée aux enfants, qui leur fera découvrir les cinq couleurs de l’art traditionnel coréen.
* Réservation indispensable par e-mail (info@coree-culture.org).
Attention, les tranches d’âge doivent être respectées : de 6-9 ans.
Se présenter 15 minutes avant la visite.
Matériel fourni, les enfants emportent leurs réalisations.
Mercredi
- 14h30 Visite thématique - Habillement traditionnel en Corée (durée : 30 min) 15 ans et plus
- 16h00 Visite générale - Découverte de l’art et la culture coréenne à travers cinq couleurs (durée : 45 min) 12 ans et plus
Jeudi
- 13h00 Visite générale - Découverte de l’art et la culture coréenne à travers cinq couleurs (durée : 45 min) 12 ans et plus
- 16h00 Visite générale – Voyage dans le temps avec les cinq couleurs (durée : 45 min) Tous public
v Point de départ des visites : entrée de l’exposition (1er étage)
v Entrée libre, visite guidée gratuite (sans inscription préalable)
Exposition jusqu’au vendredi 14 février 2020
Tous les jours sauf samedi, dimanche, fériés 10h-17h30
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Retour à la listeCULTURESpectacle "Il était une fois..."
31/12/2019
Le vendredi 07 février à 19h à l’Auditorium du Centre culturel coréen situé au 20 rue la Boétie dans le 8e arrondissement vous pourrez assister à un spectacle de danse par la compagnie Goblin Party. Ce spectacle réunit sur sc&...
Lire l'articleLe vendredi 07 février à 19h à l’Auditorium du Centre culturel coréen situé au 20 rue la Boétie dans le 8e arrondissement vous pourrez assister à un spectacle de danse par la compagnie Goblin Party.
Ce spectacle réunit sur scène la musique et les costumes traditionnels de Corée, évoque la vie des nobles d’antan et les histoires issues des contes folkloriques, les déconstruit ensuite pour les reconstruire grâce à un imaginaire contemporain foisonnant. La création peut être assimilée à un rituel dédié aux ancêtres version danse contemporaine.
La danse est rythmée par les percussions, le chant et la déclamation sont les instruments mis au service du processus de réinterprétation.
La compagnie de danse coréenne Goblin Party est composée d’artistes qui sont à la fois danseurs et chorégraphes. Dans « Il était une fois… », tout en restant en communication permanente avec le public, ils explorent de nouveaux horizons et convoquent notamment les dokkaebi (ou goblins : esprits malins et facétieux faisant partie du folklore coréen) qui sont, selon la légende, le pouvoir d’ensorceler les gens et de leur jouer des tours.
La représentation qui se tiendra au Centre culturel est une première en France !
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Retour à la listeCULTUREL’étoffe des rêves de Lee Young-hee. Séoul-Paris
23/12/2019
Retrouvez au Musée Guimet l’exposition « L’étoffe des rêves de Lee Young-hee. Séoul-Paris » du 04 décembre 2019 jusqu’au 09 mars 2020 Considérée en Corée comme une des plus grandes créatrices de m...
Lire l'articleRetrouvez au Musée Guimet l’exposition « L’étoffe des rêves de Lee Young-hee. Séoul-Paris » du 04 décembre 2019 jusqu’au 09 mars 2020
Considérée en Corée comme une des plus grandes créatrices de mode, Lee Young-hee (1936-2018) a propulsé sur la scène internationale l’image d’une Corée moderne et décomplexée en remettant au goût du jour la tenue traditionnelle féminine du hanbok en le modernisant.
Lee Young-hee entame une carrière de couturière-styliste presque par hasard. Le vêtement coréen va rapidement devenir une passion qu’elle approfondit par des recherches historiques menées avec Seok Ju-seon, spécialiste reconnue de l’histoire du costume. Ensemble, elles s’attèlent à une minutieuse reconstitution de vêtements d’après les peintures des rouleaux dépeignant les cérémonies de cour de la fin de la période Jeoson (1392-1910). Les costumes des officiels et les costumes de cour de cette époque sont d’une extrême rareté. Lee Young-hee met en place un processus de « recréation » de ces pièces qui inclut la fabrication des soieries à l’identique, l’emploi de teinture naturelle, la couture et la broderie à la main ; son travail s’alimente également de la collection de ces précieuses pièces Jeoson – vêtements ou accessoires – qu’elle rassemble peu à peu tout au long de sa carrière.
En 1993 Lee Young-hee montre une collection de prêt-à-porter à Paris, et présente un défilé haute-couture l’année suivante. Ses « étoffes de vents et de songes » enchanteront les défilés haute-couture jusqu’en 2016 à Paris, ainsi qu’à New York. Elle explore tous les matériaux traditionnels (ramie, soie) tout en expérimentant des mélanges nouveaux (fibre de bananier et soie), jouant tour à tour des effets de transparences et de matières rugueuses, faisant de la combinaison traditionnelle (une ample robe s’élargissant sous la poitrine et un très court boléro noué de rubans), un vocabulaire versatile, librement et constamment réinventé.
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Retour à la listeCINÉMALa dernière Impératrice : Projection
16/12/2019
Le nouveau Centre culturel coréen fera la projection mercredi 18 septembre à 19h de la comédie musicale « La dernière Impératrice » filmée dans le cadre du projet « SAC on Screen » en 2015 ; un projet soutenu ...
Lire l'articleLe nouveau Centre culturel coréen fera la projection mercredi 18 septembre à 19h de la comédie musicale « La dernière Impératrice » filmée dans le cadre du projet « SAC on Screen » en 2015 ; un projet soutenu par le Ministère de la Culture, des Sports et du Tourisme ainsi que le Seoul Art Center.
Voici l’intrigue : « Printemps 1866, la Corée est déchirée entre les grandes puissances étrangères qui cherchent à en tirer un maximum de profits. L’Impératrice Myeongseong, épouse de l’Empereur Gojong, est une femme qui allie l’intelligence à la beauté. Le pays est à l’époque gouverné par le régent Daewongun, le père du roi. Mais, quand l’Impératrice se trouve enceinte et que se profile l’arrivée d’un héritier, elle suggère à son mari d’assumer lui-même le pouvoir. Daewongun est alors évincé et Gojong gouverne seul. Entre-temps, les Japonais – qui ambitionnent à partir de la péninsule coréenne de conquérir tout le continent asiatique -, décident d’assassiner Myeongseong car ils estiment qu’elle constitue le principal obstacle à leur projet colonial… »
Rendez-vous à l’auditorium du Centre culturel coréen situé au 20 rue La Boétie dans le 8ème arrondissement pour se plonger dans l’histoire de la Corée en chansons.
Pour plus d'informations consultez le site internet
Retour à la listeCULTURERituel chamanique des villages de pêcheurs
02/12/2019
Dans le cadre du 23e Festival de l’Imaginaire, la Maison des Cultures du Monde présentera le vendredi 06 décembre à 20h un rituel chamanique coréen relevant de la tradition confucéenne : le Donghaean byeolsingut. Une chamane accompagnée de quatre...
Lire l'articleDans le cadre du 23e Festival de l’Imaginaire, la Maison des Cultures du Monde présentera le vendredi 06 décembre à 20h un rituel chamanique coréen relevant de la tradition confucéenne : le Donghaean byeolsingut.
Une chamane accompagnée de quatre chanteurs / musiciens, dont Jo Jonghun, chanteur et percussionniste reconnu en Corée comme « Trésor national vivant », présentera ce rituel qui vise à associer le monde des esprits et celui des humains pour demander pêche abondante et protection des pêcheurs issus des villages de la côte est de la Corée du Sud.
La musique occupe une place centrale dans la réalisation de cette cérémonie. La structure rythmique complexe de l’accompagnement instrumental constitue l’une des particularités de ce rituel (gut) qui comprend des offrandes aux dieux, aux esprits et aux ancêtres. Un ensemble percussif composé généralement d’un tambour en forme de sablier (janggu), d’un large gong (jing) et de cymbales (bara) enchaîne différents rythmes sur de longs cycles invitant à la démonstration de la virtuosité et à la créativité dans une improvisation collective libre.
L’évènement se tiendra au Théâtre de l’Alliance Française :
101 Boulevard Raspail, 75006 Paris
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Retour à la listeCINEMADrama party VII : Back to School
25/11/2019
Cette année encore, Bonjour Corée vous invite à sa Drama Party ! Pour sa septième édition, Bonjour Corée ainsi que ses partenaires le Centre Culturel Coréen, Drama Passion et Gong TV diffuseront des dramas autour du thème “Back To School&...
Lire l'articleCette année encore, Bonjour Corée vous invite à sa Drama Party ! Pour sa septième édition, Bonjour Corée ainsi que ses partenaires le Centre Culturel Coréen, Drama Passion et Gong TV diffuseront des dramas autour du thème “Back To School” (retour à l’école) de la scolarité coréenne.
Pour 2019 une nouveauté au programme : la Drama Party se déroulera sur 2 jours ! Vous pourrez visionner les deux premiers épisodes de quatre dramas cette année et toujours sur grand écran. Ne manquez pas ce rendez-vous !
A l’affiche cette année :
Weightlifting Fairy Kim Bok Joo
The Heirs
Shut Up, Flower Boy Band
Who Are You, School 2015
Le samedi 30 novembre et dimanche 1er décembre 2019 - de 12h00 à 19h30
Nouveau Centre Culturel Coréen de Paris :
20 rue de la Boétie, 75008 Paris
(Métro: Miromesnil - ligne 13)
Tout au long de cette journée, on vous propose plein d’activités, des conférences, des jeux en relation avec le thème du jour et la culture coréenne. Mais aussi, comme chaque année, des cadeaux à gagner !
C’est le rendez-vous annuel des passionnés des dramas et de la culture coréenne à ne manquer sous aucun prétexte ; une belle journée d’échanges et de découvertes en perspective.
Suivez toutes les news de l’événement sur facebook. Le programme sera dévoilé prochainement, restez connectés !
ENTRÉE LIBRE, sans réservation et dans la limite des places disponibles.
Pour plus d'informations consultez le site internet
Retour à la listeINAUGURATIONOuverture du nouveau Centre Culturel Coréen
13/11/2019
Le centre culturel coréen déménage ! Auparavant installé historiquement au 2 avenue d'Iéna, vous retrouverez le nouveau centre culturel au 20 rue de la Boétie. Dans la volonté perpétuelle d'offrir le meilleur de la culture corée...
Lire l'articleLe centre culturel coréen déménage !
Auparavant installé historiquement au 2 avenue d'Iéna, vous retrouverez le nouveau centre culturel au 20 rue de la Boétie. Dans la volonté perpétuelle d'offrir le meilleur de la culture coréenne aux coréanophiles français, le changement de locaux a pour vocation à proposer un espace cinq fois plus grand et des équipements de plus en plus nombreux et pratiques.
Le centre actuel sera fermé dès le 15 novembre, et le nouveau ouvrira ses portes le 21 novembre de manière à assurer un service le plus continu possible.
Le centre culturel proposera donc dans ce nouvel espace de 3756 m2 un auditorium, deux espaces d'exposition, ue grande bibliothèque et des espaces pour les nombreux cours proposés : langue coréenne, cuisine etc.
Le centre culturel se situera dans le même bâtiment que l'office national du tourisme coréen, de quoi au passage vous reseigner sur les voyages en Corée avant d'en laisser l'organisation par EPS !
De quoi ravir les fans de la Corée, alors foncez visiter le nouveau CCC dès le 21 novembre !
Pour plus d'informations consultez le site internet
Retour à la listeFESTIVAL14e Festival du Film Coréen à Paris
16/10/2019
Le Festival du Film Coréen à Paris ( FFCP) revient cette année pour une 14e édition, se déroulant du 29 octobre au 5 novembre 2019, toujours au Publicis Cinémas, sur les Champs-Elysées à Paris. Vous retrouverez le meilleur du cinéma cor...
Lire l'articleLe Festival du Film Coréen à Paris ( FFCP) revient cette année pour une 14e édition, se déroulant du 29 octobre au 5 novembre 2019, toujours au Publicis Cinémas, sur les Champs-Elysées à Paris.
Vous retrouverez le meilleur du cinéma coréen de l'année, diffusé en version originale sous-titrée, pour votre plus grand plaisir, de la comédie, au thriller en passant par les films dramatiques, de quoi ravis tous les cinéphiles.
Evidemment, cette fois encore, vous aurez le plaisir de pouvoir rencontrer, lors de certaines séances, le réalisateur et/ou le(s) acteur(s) de certains des films projetés. Le FFCP aura l'immense joie d'accueillir l'acteur Song Kang-Ho, qui a joué le rôle épique du père de famille dans le film Parasite de Bong Joon-Ho, sorti cette année et primé au Festival de Cannes par la palme d'or, consécration ultime.
Cette année le film EXIT de Lee Sang-Geun ouvrira le festival, tandis que The House of Us de Yoo Ga-eun en assurera la clôture.
La billetterie ouvre en avant-première le 17 octobre à midi, et vous pourrez retrouver le programme du FFCP sur leur site officiel. Victime de son succès à chaque édition, commencez déjà à faire du repérage et si vous achetez sur place, prévoyez d'arriver en avance.
Festival du Film Coréen à Paris ( FFCP)
Du 29 octobre au 5 novembre 2019
Publicis Cinémas
129 avenue des Champs-Elysées
75009 Paris
Pour plus d'informations consultez le site internet
Retour à la listeFESTIVALFestival du Kimchi Coréen 2019
08/10/2019
A défaut de pouvoir partir en Corée, pourquoi ne pas venir goûter à un petit bout du pays ici à Paris, lors de la 3e édition du Festival du Kimchi Coréen ? Le Kimchi, ce célébrissime mets traditionnel qui accompagne tous les repas c...
Lire l'articleA défaut de pouvoir partir en Corée, pourquoi ne pas venir goûter à un petit bout du pays ici à Paris, lors de la 3e édition du Festival du Kimchi Coréen ?
Le Kimchi, ce célébrissime mets traditionnel qui accompagne tous les repas coréens s’invite donc pendant une journée sur le parvis de la mairie du XVe arrondissement de Paris.
Organisé par l’Association Mes Amis, le Festival du Kimchi Coréen met à l’honneur le « Kimjang » technique traditionnelle de préparation réaffirmant l’identité coréenne et la culture du partage inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO.
Pour celles et ceux qui ne connaissent pas encore le Kimchi, il s’agit d’un mets traditionnel coréen qui peut être réalisé à base de différents légumes (radis, choux, concombre …), le plus connu étant le Kimchi fait avec du chou. Celui-ci est présent sur toutes les tables coréennes et il est vraiment devenu aujourd’hui une icône emblématique de la cuisine de Corée voire de la culture coréenne dans son ensemble.
Au programme du festival : street food, musique traditionnelle, K-pop, vente de Kimchi, musée du Kimchi … et surtout atelier de préparation permettant aux amoureux de ce mets goûteux de devenir de véritables spécialistes.
Pour retrouver les senteurs et saveurs de la Corée, rendez-vous donc au Festival du Kimchi Coréen le 19 octobre 2019, sur le parvis de la mairie du XVe arrondissement de Paris ! Ambiance festive garantie !
Pour l’atelier de confection du Kimchi, inscription gratuite mais réservation préalable obligatoire.
Informations et contact : contactama17@gmail.com ou Facebook (@amafranceofficiel) ou Twitter (@ama_association) ou Instagram (@amafranceofficiel)
SAMEDI 19 OCTOBRE
PARVIS DE LA MAIRIE
DU 15e ARRONDISSEMENT
75015 PARIS
Jeudi 17 octobre, concours culinaire se déroulant en préambule au festival
Ce concours, organisé par l’Association Mes Amis en collaboration avec l’Institut le Cordon Bleu se fonde sur une seule exigence : présenter un plat original mettant en avant le Kimchi coréen (porc au kimchi, crêpes au kimchi, etc.). Les candidats pourront remporter de nombreux prix dont des billets d’avion AR Paris-Séoul.
Pour toute information complémentaire,
consulter la page Facebook de l’Association Mes Amis
Pour plus d'informations consultez le site internet
Retour à la listeFESTIVAL4e Festival Coréen du XVe
24/09/2019
Pour sa 4e édition, le festival coréen du XVe arrondissement vous donne rendez-vous sur le parvis de la Mairie le 28 septembre de 12h à 19h30. Une programmation riche vous y attend : spectacles de danses, d'arts martiaux, de chant, diffusion d'un court -métrage, et expos...
Lire l'articlePour sa 4e édition, le festival coréen du XVe arrondissement vous donne rendez-vous sur le parvis de la Mairie le 28 septembre de 12h à 19h30.
Une programmation riche vous y attend : spectacles de danses, d'arts martiaux, de chant, diffusion d'un court -métrage, et exposition, tout est fait pour vous plaire.
Voici la programmation officielle :
-Jultagi :Le Jultagi est un spectacle traditionnel de funambulisme sur une corde raide en Corée existant depuis la période Goryeo(918-1392). « Le Jultagi, marche sur corde raide » a été inscrit en 2011 par l'UNESCO sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité.
-Taekwondo : Démonstration de Taekwondo, le plus célèbre des arts martiaux coréens, par Maître WOO Juntae,
-Bashibang :Baeshi Bang (prononcer Béchi Bang) est un quintet atypique qui propose une relecture exclusive du répertoire de Bae Ho, célèbre chanteur coréen des années soixante.
-Vilma Pitrinaite : Vilma Pitrinaite travaille au sein de « Aura », la plus importante compagnie de danse contemporaine en Lituanie. Alors que les Miss Corée sont davantage célébrées pour leur beauté stéréotypées et leur silence, ce personnage incarné par une danseuse lituanienne échappe à l`image de poupée et se met à la recherche d`une beauté coréenne simple et épurée.
-Concours de K-pop : Sur candidature, concours amateur de danse et de chant sur scène avec prix en jeu.
-Yamataga Tweakster : Figure de l’underground coréen, Yamagata Tweakster est un performer légendaire et fantasque ! Adepte des costumes colorés et des chorégraphies suggestives, il enchaîne les prestations dans la rue et les concerts sur scène avec la même générosité et le même sens du show.
-Portrait : Description à venir
Et en plus :
-Diffusion du court métrage " Suippes Matin Calme" : Voilà un siècle que la diaspora coréenne s’est implantée en France. Comment deux cultures a priori si différentes se sont elles côtoyées, envisagées, rêvées mutuellement? Croisant les regards et connectant les époques, « Suippes matin calme » est un film aussi documenté que fantasmé sur un dialogue séculaire.
Vous trouverez de nombreux stands de K-food afin de ravir vos papilles des saveurs exquises et remplir vos estomacs en appétit.
Mais surtout rendez-vous au premier étage pour nous rencontrer :)
Festival Coréen du XVe ( 4e édition)
Parvis de la mairie du XVe arrondissement
31 rue Péclet
75015 PARIS
Pour plus d'informations consultez le site internet
Retour à la listeGASTRONOMIELe Food Market édition spéciale Corée
09/09/2019
À l’occasion de « Chuseok », véritable Thanksgiving coréen, l’équipe du Food Market s’associe à Hyeseon Jeong et Bora Nam de l’épicerie pop up et plateforme média In Another Country pour nous proposer un menu 100% c...
Lire l'articleÀ l’occasion de « Chuseok », véritable Thanksgiving coréen, l’équipe du Food Market s’associe à Hyeseon Jeong et Bora Nam de l’épicerie pop up et plateforme média In Another Country pour nous proposer un menu 100% coréen sur le Boulevard de Belleville !
Bimbimbap, Kimchi, Mandu, Dac Bulgogi, Tteokbokki, Kimbap, Hoteok, si vous n'êtes pas encore adeptes ou initiés à la cuisine coréenne, qu'il s'agisse de ses grands classiques, sa streetfood ou de la cuisine du temple et les spécialités de la Corée du Nord, Jeudi 12 Septembre vous allez le devenir en découvrant toutes ses facettes.
C’est une sélection des 15 meilleurs restaurateurs coréens de la capitale qui rempliront les étals de leurs spécialités et les rendront accessibles à tous pour moins de 10€ sur le marché!
In Another Country tiendra d’ailleurs ce soir là un stand qui proposera des produits d’épicerie fine coréens ainsi que les plats d’ Esu Lee, le talentueux chef du restaurant C.A.M , célébré pour savoir allier à merveille créativité et recettes traditionelles.
Hero et son poulet frit, Mandoobar et ses mandoos, Pierre Sang Boyer et son bimbimbap, Bueok et son jeon (galettes coréennes), Seoul Mama et ses kimchi balls, Bekseju Village et son bekse bossam (poitrine de porc cuite au bekseju), Comptoir Coréenet son dac bulgogi (poulet sauté au soja) , DOMA et ses teokppoki , DASO Restaurant Coréen et ses kimbap (makis coréens), Sobane et ses barbecues coréens, Bap-Sain et son gangjeong aux crevettes (crevettes frites recouvertes de sauce aigre-douce), Yido et son sundae (boudin coréen), Boulangerie Hong et ses songpyeons (gâteaux de riz aux sésames), la liste fait déjà rêver et le menu complet sera annoncé à la rentrée!
Rendez-vous le Jeudi 12 Septembre de 18h à 22h30, toujours sur le Boulevard de Belleville pour fêter Chuseok et s’adoucir la rentrée baguettes en main !
Le Food Market
11 Boulevard de BellevilleParis, Île-de-France, 75011France
Event : https://www.facebook.com/events/2377664212555464/
Pour plus d'informations consultez le site internet
Retour à la listeFESTIVALK-Street FOOD Festival à Paris
02/08/2019
L'association Primetime vous invite pour la rentrée à (re)découvrir la cuisine coréenne de rue. Elle est déjà à l'origine du festival « K-Beauty Event » qui avait été organisé au sein de la mairie du XVe arr...
Lire l'articleL'association Primetime vous invite pour la rentrée à (re)découvrir la cuisine coréenne de rue.
Elle est déjà à l'origine du festival « K-Beauty Event » qui avait été organisé au sein de la mairie du XVe arrondissement de Paris les 4 et 5 mai dernier.
Fort de ce succès l'association remet le couvert cette fois-ci dans le domaine de la gastronomie coréenne afin d'initier tous les fins palais à cette cuisine unique par ses saveurs, pour des repas sur le pouce.
Présentation de l'évènement faite par l'association Primetime :
"UNE EXPLORATION CULINAIRE À LA DÉCOUVERTE D’UNE GASTRONOMIE UNIQUE, RICHE ET ORIGINALE DANS LA MAGNIFIQUE SERRE DU PARC ANDRÉ-CITROËN.
Favorisant l’esprit de partage et de découverte et en partenariat avec la Mairie du 15e arrondissement de Paris ainsi que KOREA NOW, nous souhaitons profiter de la convivialité qu’offre l’été et le beau temps pour mettre en place notre 2e événement qui portera sur la K-Food, qui se tiendra dans la prestigieuse serre du Parc André-Citroën, le weekend du 7 et 8 septembre 2019. En effet, depuis peu de temps, la gastronomie coréenne (Hansik) a le vent en poupe, comme en témoignent l’engouement grandissant pour ses plats riches et équilibrés dont l'avantage est de pouvoir alterner les goûts de façon libre et souvent créative. Dans l’air du temps, nous vous invitons à explorer ce monde de saveurs, de couleurs et de textures uniques lors de la première édition de notre événement K-Street Food Festival dans lequel nous aspirons à présenter une vingtaine de stands. Il s’agit donc de faire découvrir la nourriture coréenne dans une ambiance chaleureuse et amicale tout en proposant des activités culturelles et attractives qui puissent apporter une véritable dynamique à notre événement.
De plus, face à la crise environnementale due au dérèglement climatique et aux inégalités qui touchent le monde, l’association Primetime souhaite participer à la construction d’un monde meilleur. C’est pourquoi nous avons décidé pour cet événement de verser une partie de nos bénéfices à deux œuvres caritatives qui nous tiennent à coeur, l'une luttant pour l’accès à la nourriture et la seconde à la protection de l’environnement : l’association Action Contre La Faim ainsi que l’association NOÉ, favorisant la protection de la biodiversité.
NOUS ESPÉRONS VOUS VOIR NOMBREUX EN SEPTEMBRE! À TRÈS BIENTÔT!
PRIMETIME"
Informations pratiques :
Samedi 7 et dimanche 8 septembre
Parc André Citroën
2 rue Cauchy
75015 Paris
Pour plus d'informations consultez le site internet
Retour à la listeCONCERT“A Sign of Rain” Concert de la percussionniste Kim Sora
17/07/2019
Dans le cadre du cycle « 20 Boétie » Percussions traditionnelles coréennes : Kim Sora et Hyun Seung-hun Gayageum (cithare coréenne) : Lim Ji-hye Piri (petite flûte coréenne en bambou) : Lee Hye-joong ’’Le janggu, tambour coréen tra...
Lire l'articleDans le cadre du cycle « 20 Boétie »
Percussions traditionnelles coréennes : Kim Sora et Hyun Seung-hun
Gayageum (cithare coréenne) : Lim Ji-hye
Piri (petite flûte coréenne en bambou) : Lee Hye-joong
’’Le janggu, tambour coréen traditionnel à deux faces, est un instrument de musique particulier qui tente de capturer le son des gouttes de pluie en faisant appel aux sens de la vision, de l’audition et du toucher. C’est une projection de moi-même, essayant de retrouver le flux perdu et le sens de la nature à travers le son de la pluie dont chaque goutte me rappelle l’ordinaire du quotidien.’’ - Kim Sora
Percussionniste, compositrice et ambassadrice de la musique traditionnelle populaire de la province de Jeongeup (classée Patrimoine national intangible), Kim Sora fait partie des joueuses de janggu (tambour coréen en forme de sablier) les plus douées et les plus remarquables de Corée. Elle est connue pour ses innovations instrumentales et scénographiques, mêlant les sonorités et les rythmes coréens traditionnels et les réinterprétant de façon moderne et créative.
Kim Sora a fait son apprentissage auprès de Yu Ji-hwa, considérée en Corée comme « Trésor national vivant ». Depuis 2005, la percussionniste a décroché huit premiers prix aux principaux concours nationaux de sa discipline : Concours National de Maîtrise du Nongak (musique rurale), Concours National de Nongak du Gyeonggi, Festival Coréen de Musique Traditionnelle des Femmes, Festival International « Sori » de Jeonju…
Afin de mieux faire connaître dans le monde la richesse rythmique de la musique coréenne, la percussionniste parcourt chaque année le globe et noue avec appétence des collaborations expérimentales avec d’autres artistes et d’autres genres musicaux. Ce faisant, Kim Sora est particulièrement innovante et n’hésite pas parfois à déconstruire les rythmes traditionnels. Ses concerts sont en tout cas toujours captivants et porteurs d’un souffle nouveau.
Lors des Korean Music Awards 2019, son dernier album « A Sign of Rain » a été reconnu comme l’un des meilleurs crossover mêlant jazz et musique traditionnelle
Spectacle actuellement en tournée européenne.
Entrée libre sur réservation : https://centreculturelcoreen.mapado.com/
Vendredi 26 juillet 2019 à 19h
CENTRE CULTUREL COREEN
2 avenue d’Iéna
75116 Paris
Pour plus d'informations consultez le site internet
Retour à la listeFESTIVALCorea Spirit Festival by Jinro Soju
26/06/2019
☆ Corea Spirit Festival 2019 ☆ 2ème édition du Festival de "K-culture" à Paris ! ★ ÉVÉNEMENT 100% GRATUIT ★ K-Pop performances, Dj Sets, dégustations gratuites de boissons et alcools coréens*, K-Food, atelier make-up et K-beauty...
Lire l'article☆ Corea Spirit Festival 2019 ☆
2ème édition du Festival de "K-culture" à Paris !
★ ÉVÉNEMENT 100% GRATUIT ★
K-Pop performances, Dj Sets, dégustations gratuites de boissons et alcools coréens*, K-Food, atelier make-up et K-beauty, Karao-K-Pop...
■ LINE-UP & PROGRAMME ■
_________________________________________
? OPEN SOJU BAR
• 18h-2h : Dégustation gratuite de soju et alcools coréens by Hite Beer & Jinro Soju
? KOREAN FOOD
• 18h-21h : Snacking coréen
? DJ SETS
• 18h-21h : Dj Wars / Influences K-pop & Hip-Hop
(? https://www.youtube.com/watch?v=ZZoJOdd623Q )
• 21h-02h : Grace Kim / Special guest
"LA" DJ Internationale Franco-Coréenne pour un set exclusif House/Tech-House
(? https://soundcloud.com/grace-kim)
K-POP SHOW
• 18h-20h : Flashmob et démos de Risin' Crew, le collectif le plus programmé en France !
? KARAO-K-POP
• 22h-02h : Exercez vos talents de chanteurs façon "Noraebang"
? K-BEAUTY BAR
• 18h-22h : Make-up bar et mise en beauté gratuite par Mi-rê Beauté à la Perfection
INSTACORNERS
• Prenez-vous en selfie sans limites pendant toute la soirée dans nos instacorners avec le hashtag #JinroSoju pour tenter de gagner des cadeaux exceptionnels :
? Un voyage à Séoul pour 2 (2 billets d'avion + guided tour + dîner sur place)
? 2 places pour le concert de MONSTA X (몬스타엑스) le 6 Juillet à Paris
? Des déjeuners dans les restaurants coréens partenaires de Corea Spirit
? Des goodies bags offert par Jinro Soju
?INFORMATIONS PRATIQUES ?:
• Samedi 29 Juin de 18h à 2h
•52 Rue des Vinaigriers, 75010 Paris?"Corea Spirit Popup Store" (La Fabrique Événementielle)
• ACCÈS : ? Station Jacques Bonsergent, Château D'eau, Gare de l'Est, Goncourt/Hôpital Saint-Louis (ligne 4, 5, 7, 11)
• Évènement RÉSERVÉ AUX PERSONNES MAJEURES. (Interdit aux mineurs même accompagnés) ?
• La capacité du lieu étant limitée et pour des raisons de sécurité, l'organisation se réserve le droit de refuser l'entrée dans les lieux, même au personnes munies d'invitations gratuites.
• Dans un souci de prévention et de sensibilisation, Corea Spirit prône une approche responsable de la consommation d'alcool. L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération. L'organisation se réserve le droit d'entrée et l'exclusion si le comportement n'est pas adéquat.
• Dégustation de boissons coréennes (Sojus
< 18° et bières) uniquement destinées à de la distribution gratuite en petites quantités et à la découverte des produits traditionnels de la marque HiteJinro dans le cadre d'un évènement culturel. Snacks et nourriture servis gracieusement avec chaque verre dans la limite des quantités disponibles.
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★ PARTENAIRES ★
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Production : Agence La 5ème Etape Paris - Communication & Brand Content Lifestyle
Sponsor officiel : Hite Beer & Jinro Soju
Partenaires : Grace Kim / Dj Wars / Risin' Crew / Comptoir Coréen / Bekseju Village
Pour plus d'informations consultez le site internet
Retour à la listeCONCERTBTS en concert au Stade de France
05/06/2019
Pour la "BTS Army" française, l'attente touche presque à sa fin. Quelques jours avant les deux concerts événement au Stade de France, à Paris, du groupe de K-Pop sud-coréen, il ne reste que très peu de place. Les derniers tickets disponibles sont en v...
Lire l'articlePour la "BTS Army" française, l'attente touche presque à sa fin. Quelques jours avant les deux concerts événement au Stade de France, à Paris, du groupe de K-Pop sud-coréen, il ne reste que très peu de place. Les derniers tickets disponibles sont en vente sur le site du Stade de France. En revanche, les vendredi 7 et samedi 8 juin affichent complets dans tous les autres points de vente habituels. Un engouement prévisible, si l'on tient compte de l'impressionnante popularité acquise par les sept membres de BTS en France.
L'attente des fans n'aura été que décuplée par la sortie du dernier album du boys-band, "Map Of The Soul : Persona", sorti le vendredi 12 avril 2019. Comme à leur habitude, les Sud-Coréens ont enchaîné les records d'écoutes en streaming et les millions de vues sur YouTube pour leurs clips, notamment celui de "Boy With Luv", en duo avec la chanteuse Halsey, qui a été visionné plus de 70 millions de fois en 24 heures sur la plateforme de vidéos (et dépasse les 348 millions à l'heure où nous écrivons ces lignes). Nul doute que les deux concerts de BTS au Stade de France seront l'événement de ce début du mois de juin.
BTS, figure de proue de la K-Pop en France
S'il y a quelques années, la K-Pop était quelque peu inconnue en France, depuis l'arrivée (entre autres) du groupe BTS, difficile de passer à côté de ce style de musique tout droit venu de Corée-du-Sud. Entre pop et électro, le genre est apparu dans la seconde moitié du XXe siècle, résultat d'une fusion des cultures occidentales et asiatiques. Depuis ses débuts en Corée-du-Sud, petit à petit, la K-Pop a gagné le monde entier, surtout chez les jeunes, particulièrement grâce à une force de frappe incroyable sur les réseaux sociaux. En plus de son style musical particulier, la K-Pop se distingue également par son identité visuelle. L'institut National de l'Audiovisuel résumait d'ailleurs le genre comme étant "une musique de synthèse accompagnée de chorégraphies calibrées au millimètre, portée par des chanteurs séduisants, à la pointe de la mode".
BTS en concert à Paris
BTS n'aura au aucun mal à remplir deux Stade de France, ce qui est déjà loin d'être donné à tous les artistes, Français ou non. En quelques mois, la formation de K-Pop sud-coréenne est devenu le phénomène musical planétaire, déchaînant les foules aux quatre coins du monde. Leur dernier concert en France remonte au 20 octobre 2018, quand le groupe BTS avait enflammé l'AccorHotels Arena de Paris. Avant cette date attendue au Stade de France, un pop-up store ouvre ses portes à Paris, du 4 au 10 juin. Cette année, les Sud-coréens ne s'arrêtent pas en si bon chemin. Leur nouvelle tournée, "Speak Yourself", les mène des États-Unis au Japon en passant par le Brésil ou l'Angleterre. BTS est d'ailleurs devenu le premier groupe sud-coréen à jouer à guichets fermés deux soirs de suite au stade de Wembley, en Angleterre.
En quelques mois, BTS est devenu un phénomène mondial. Le groupe de K-Pop sud-coréen a dévoilé Map Of The Soul : Persona, son nouvel album, vendredi 12 avril 2019. Depuis, les sept membres de la formation enchaînent les records. Le même jour, ils avaient dévoilé le clip de "Boy With Luv", en duo avec la chanteuse Halsey. Sur YouTube, depuis vendredi, la vidéo totalise plus de 140 millions de vues (après avoir dépassé les 70 millions en 24 heures), dépassant ainsi les précédents records détenus précédemment par Ariana Grande et Blackpink.
Avant sa sortie, 2,6 millions de copies de l'opus Map Of The Soul : Persona avaient déjà été précommandés. Une fois en ligne, l'album s'est hissé directement au sommet des charts mondiaux, y compris en France. Samedi dernier, au lendemain de la sortie de leurs sept titres inédits, les membres de BTS ont été invités à participer au célèbre talk-show américain, l'émission Saturday Night Live, concrétisant un peu plus leur popularité aux quatre coins de la planète.
Dès la mise en ligne du nouvel album du groupe de K-Pop, Twitter s'est enflammé, commentant en masse chacun des sept morceaux de l'album Map of the Soul : Persona, décrit par les artistes comme "une ode au passé du groupe, tout en montrant leur maturité et leur nouvelle compréhension de l'amour et du vaste monde qui les entoure. Les chansons ont un message clair : trouver de la joie dans l'amour et s'ouvrir au monde", est-il expliqué dans un communiqué relayé notamment par Billboard. Dans les sept titres de Map of the Soul : Persona, on retrouve plusieurs titres annoncés par le boys-band, notamment "Make it Right", en duo avec le célèbre chanteur Ed Sheeran, et "Boy With Luv" avec Halsey, dont le clip cartonne sur YouTube.
Pour plus d'informations consultez le site internet
Retour à la listeFESTIVAL7e Printemps coréen de Nantes
15/05/2019
Le festival Printemps Coréen est un événement culturel à but non lucratif qui a pour objectif de promouvoir la culture coréenne en France, contribuer à l’amitié entre la France et la Corée et accroître la compréhension r&eacu...
Lire l'articleLe festival Printemps Coréen est un événement culturel à but non lucratif qui a pour objectif de promouvoir la culture coréenne en France, contribuer à l’amitié entre la France et la Corée et accroître la compréhension réciproque de nos cultures. Cet événement permet de découvrir à la fois la tradition et la modernité de la Corée sous tous ses aspects culturels (musique, arts plastiques, cinéma, littérature, bande dessinée, cuisine) en organisant des concerts, des performances, des expositions, des ateliers, des résidences artistiques, des conférences, etc.
Basé à Nantes, le festival tend à devenir une plateforme culturelle entre l’Europe et l’Asie et à développer des projets à long terme au delà de projets événementiels.
C’est l’association Printemps coréen qui co-organise avec le Centre Culturel Coréen à Paris et le collectif Noridan Inc. de Séoul, le festival Printemps Coréen depuis 2013 . L’association propose chaque année ce temps fort au mois de mai ou de juin dans des théâtres, des lieux culturels ou encore des espaces publics tels que les rues et les jardins de la ville de Nantes.
Printemps coréen a souhaité que ce festival traverse la Corée de la tradition à la modernité tout en se projetant vers le futur. Nous attachons une forte importance à la collaboration entre artistes coréens et français en créant des rencontres et des résidences. Enfin, notre ambition est aussi d’assurer la connexion des artistes coréens au monde artistique européen, de présenter leur travail en Europe et de partager les contenus de notre festival avec d’autres festivals de Corée du Sud.
Cette année il a lieu du 16 mai au 2 juin 2019.
Pour plus d'informations consultez le site internet
Retour à la listeFESTIVALKOREA DAY à Lyon
25/04/2019
La Korea Days est un festival ayant pour but de promouvoir la culture coréenne à Lyon. Elle revient pour une 4e édition, du 11 au 12 mai 2019 après 3 éditions précédentes couronnées de succès ! —————&m...
Lire l'articleLa Korea Days est un festival ayant pour but de promouvoir la culture coréenne à Lyon.
Elle revient pour une 4e édition, du 11 au 12 mai 2019 après 3 éditions précédentes couronnées de succès !
——————– INFORMATIONS GÉNÉRALES ——————-
KOREA DAYS 4
Samedi 11 mai 11h00 à 19h00
DImanche 12 mai 10h30 à 18h30
Salle de la Ficelle – Lyon 4ème / 2 étages de plaisir et de découvertes !
——————————- LE PROGRAMME —————————-
BOUTIQUE
>>> Goodies k-pop, CD, bijoux, accessoires, etc.
RESTAURATION
>>> Nourriture coréenne, bubble tea.
SHOW
>>> Spectacle de danse kpop, taekwondo, hapkido, percussions coréennes, etc.
ASSOCIATION
>>> tourisme, DIY, mode, culture traditionnelle, arts martiaux, etc.
CORNER YOUTUBE
>>> De nombreux Youtubers seront présents.
CONCOURS
>>> Concours de chant coréen, danse kpop (cover et création) et Cosplay (pour la première fois).
——————————- LES CONCOURS —————————-
Cette année, nous allons proposer quatre concours :
Concours de danse kpop cover
Concours de danse kpop création
Concours de chant coréen
Vous retrouverez l’ensemble des conditions d’inscriptions sur le site Internet www.koreaday.fr à partir du 18 janvier.
——————————– LES INVITES ——————————
De nombreux invités seront présents et nous vous communiquerons la liste au fur et à mesure du temps !
————————— VENIR AU KOREA DAY —————-i——–
Venir en voiture : 65 boulevard des Canuts – 69004 Lyon (un parking est disponible)
Venir en métro : Métro C arrêt “Hénon” (il dépose juste devant la salle).
Pour plus d'informations consultez le site internet
Retour à la listeFESTIVALJournée de la Corée à lINALCO ( 2019)
03/04/2019
À l'occasion de l’arrivée du printemps, l'association Saeho a l'honneur de vous inviter à la Journée de la Corée, le mardi 16 avril 2019 de 9hà 17h à l'INALCO ! ??? À travers cette journée, nous vous proposons de découvrir...
Lire l'articleÀ l'occasion de l’arrivée du printemps, l'association Saeho a l'honneur de vous inviter à la Journée de la Corée, le mardi 16 avril 2019 de 9hà 17h à l'INALCO ! ???
À travers cette journée, nous vous proposons de découvrir ou redécouvrir la culture coréenne via plusieurs activités et stands au 2e étage de l'Inalco ! Petit teasing de ce que vous pourrez découvrir le 16 avril : stands de cosmétiques coréens, stands de livres... ??
De plus, l'association propoera une vente de mets coréens de manière continue de 11h à 15h !
Mais ce n'est pas tout ! Plusieurs animations se dérouleront tout au long de la journée dans l'auditorium de l'Inalco, le programme sera bientôt disponible mais sachez d'ores et déjà que vous en prendrez plein la vue et plein les oreilles !
S’ajoutant à cela, la possibilité de participer à une tombola et de laisser au passage un petit mot afin de commémorer tous ensemble le naufrage du Sewol qui a lieu ce même jour.
La journée étant banalisée en cet événement spécial, nous vous attendons très nombreux dans le hall du 2e étage et à l'auditorium de l'Inalco le mardi 16 avril à partir de 10h ! ???
EPS y tiendra un stand et sera à votre disposition pour échanger autour de la Corée :)
INALCO
2e étage
65 rue des Grands Moulins
75013 Paris
Métro : Bibliothèque François Miterrand
Pour plus d'informations consultez le site internet
Retour à la listeCONCERTConcert chant et haegeum de Lee Som « En route vers la mer d’Indang »
13/03/2019
La création de Lee Som se fonde sur le « Dit de Shim Chung », l’histoire d’une orpheline de mère qui se sacrifie pour sauver son père aveugle et qui va remuer ciel et terre afin qu’il puisse recouvrer la vue. Il s’agit probablement du ré...
Lire l'articleLa création de Lee Som se fonde sur le « Dit de Shim Chung », l’histoire d’une orpheline de mère qui se sacrifie pour sauver son père aveugle et qui va remuer ciel et terre afin qu’il puisse recouvrer la vue. Il s’agit probablement du récit coréen le plus emblématique de la piété filiale. En Corée, où les valeurs familiales sont profondément ancrées, cette forme de dévouement et d’abnégation envers ses parents se réfère au “Hyodo” (respect des aînés) et est considérée comme une grande vertu.
Haegeum Byeongchang désigne un genre dans lequel l’interprète chante en s’accompagnant elle-même au haegeum. Il s’agit d’un genre ancien qui n’est plus tellement pratiqué en Corée de nos jours. La pièce commence par l’intervention du narrateur qui raconte d’abord l’histoire de Shim Chung. Puis, c’est l’entrée en piste de Lee Som qui commence à chanter en s’accompagnant au haegeum, soutenue par un percussionniste. Cette pièce, qui est sa première création, a remporté en Corée un grand succès et y a été jouée maintes fois : Centre de la Culture traditionnelle, Musée national d’Art folklorique, Centre Gugak de Séoul Donhwamun, etc.
Entrée libre mais réservation préalable requise sur www.coree-culture.org
15 mars 2019 à 19h
Centre Culturel Coréen
2 Avenue d’Iéna 75116 Paris
Pour plus d'informations consultez le site internet
Retour à la listeDOCUMENTAIRE Documentaire "Corée du Sud, coutumes au présent" de Pierre Brouwers
26/02/2019
Documentaire de 52 minutes réalisé par Pierre Brouwers.Beaucoup moins connu que ses voisins chinois et japonais, ce petit pays n'est pourtant pas en reste en matière de dynamisme et de développement. Le « pays du matin calme » est riche de palais, de temples, ...
Lire l'articleDocumentaire de 52 minutes réalisé par Pierre Brouwers.
Beaucoup moins connu que ses voisins chinois et japonais, ce petit pays n'est pourtant pas en reste en matière de dynamisme et de développement. Le « pays du matin calme » est riche de palais, de temples, de villages historiques, mais aussi d’une fulgurante croissance économique. Il n'a pas pour autant oublié son identité et les traditions y cohabitent avec une haute technologie de plus en plus présente. Des parcs nationaux préservent certains des plus beaux paysages de la péninsule. Grâce à son histoire, ses traditions et sa géographie, la Corée du Sud recèle bien des trésors que Pierre Brouwers vous fait découvrir en dressant le portrait fidèle d’un pays extrêmement attachant.
Diffusions prévues :
-Lundi 4 mars 2019 à 16h35 sur France 5
-Samedi 9 mars 2019 à 13h15 sur France 5
Pour plus d'informations consultez le site internet
Retour à la listeSPECTACLE« North Korea Dance » par la chorégraphe Eun-Me Ahn 19
13/02/2019
Les échanges entre les deux Corées reprennent, et la chorégraphe Eun-Me Ahn a déjà une longueur d’avance. Une artiste pur jus car toujours décalée, mais en plein dans le mille ! Elle porte naturellement un message optimiste et partageur su...
Lire l'articleLes échanges entre les deux Corées reprennent, et la chorégraphe Eun-Me Ahn a déjà une longueur d’avance. Une artiste pur jus car toujours décalée, mais en plein dans le mille !
Elle porte naturellement un message optimiste et partageur sur l’art et la vie, le savant et le populaire, le classique et le traditionnel. Cette courroie de transmission magique est la chorégraphe sud-coréenne Eun-Me Ahn repérée en France en 2013, dont le geste artistique nourri des codes les plus variés – de la danse libre d’Isadora Duncan jusqu’aux pratiques chamaniques – soutient des spectacles tous aussi aventureux les uns que les autres.
Pour sa nouvelle pièce North Korea Dance, cette tête chercheuse, qui aime se poster au carrefour de la danse et de la société, s’est plongé dans des vidéos de ballets exécutés en Corée du Nord pour à la fois connaître un peu mieux ses compatriotes mais aussi questionner l’évolution d’un art lorsqu’il est soumis depuis plus de 60 ans à un régime politique dictatorial. Une problématique passionnante à laquelle Eun-Me Ahn devrait apporter un lot d’images paradoxales. Avec un désir secret glissé entre les mouvements : « Tous les citoyens espèrent la paix entre les deux pays. Peut-être qu’aujourd’hui, le temps est venu d’essayer de nous connaître mieux. »
Crédits : Jeanne Liger
Chorégraphie, direction artistique, costumes et scénographie / Eun-Me Ahn
Avec / Eun-Me Ahn, Jihye Ha, Hyekyoung Kim, Jeeyeun Kim, Eisul Lee, Donghun Go, Youngmin Jung, Seunghae Kim, Hyunwoo Nam, Sihan Park, Jooyoung Shim
Musique / Young-Gyu Jang
Création lumières / Jin-Young Jang
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Réservations au 01 42 74 22 77 ou sur www.theatredelaville-paris.com
Du 19 au 23 février 2019 à 20h
THÉÂTRE DES ABBESSES
31, Rue des Abbesses
75018 Paris
Pour plus d'informations consultez le site internet
Retour à la listeFESTIVAL25e Festival International des Cinémas d’Asie de Vesoul
01/02/2019
Le Festival International des Cinémas d’Asie de Vesoul, le plus important et le plus populaire des festivals français de cinéma asiatique, vient de voir ses cofondateurs, Martine et Jean-Marc Thérouanne, recevoir le Korean Cinema Award lors de l’ouverture du 2...
Lire l'articleLe Festival International des Cinémas d’Asie de Vesoul, le plus important et le plus populaire des festivals français de cinéma asiatique, vient de voir ses cofondateurs, Martine et Jean-Marc Thérouanne, recevoir le Korean Cinema Award lors de l’ouverture du 23e Festival International du Film de Busan, scellant une amitié vieille d’un quart de siècle avec le cinéma coréen.
Depuis l’origine du FICA de Vesoul, ce sont 600,000 spectateurs (dont 32,500 lors de sa dernière édition en 2018) qui ont pu voir et apprécier les œuvres cinématographiques du pays du Matin calme.
Pour sa 25e édition, le FICA de Vesoul aura parmi les membres de son Jury international le célèbre réalisateur coréen Bae Chang-ho (Le Rêve, Gens de bidonville, Hwang Jin-hee…). Par ailleurs, le festival a sélectionné cette année plusieurs films coréens, répartis dans ses différentes sections.
En compétition, pour concourir pour le prestigieux Cyclo d’or, a été sélectionné Sub-zero Wind de la réalisatrice Kim Yuri, présenté en première internationale.
Dans la section thématique « Couples d’Asie », sera projeté le délicat One Fine Spring Day de Hur Jin-ho, réalisateur connu pour la finesse de sa connaissance de l’âme humaine et la subtile analyse des sentiments entre les êtres. Ce film est inédit dans les salles françaises.
Dans « La Carte blanche de nos 25 ans » seront présentés deux films culte de l’histoire du cinéma de Corée : La Servante de Kim Ki-young (1960) considéré par la critique comme le film choc et fondateur du cinéma coréen, et La mère porteuse d’Im Kwon-taek, film qui fit connaître ce cinéma dans le monde entier et qui valut en 1987 à la grande dame du cinéma coréen, l’actrice Kang Soo-yeon, la Coupe Volpi pour la meilleure interprétation féminine à la Mostra de Venise.
Le Catalogue papier du festival sortira le 15 janvier et sera également en ligne à partir de cette même date.
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Renseignements sur le programme, les lieux et horaires du Festival International des Cinémas d’Asie de Vesoul, festival.vesoul@wanadoo.fr – www.cinemas-asie.com
06 84 84 87 46 / 07 82 12 09 86 / 06 12 94 12 73
Du 5 au 12 février 2019
FESTIVAL INTERNATIONAL DES CINÉMAS D’ASIE – FICA
25 rue du Docteur-Doillon
70000 Vesoul
Pour plus d'informations consultez le site internet
Retour à la listeCONFERENCEPrésentation du coffret « Manger et Boire cent façons » par Benjamin Joinau
22/01/2019
Benjamin Joinau présente le coffret « Manger et Boire cent façons » qu’il a dirigé aux éditions de l’Atelier des Cahiers et publié en novembre 2018. Ce coffret réunit deux volumes de la collection « La Corée cent fa&ccedi...
Lire l'articleBenjamin Joinau présente le coffret « Manger et Boire cent façons » qu’il a dirigé aux éditions de l’Atelier des Cahiers et publié en novembre 2018. Ce coffret réunit deux volumes de la collection « La Corée cent façons » qui présente la culture coréenne par ses textes. Ces deux volumes, Boire (2018) et Manger (2016), présentent l’art de la table et de la boisson au Pays du Matin calme, mais en donnant la parole aux écrivains coréens.
Est-il besoin de rappeler que la gastronomie est la porte d’entrée royale vers toute culture ? Au-delà du kimchi et du bibimbap popularisés par la Vague coréenne, les écrivains coréens d’hier et d’aujourd’hui vous entraînent à la découverte de ce monde de saveurs, de pratiques, de sensations et de sentiments qui dessinent la carte gourmande de la K-food. De plus, la boisson partagée - l’alcool, mais aussi le thé ou le café - occupe une place primordiale dans la sociabilité en Corée. C’est autour d’un verre que les langues se délient et que certaines vérités sont dites, découvrant ainsi cent autres façons de la Corée.
Laissez-vous enivrer par ces textes savoureux, comiques et émouvants faisant ressortir la spécificité de la gastronomie coréenne, à consommer sans modération !
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Benjamin Joinau est chercheur associé au Centre de recherche sur la Corée (CRC) de l’EHESS et maître de conférence à l’université Hongik à Séoul. En tant qu’anthropologue culturel, il s’est intéressé à la cuisine coréenne. En plus d’articles nombreux sur le sujet, il a animé l’émission Tasty trail with Benjamin sur la chaîne coréenne Arirang, émission qui présentait aux étrangers les cuisines locales de Corée. Il est le co-directeur de l’Atelier des Cahiers.
Mercredi 23 janvier 2019 à 18h 30
Centre Culturel Coréen
2 Avenue d’Iéna
75116 Paris
Pour plus d'informations consultez le site internet
Retour à la listeCONFERENCEConférence « Corées, le peuple qui danse sur un volcan »
16/01/2019
Conférence de Jean-Yves Ruaux Depuis l’armistice qui mit fin à la guerre de Corée (1953) et sépara le pays en une dictature stalinienne (au nord) et une république capitaliste (au sud), la péninsule et ses 75 millions d’habitants dansent sur un ...
Lire l'articleConférence de Jean-Yves Ruaux
Depuis l’armistice qui mit fin à la guerre de Corée (1953) et sépara le pays en une dictature stalinienne (au nord) et une république capitaliste (au sud), la péninsule et ses 75 millions d’habitants dansent sur un volcan. En effet, le Nord n’a jamais renoncé à envahir le sud ni à déclencher une nouvelle guerre. Mais cette guerre, qui pourrait cette fois être nucléaire, ne serait-elle pas l’amorce d’un nouveau conflit mondial ? C’est l’une des questions que le conférencier, de retour de Séoul, abordera dans cette conférence. Il évoquera aussi l’étrange survie du Nord communiste sous « assistance respiratoire », coincé entre Chine, Russie et Corée du Sud. Il parlera également de la frénésie de vie au Sud en dépit de la menace d’agression persistante. A moins qu’elle n’y trouve sa cause…
Les deux Corées constituent une énigme dont Jean-Yves Ruaux, universitaire et journaliste, auteur ou co-auteur de livres (La Corée aujourd’hui, Editions JA, Seoul City Guide, Editions Vuitton, Comprendre les Coréens, Ed. Riveneuve) et de reportages sur la Corée du Sud, tentera de démêler les fils.
Conférence organisée par l’Université du Temps Libre en Iroise www.utleniroise.infini.fr
Mardi 22 janvier 2019 à 14h
ESPACE CULTUREL
Place du Docteur Guyader
29290 Saint-Renan
Pour plus d'informations consultez le site internet
Retour à la listeEntre Paris & Séoul
Voyagez à travers la Corée, une destination riche et pleine de surprises,
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